Pierre BERCHEURE, auteur cité dans le Littré

BERCHEURE (1290-1352)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme BERCHEURE a été choisie.

626 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.

Titre de l'œuvre Date de parution Citations
Traduction de Tite-Live 622 citations

Quelques citations de Pierre BERCHEURE

Voici un tirage aléatoire parmi ses 626 citations dans le Littré.

  1. Le pueple le conveia jusques à son hostel en le loant très honorablement.
    f° 39, recto. (honorablement)
  2. Il avoit nom interroy, et l'estat de la chose publique estoit apelé interregne.
    f° 2, verso. (interrègne)
  3. Que chascuns d'euls fust langueureux par autrui imbecillité.
    f° 22, verso. (imbécillité)
  4. La crainte des diex seroit souverain et très efficace remede.
  5. Afin de les chacier de la terre et de les arester.
    f° 7, verso. (afin)
  6. Rendre defense et patronage à la loi trebonienne.
    f° 100, verso. (patronage [1])
  7. Ils n'estoient pas absens pour creinte.
  8. Se les enemis eussent reprins courage.
    f° 43, recto. (reprendre)
  9. Et si userent de fraude avecques conseil ; car Tatius li roys des Sabins corrompit la fille d'un qui gardoit la forteresse.
    f° 10, verso. (fraude)
  10. Il gasterent les champs par grande ennemistié.
    f° 59 recto. (inimitié)
  11. La maladie qui estoit contagieuse.
    f° 52, verso. (contagieux, euse)
  12. Mes sens de oelx [yeux] et de oreilles sont hebetez.
    f° 103, verso. (hébéter)
  13. Si monterent pluseurs autres après lui successivement, aidans les uns les autres.
  14. Ce estoient les douleureux solaz que li viellars en attendant la mort faisoient à eulz et aus autres [lors de la prise de Rome par les Gaulois].
    f° 111, verso. (soulas)
  15. Si se esmut entre eus une question de leur fames.
    f° 26, verso. (question)
  16. Marcius au commencement oyoit mesprisablement les menaces des tribuns.
  17. Les constructions de Titus Livius sont si trenchées et si brieves et si d'estranges moz.
  18. La rudece de l'ancien langage seurmonter.
    f° 7 (rudesse)
  19. Il avait ses chevaliers accoustumé à eux oser fier en sa capitanie.
    f° 71 (XIVe siècle). (capitainerie)
  20. Et que trop miex [mieux] estoit que les courages du peuple fussent reconsilliez aus peres par celui don.
    f° 104 (réconcilier)