Alexandre BRONGNIART, auteur cité dans le Littré

BRONGNIART (1770-1847)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme BRONGNIART a été choisie.

103 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.

Titre de l'œuvre Date de parution Citations
Traité de minéralogie 1807 88 citations

Quelques citations de Alexandre BRONGNIART

Voici un tirage aléatoire parmi ses 103 citations dans le Littré.

  1. L'or que l'on trouve dans les sables des rivières ou dans les terres aurifères n'est soumis à aucun traitement métallurgique proprement dit ; des hommes nommés orpailleurs le séparent des sables au moyen du lavage.
    Traité de min. t. II, p. 344, dans POUGENS. (orpailleur)
  2. Les fameuses tourbières qui fournissent à ce pays [la Hollande] presque tout le combustible qui lui est nécessaire.
    ib. p. 43 (tourbière)
  3. Ces observations semblent prouver que la tourbe est d'une formation beaucoup plus moderne que celle des autres combustibles fossiles, et qu'elle s'est formée depuis l'existence des sociétés.
    ib. p. 41 (tourbe [1])
  4. Pour percer le sol, on emploie, selon sa dureté, différents moyens ; si c'est une terre meuble et ébouleuse, la pioche ordinaire et la pelle suffisent,
    Traité de minér. t. II, p. 288 (ébouleux, euse)
  5. La macle faisait partie des armes d'une maison de Bretagne qui avait dans ses possessions le terrain où se trouve cette pierre.
    Traité de minér. t. I, p. 498, dans POUGENS. (macle [4])
  6. L'opale de Hongrie… sa couleur est le blanc clair et bleuâtre du lait étendu de beaucoup d'eau ; mais ce qui distingue particulièrement cette belle pierre, ce sont les vives couleurs de l'iris qu'elle fait voir lorsqu'on la regarde sous différents aspects.
    Traité de min. t. I, p. 300, dans POUGENS. (opale)
  7. M. de Lacépède… en disant que les salamandres faisaient le passage des lézards aux grenouilles…
    Instit. Mém. scienc. phys. et math. sav. étrang. t. I, p. 597 (passage)
  8. La serpentine ollaire, retirée nouvellement de sa carrière, joint à une mollesse assez grande une sorte de ténacité qui permet de la tourner et de la tailler facilement.
    Traité de minér. t. I, p. 487, dans POUGENS. (ollaire)
  9. Les schistes ont la texture feuilletée, à feuillets droits ou courbes ; leur aspect est mat, ou faiblement luisant ; ils sont tous assez tendres pour se laisser rayer par le cuivre.
    Traité de min. t. I, p. 553 (schiste)
  10. La plus estimée est celle de Hongrie ; les joailliers lui donnent improprement le nom d'opale orientale.
    ib. p. 302 (opale)
  11. C'est avec cette serpentine [noble], taillée et polie, qu'on fait des tabatières, des vases et d'autres objets d'ornement ; elle porte en Italie les noms de verde di prato, verde di Susa.
    Traité de min. t. I, p. 486 (serpentine [3])
  12. Les schistes forment une grande partie de la croûte du globe ; les montagnes schisteuses bordent en général les montagnes de granit, de gneiss et de micaschiste ; elles ont une forme arrondie, qui les fait aisément reconnaître.
    ib. t. I, p. 561 (schiste)
  13. Poterie dure, compacte, imperméable, dont la cassure, quoique un peu grenue, présente aussi mais faiblement le luisant du verre et qui est essentiellement translucide, quelque faible qu'en soit la translucidité.
  14. Le réalgar est composé de 0,25 de soufre, de 0,75 d'arsenic à l'état métallique.
    Traité de min. t. II, p. 88, dans POUGENS. (réalgar)
  15. La principale mine de mercure connue dans l'Amérique méridionale… est, dit-on, une couche ou un filon de grés imbibé de cinabre ; il a cinquante mètres de puissance et traverse une montagne de grès.
    Traité de min. t. II, p. 247, dans POUGENS (puissance)
  16. Le dernier degré de recuit est celui dans lequel l'acier a été chauffé au point de paraître d'un rouge sombre dans l'obscurité ; c'est le recuit que l'on donne aux ressorts de voitures.
    Traité de min. t. II, p. 392 (ressort [1])
  17. C'est sur la propriété qu'a la cornéenne lydienne de recevoir la trace de certains métaux, qu'est fondé l'usage que l'on fait de cette pierre pour juger, par aperçu, du titre de l'or ; on la nomme vulgairement pierre de touche ; elle porte aussi le nom de lydienne, parce que c'est celui que les anciens donnaient à la pierre de touche.
    Traité de min. t. I, p. 552 (touche)
  18. Les filets de minerai qui parcourent cette gangue et les filons très minces portent souvent le nom de veine.
    Traité de min. t. I, p. 283 (veine)
  19. Le quartz sinople est tantôt cristallisé, et tantôt en masse ; dans le premier cas, il porte vulgairement le nom de hyacinthe occidental ou de Compostelle.
    Traité de min. t. I, p. 282, dans POUGENS (sinople)
  20. Les nitrières naturelles, quoique fort nombreuses, ne produisent pas assez de nitre pour les usages multipliés que l'on fait de ce sel.
    Traité de min. t. I, p. 116, dans POUGENS (nitrière)