Théophile GAUTIER, auteur cité dans le Littré

TH. GAUTIER (1811-1872)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme TH. GAUTIER a été choisie.

127 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.

Quelques citations de Théophile GAUTIER

Voici un tirage aléatoire parmi ses 127 citations dans le Littré.

  1. Quand l'actrice, comme une statue qui se piète sur son socle, a redressé sa haute taille…
    Journ. offic. Feuilleton, 25 juill. 1870 (piéter)
  2. De leurs fleurs férocement bariolées et tigrées… s'exhalent des parfums âcres, pénétrants, vertigineux.
    Portraits contemp. Baudelaire. (férocement)
  3. Un autre dessin déploie le panorama de Paris vu en abîme du plateau de la butte Montmartre.
    Journ. offic. 30 août 1871, p. 3083, 2<sup>e</sup> col. (abîme)
  4. Les médaillons des camarades, passés à l'huile grasse pour leur ôter la crudité du plâtre et les culotter, pardon du mot, les statuaires et les fumeurs l'emploient dans la même acception, étaient…
    le Bien public, 10 mars 1872 (culotter)
  5. Delaunay et Mlle Favart [deux acteurs] sont charmants dans cette querelle d'amoureux vieille comme le monde et toujours jeune.
    Monit. univ. 30 nov. 1868 (querelle)
  6. Il y a les gens mûrs, chauves, ventripotents, apoplectiques.
    Monit. univ. 3 juin 1867 (ventripotent, ente)
  7. Je me plaisais à imiter les styles qu'au collége on appelle de décadence ; j'étais souvent taxé de barbarie et d'africanisme, et j'en étais charmé comme d'un compliment.
    Portr. contemp. 1er portr. celui de l'auteur. (africanisme)
  8. Le reflet c'est la lumière renvoyée frappant dans la demi-teinte un corps solide, et il ne faut pas que le jour ait l'air de passer à travers la toile.
    Feuilleton, Moniteur universel, 9 mai 1868 (reflet)
  9. Les babies britanniques ont des teints de crème et de fraise.
    les Beaux-arts en Europe, t. I, p. 44 (baby [1])
  10. Quatre vases d'une sveltesse hardie.
    Journ. offic. 6 juin 1871 (sveltesse)
  11. L'eau s'enfle, comme une poitrine Aux soupirs de la passion ; Le vent, dans sa conque marine, Murmure une incantation.
    Émaux et camées, caerulei oculi (incantation)
  12. Les avalanches et les éboulis de la montagne qui s'étendent jusque-là.
    Feuilleton du Monit. univ. 7 sept. 1868 (éboulis)
  13. Patrie aux flancs féconds, sainte mère des hommes, Ce que furent jadis nos pères, nous le sommes !
    Prologue d'ouverture, 1845 (mère [1])
  14. L'Odéon qui ne peut ni vivre ni mourir, N'est jamais plus fermé que lorsqu'il vient d'ouvrir.
    Prologue d'ouverture pour l'Odéon (odéon ou odéum)
  15. Son œil d'aigle, son front argenté vers les tempes, Rappelaient les fiertés des plus mâles estampes.
    P. Corneille. (tempe [1])
  16. Je suis enfant de la montagne, Comme l'isard, comme l'aiglon.
    Poésies, le Chasseur. (isard)
  17. Maintenant le jardin paysagiste est entendu d'une manière admirable.
    Feuilleton du Moniteur univers. du 13 mai 1867 (paysager)
  18. Se pourlécher les babines.
    Cap. Fracasse, I (pourlécher)
  19. Un tableautin, chef-d'œuvre d'esprit et de couleur.
    Journ. offic. 1er mai 1870, p. 754, 5<sup>e</sup> col. (tableautin)
  20. Il fait grand, chose importante pour l'Opéra, et l'on sent qu'il pourrait remplir aisément ce vaste cadre.
    Feuilleton, Monit. universel, 30 nov. 1868. Faire grand est très peu français. (grand, ande)