Jacques AMYOT, auteur cité dans le Littré
AMYOT (1513-1593)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme AMYOT a été choisie.écrivain et traducteur de Plutarque
Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
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Œuvres morales et meslees, de Plutarque, Traduictes de Grec en François | 1587 | 414 citations |
Vies des hommes illustres, traduite de Plutarque | 1559 | 5539 citations |
Quelques citations de Jacques AMYOT
Voici un tirage aléatoire parmi ses 6264 citations dans le Littré.
Le peuple luy cria, qu'il entendoit qu'il les feist parachever aux despends du public, sans y rien espargner.
ib. 31 (épargner)Il en tumba en grandes pamoisons, et fut en très grand danger de mort soudaine.
Agésilas, XLV (pâmoison)Voyant que rien n'y valoit, il se resolut de ne prendre plus de medecines.
Préf. XV, 43 (résoudre)Jamais mon esprit, estant tousjours en transe aux escoutes de l'advenir pour le regard du bien public, n'a jeté ceste crainte arriere de soi.
P. Aem. 58 (transe)Il feit aussi changer de maniere de vivre aux Arabes.
Lucull. 38 (changer)Commettre des excès.
Cam. 51 (excès)On cache dessoubs les couleurs brusques et mornes, et met-on au dessus les guayes et claires.
De la tranq. d'âme, 31 (brusque)Une ville qui contestoit de per à per avec celle de Rome.
Cam. 14 (pair, aire)Ne pouvant croire que les Romains fussent si bas que d'avoir abandonné leur ville.
Cam. 39 (bas, basse [1])Ses malvueillans s'opposerent à ce que l'honneur du triumphe ne luy fut point decerné.
Marcel. 35 (opposer)Oppresseurs de leurs ennemis, sauveurs de leurs parents.
Thés. et Rom. comp. 4 (oppresseur)Le peuple alloit souvent forceant ou destournant les propositions du senat, en y ostant ou adjoustant quelque chose.
Lyc. 10 (forcer)La premiere chose qu'il fist après estre installé en l'estat, fut qu'il nomma prince du senat L. Valerius Flaccus.
Caton, 34 (installer)Il estoit froit, reposé, constant et arresté.
Arist. 4 (arrêter)Ilz luy montroient leurs mains cousues à coups de flesches avec leurs pavois.
Crassus, 48 (coudre [2])Lor ilz rencontrent un vaisseau par le moyen duquel ilz sceurent qu'ilz estoient en la playe, que les mariniers appellent vulgairement les testes de la grande Syrte.
Dion, 23 (plage)Il [un Gaulois] luy passa [à un sénateur romain] tout doulcement la main par dessus sa barbe.
Cam. 40 (passer)Ilz sousteindrent le premier choc vaillamment.
Timol. 37 (vaillamment)Les ennemis cesserent de les chasser et poursuivre plus outre ce jour là.
Cam. 64 (outre [2])La propre volonté de Dieu, la quelle estant premierement droite de soi-même, dresse puis après toutes choses qui sont gauches et tortues.
Ép. à Ch. IX (gauche)