Bonaventure DESPÉRIERS, auteur cité dans le Littré
DESPÉRIERS (1510-1544)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme DESPÉRIERS a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Cymbalum mundi | 1537 | 46 citations |
| Nouvelles récréations | 1537 | 458 citations |
Quelques citations de Bonaventure DESPÉRIERS
Voici un tirage aléatoire parmi ses 540 citations dans le Littré.
Ce qui faisoit s'esbahir davantage de ce larcin, estoit que, pour tout emporter, il lui avoit convenu faire six ou sept voyages.
Contes, CXI (voyage)Messire Jean la crut, le pauvre homme.
Contes, LXII (messire)Le vilain, comme il a emboué ma paillasse de ses pieds !
Contes, VIII (embouer)En sa maison il n'y avoit rien plus froid que l'atre, et tous les prisonniers s'en estoient fuis de sa bourse.
Contes, CXVIII (prisonnier, ière)Et sortez de ceans hardyment [vite], car…
Cymbat. 84 (hardiment)Quand ces trois bonnes qualités sont en un personnage, on ne se doit pas esmerveiller s'il est un petit coquelineux.
Contes, IV (coquelineux, euse)Si je m'en fusse apperçu d'heure [à temps], j'y eusse pourveu plus tost.
Contes, VI (heure)Matin, matin, de peur des mouches.
t. I, p. 178, dans LACURNE (matin)Tout lui estoit un [égal, indifférent].
Contes, XLVI (un, une)Il m'a commandé que je luy feisse relier ce livre tout à neuf.
Cymbal. 74 (relier)Il ne vous dict chose qu'il ne fasse, si vous luy eschauffez gueres le poil.
Cymbal. 85 (poil)Vous promettez monts et vaux.
Contes, III (mont)Donnant toujours quelques nouveaux attraits [amorces] à ceux qui la regardoient.
Contes, LXVI (attrait [2])Y avoit un levrier fort meffaisant qui entroit partout, et ne trouvoit rien trop chaud ne trop pesant ; pain, chair, fourmage, tout luy estoit fourrage.
Contes, t. I, p. 136, dans LACURNE (fourrage [1])Il ne faut point pleurer de tout cecy que je vous conte ; car peut estre qu'il n'est pas vrai.
Contes, t. I, p. 5, dans POUGENS (pleurer)Quand il eust eu un calepin, un vocabulaire, un dictionnaire, un promptuaire, un tresor d'injures, il n'eust pas eu la derniere de cette diablesse.
Contes, LXV (promptuaire)Un de ces venerables coupeurs de cuir [bourses].
ib. LXXXIII (coupeur, euse)Quand le barbier eut vu la jambe à nu, il ne trouva point de lieu entamé, ni meurdri.
Contes, XII (meurtrir)Il les mena boire à la Meule, et quand ils eurent bien chopiné…
Contes, LXV (chopiner)Trois gentils-hommes bretons, beaux danseurs de passe-pieds et de trihoris.
Contes, V (passe-pied)