Enguerrand de MONSTRELET, auteur cité dans le Littré
MONSTRELET (1400?-1453)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MONSTRELET a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Chroniques | 338 citations |
Quelques citations de Enguerrand de MONSTRELET
Voici un tirage aléatoire parmi ses 340 citations dans le Littré.
Leur feroient rere leurs chiefs et mener par la ville de Paris sur deux ords bouveaux.
I, 155 (bouveau ou bouvelet [1])… Et prirent les Anglois deux mille combattants avec quarante nefs à voiles et une grosse carraque.
I, 12 (caraque [1])Je fais ici un nota : il n'est nul si bon chevalier au monde qu'il ne puisse bien faire une faute.
I, 39 (nota ou nota benè)Les quels sujets du dit duc de Namur, voyant que par le non payer auroient plus grand dommage…
I, 27 (non-payement)Ilz furent amenés moult honteusement et deshonnestement sur un bannel, du Louvre en la cour du palais.
Liv. I, 46 (banneau)Et pourtant iceux, voyant qu'ils ne pouvoient rien besogner, se departirent de là en faisant plusieurs derisions [pilleries] sur le pays.
II, ch. 169 (dérision)On doit expliquer la dite loi à l'entente de la fin, et non pas au sens litteral ou sentence textuelle.
I, 39 (littéral, ale)Honoré Collin n'estoit point bien assuré qu'on ne leur jouast à la fausse compagnie.
liv. II, ch. 192 (compagnie)La deuxieme maniere par poisons, venins et intoxications.
I, 39 (intoxication)En lui remontrant, entre les autres choses, la parfaite affection et vrai desir que le roi avoit de pacifier avecque lui et avoir traité.
II, 67 (pacifier)Prindrent, ravirent et frustrerent tous les biens, et puis bouterent le feu en plusieurs lieux et maisons.
t. II, p. 22, dans LACURNE (frustrer)Sur chacun arpent fut imposée une ayde nommée fons de terre.
t. I, f° 143, dans LACURNE (fonds)À la ressourse et adresse dudit royaume desolé.
t. III, p. 109, dans LACURNE (ressource)Le roi de Castille frere d'armes et allié du roy [Charles VII].
t. III, p. 3, dans LACURNE (frère)Là estoient trentesix buccines ou trompettes, et dix paires de menestriers sonnans d'instrumens musicaulx, et avoient trois menestriers.
ch. 62, p. 97, dans LACURNE (paire)Adonc regnoit par toutes les parties du royaume une maladie generale qui se tenoit en la teste, de la quelle moururent plusieurs personnes, tant vieux que jeunes, et se nommoit icelle la coqueluche.
ch. 118 (coqueluche)Qu'il voulsist declarer que ce saint senne est duement convoqué par les cardinaux.
I, 55 (synode)Avec ses lettres de son scel, signées de son seing manuel, et corroborées par un acte public et notarié.
I, 49 (corroborer)Afin que dorenavant elle ne contaminast les autres membres de J.-C.
liv. II, ch. 105 (contaminer)Hector bastard de Bourbon vint à tout trois cens armés hommes d'armes, sur aucunes compagnies de gens du roy qui alloient à l'estrade ; si en print et tua plusieurs.
f° 149, dans LACURNE (estrade)