Enguerrand de MONSTRELET, auteur cité dans le Littré
MONSTRELET (1400?-1453)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MONSTRELET a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Chroniques | 338 citations |
Quelques citations de Enguerrand de MONSTRELET
Voici un tirage aléatoire parmi ses 340 citations dans le Littré.
Jusques à tant qu'il seroit restitué de certaine somme qu'il avoit presté.
t. I, ch. 97, p. 157, dans LACURNE (restituer)Firent ceux de Naples grant joye parmy la ville, et allumerent feux et chandelles parmy les rues et sur les terrasses des maisons.
t. I, ch. 163, p. 241, dans LACURNE (terrasse [1])Cette consequence appert à tout homme de sain entendement, s'il y veut considerer, et l'antecedent est le texte de la loi escrite.
I, ch. 39 (antécédent [2])La reine, qui estoit vieille et de diverses conditions, n'estoit pas bien contente de lui, pour ce qu'il estoit amoureux d'aucunes autres jeunes dames du pays plus qu'il n'estoit d'elle.
liv. I, ch. 171 (condition)Tantost retournerent audit lieu de Paris, en intention de r'emouvoir le peuple ; mais on leur ferma les portes au visage.
I, 205 (visage)Nous nous sommes plus preparé, nos amés fils, à vostre université escrire, pour ce qu'à schisme vous avez condescension piteuse donnée.
I, ch. 33 (condescendance)Par plus forte raison, tu dois condoler sur la mort de ton frere.
I, ch. 47 (condouloir (se))Et ont procuré son deshonneur et damnement de sa bonne memoire et renommée et de sa posterité et generation.
I, 181 (damnement)Le bourreau lequel luy osta le moule de son chaperon, c'est à sçavoir la teste, et puis fut escartelé.
t. III, f° 64, dans LACURNE (moule [1])Retrancher la mauvaise chair de la bonne et la brebis rongneuse du trouppel.
t. II, f° 159, dans RENOUARD, Lexique. (troupeau)Et adonc le dit duc s'escria assez haut en disant : Je suis le duc d'Orleans ; et aucuns d'iceux en frappant sur lui respondirent : c'est ce que nous demandons.
I, ch. 36 (demander)Après furent desnués et devestus grande partie des morts, et fut pris ce qu'il y avoit de bon.
Liv. II, ch. 20 (bon [2])Quant est à parler de ravissements, violations et autres besognes extraordinaires, il en fut fait, selon les coutumes de la guerre, comme en ville conquise.
II, 117 (ravissement)Dame Bonne sa femme, sœur au duc de Bar, la quelle durant sa maladie [il] manda pour venir devers luy, ayant desir et regret de parler à elle.
t. I, ch. 138, p. 220, dans LACURNE (regret)La cause de sa maladie fut pource que son medecin lui bailla un clystere trop fort.
I, ch. 145 (clystère)Et estoit avec la partie d'Orleans l'archevesque de Sens, non pas en estat pontifical ; car en lieu de mitre il portoit un bacinet ; pour dalmatique portoit un haubergeon ; pour chasuble la piece d'acier, et au lieu de crosse portoit une hache.
t. I, ch. 79, p. 132, dans LACURNE (pièce)Ils avoient donné à Philippe comte de Charrolois son fils une moult precieuse espée, aornée de riches pierres et autres joyaux, laquelle estoyt au roy d'Angleterre ; et avoit esté trouvée et prinse avec ses autres bagues par iceux, affin que, s'ils avoient aucune occupation [affaire criminelle] pour le cas dessus dit, iceluy comte les eust pour recommandez.
ch. 147, p. 29, dans LACURNE (occupation)Elle requit son confesseur qu'il la voulsit absoudre par vertu d'une absolution [indulgence], la quelle estoit à Loches.
III, 25 (absolution)Se sont si avant entremeslées icelles choses d'un costé et d'autre…
II, 89 (entremêler)Le duc de Bourgogne, voyant leur sotte et rude maniere [des Flamands], et que ce qu'il disoit riens ne luy prouffitoit, par belles et douces paroles les commença à rappaiser.
t. I, ch. 78, p. 131, dans LACURNE (sot, otte)