Enguerrand de MONSTRELET, auteur cité dans le Littré

MONSTRELET (1400?-1453)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MONSTRELET a été choisie.

340 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.

Titre de l'œuvre Date de parution Citations
Chroniques 338 citations

Quelques citations de Enguerrand de MONSTRELET

Voici un tirage aléatoire parmi ses 340 citations dans le Littré.

  1. La mauvaise reine dessus dite [Athalie] regna sept ans… et le huitieme an, le vaillant evesque la fit occire par aguets et espiements.
    I, 39 (épiement)
  2. Si firent traité avec les commis dudit comte par tel si, qu'eux et les leurs s'en iroient sauvement avec leurs biens.
    II, 158 (si [3])
  3. Louant la clemence du dit empereur en la liberation de plusieurs prisonniers qu'il avoit prins.
    t. II, f° 76, dans RAYNOUARD, Lex. (libération)
  4. [Statue d'un jeune enfant] qui par sa broquette [verge] donnoit eaue rose.
    t. III, p. 55, dans LACURNE SAINTE-PALAYE (broquette)
  5. Et ont procuré son deshonneur et damnement de sa bonne memoire et renommée et de sa posterité et generation.
    I, 181 (damnement)
  6. Et après s'assemblerent la plus grand partie des plus nobles et mieux habillés [armés].
    II, 96 (habiller)
  7. Lettres corroborées par un acte public et notarié.
  8. Et adonc, pour les mieux abuser, l'un des deux dessus dits prit une paire des dites aloses et les bailla à iceux portiers.
    liv. II, ch. 117 (alose)
  9. Et finira cestui premier livre au trepas du très chretien roi de France, Charles le Bien aimé, lequel expira sa vie en son hostel de Saint-Paul à Paris.
    Prol. (expirer)
  10. Comme on dit qu'aucuns pays se disposent en romptures de confederations et alliances.
    II, 195 (rupture)
  11. Attendu qu'ils ne pouvoient ignorer qu'il ne fust fils et frere du roi.
  12. Dame Bonne sa femme, sœur au duc de Bar, la quelle durant sa maladie [il] manda pour venir devers luy, ayant desir et regret de parler à elle.
    t. I, ch. 138, p. 220, dans LACURNE (regret)
  13. Il fut percé au bras tant que la lance se tint dedans son bracelet ; mais il la secout [secoua] tantost sur le sablon.
    t. II, p. 110, dans LACURNE (secouer)
  14. Considerant l'affinité, amour et confederation que j'avois par devers très haut et puissant prince Richard.
    liv. I, ch. 19 (confédération)
  15. Lequel roi en son temps eut plusieurs fils et filles : desquels, c'est à savoir de ceux qui vecurent jusqu'à age competent, les noms s'ensuivent.
    liv. I, ch. 1 (compétent, ente)
  16. Messire Anthoine, bastard de Bourgogne, s'en alla courre vers Gand, et trouva sur les champs une compaignie de Gantois, esquels ils se fourrerent de telle poulse, luy et ses gens ; qu'ils en occirent plus de cinquante.
    t. III, p. 49 ; dans LACURNE (pousse [1])
  17. Et voit on communement que, quand un jeune homme vient au service d'un general recepveur ou grenetier [officier de greniers à sel], jasoit ce qu'il fut de petit estat et de peu de science, en peu de temps il est fait riche, et maine grand et excessif estat, et achete grans offices et heritages à vos despens [du roi].
    ch. 99, p. 159, dans LACURNE (grènetier, ière)
  18. … Et enfin paya pour sa rançon quatorze mille saluts d'or, un cheval de vingt queues de vin ou autre tel prix et estimation.
    II, 164 (salut)
  19. La cause de sa maladie fut pource que son medecin lui bailla un clystere trop fort.
    I, ch. 145 (clystère)
  20. Et quant ledit frere Thomas estoit, comme dit est, à son logis, il se tenoit en une chambre moult solitairement, sans vouloir souffrir que nulle personne eust repaire avecque lui.
    II, 53 (repaire [1])