Marie de Rabutin-Chantal, marquise de SÉVIGNÉ, auteur cité dans le Littré
SÉVIGNÉ (1626-1696)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme SÉVIGNÉ a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Lettres (1646-1696) | 1725 | 9680 citations |
Quelques citations de Marie de Rabutin-Chantal, marquise de SÉVIGNÉ
Voici un tirage aléatoire parmi ses 9700 citations dans le Littré.
Si je vois quelqu'un, je vous ferai une addition [à cette lettre].
399 (addition)De mémoire d'homme on n'a point vu de temps si vilain.
157 (mémoire [1])Il [Retz] a été reçu à Saint-Michel avec des transports de joie ; tout le peuple était à genoux, et le recevait comme une sauvegarde que Dieu leur envoie.
194 (sauvegarde [1])Il [Vivonne] est mort en un moment, dans un profond sommeil… et, entre nous, aussi pourri de l'âme que du corps.
à Bussy, 21 sept. 1688 (pourri, ie)Il a fallu repasser sur ces endroits [de votre lettre].
15 août 1685 (repasser)Elle démêle ses affaires pour aller s'établir à Paris.
232 (démêler)Je ne comprends point le passage du Rhin à nage.
19 juin 1672 (nage)Il me sera aisé de lui faire des plaintes de ces diantres de chemins.
334 (diantre)J'ai trouvé… la lettre que vous écrit M. de Chaulnes, fort jolie ; il vous paye de raison ; vous voyez qu'il a fait ce qu'il a pu.
596 (raison)N'avez-vous point entendu le cri que j'ai fait ? toute la forêt l'a répété, et je suis trop heureuse d'être en lieu où je n'ai de témoin de ce premier étonnement que les échos.
28 oct. 1676 (lieu [1])Voilà bien des folies que je ne voudrais dire qu'à vous… je vous prie que cela ne retourne jamais.
19 janv. 1674 (retourner)D'où vient donc que vous passez par-dessus vous-même, et que vous ne voyez dans un avenir lointain que le petit marquis ?
Lett. 13 mars 1680 (dessus)La goutte se rejeta sur les genoux et sur les pieds, et le voilà hors de danger.
Lett. du 9 fév. 1680 (danger)Toujours aise que le temps passe et m'entraîne avec lui, afin de me redonner à vous.
à Mme de Grignan, 9 févr. 1680 (redonner)Il disait que nous ne pouvions avoir d'idées que de ce qui avait passé par nos sens ; mon fils disait que nous pensions indépendamment de nos sens : par exemple, nous pensons que nous pensons.
25 sept. 1680 (penser [1])Elle se mortifie de ce plaisir, mais c'est sans affectation.
183 (mortifier)Le soulagement de quelque chose qui vous peine.
202 (peiner)Je ne suis plus une grosse crevée.
294 (crevé, ée)Il [Brancas] est pâmé au pied du lit de cette pauvre malade [Mme de Coulanges] ; nulle amitié ne paraît devant la sienne.
25 sept. 1676 (pâmé, ée)Il me semble que vous croyez que je mens, quand je vous parle de la connaissance de Fagon et de du Chesne [deux médecins] ; ç'a été, ma belle, pendant la blessure de M. de Louvois qu'ils furent quarante jours ensemble, et se sont liés d'une estime très particulière.
29 déc. 1679 (lier)