Marie de Rabutin-Chantal, marquise de SÉVIGNÉ, auteur cité dans le Littré
SÉVIGNÉ (1626-1696)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme SÉVIGNÉ a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Lettres (1646-1696) | 1725 | 9680 citations |
Quelques citations de Marie de Rabutin-Chantal, marquise de SÉVIGNÉ
Voici un tirage aléatoire parmi ses 9700 citations dans le Littré.
Les pluies nous empêchent de faire les foins, et nous avons grand regret à cette perte.
31 juill. 1680 (regret)De tous les visages il n'y en avait point à sa fantaisie comme le vôtre.
520 (fantaisie)Pour son style [d'une dame pleine d'affectation], il m'est insupportable, et me jette dans des grossièretés, de peur d'être comme elle.
13 août 1677 (jeter)Toujours aise que le temps passe et m'entraîne avec lui, afin de me redonner à vous.
à Mme de Grignan, 9 févr. 1680 (redonner)La demoiselle ne s'était jamais trouvée à telle fête.
37 (fête)Cela soit dit pourtant sans offenser le Tasse, que je ne puis oublier sans être une ingrate.
353 (le, la, les [1])J'espère que quelque jour vous reviendrez dans ce bon sens qui était si agréable et si droit.
à Bussy, 9 juin 1669 (revenir)Elle venait d'être coupée, mais coupée [ayant les cheveux coupés] en vraie fanfan.
44 (fanfan)Pour M. Trouvé, je l'aime toujours ; ah ! que nous avons ensemble de bonnes conversations bien salées !
5 mars 1683 (salé, ée)Je souhaite que vous ayez déjà pris votre jour pour partir.
463 (jour)Si on me paye bien, je ne ferai point d'incident et laisserai les choses comme elles sont.
à Mme de Guitaut, 18 janv. 1694 (incident [1])Toutes les conversations avec Son Éminence [Retz] qui ont toujours roulé sur dire que vous aviez de l'aversion pour lui.
à Mme de Grignan, t. v, p. 517, édit. RÉGNIER. (sur [1])Laissez-vous aller un peu à la douceur de n'être plus dans les transes et dans les justes frayeurs d'un péril qui est passé.
476 (transe)En faisant mes lettres un peu moins infinies.
397 (infini, ie)Sa mort mit en deuil une armée de trois cent mille hommes, et fit pleurer tous les princes chrétiens.
230 (deuil)Que le diantre vous emporte !
343 (diantre)Je ne puis vous nombrer les louanges et les tendresses de Barillon.
12 juin 1675 (nombrer)Cette droiture, cette naïveté dont il [le cœur de Turenne] était pétri.
242 (pétri, ie)J'aime fort tout ce que me mande Montgobert ; elle me plaît toujours ; je la trouve salée, et tous ses tons me font plaisir.
6 oct. 1675 (salé, ée)On a grondé cet avocat général [Lamoignon] d'avoir élevé si haut les louanges de cette maison [de Lorraine].
mars 1690 (louange)