Marie de Rabutin-Chantal, marquise de SÉVIGNÉ, auteur cité dans le Littré
SÉVIGNÉ (1626-1696)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme SÉVIGNÉ a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Lettres (1646-1696) | 1725 | 9680 citations |
Quelques citations de Marie de Rabutin-Chantal, marquise de SÉVIGNÉ
Voici un tirage aléatoire parmi ses 9700 citations dans le Littré.
Ceux qui n'ont ni rime ni raison.
240 (rime)Je lui donnerai de quoi boire.
15 (boire [1])On est réduit à me conter des sorcelleries pour m'amuser.
5 juillet 1671 (sorcellerie)La vanité de faire l'éclairée quand je ne le suis pas.
434 (faire [1])Elle [la duchesse de Portsmouth] a un fils qui vient d'être reconnu, à qui on a donné deux duchés.
216 (reconnaître)Commerci étant le lieu du monde le plus passant, il [le cardinal de Retz] est venu demeurer à Saint-Denis [bourgade voisine].
27 juin 1678 (passant, ante)Il n'est pas ridicule de souhaiter qu'un sang auquel on prend tant d'intérêt se tranquillise et se rafraîchisse.
à Mme de Grignan, 9 juill. 1677 (tranquilliser)Nous ferions des épargnes pour faire vivre et paraître notre enfant ; c'est tout mon but.
5 fév. 1688 (paraître)Je vous quitte, je m'éloigne : voilà ce que je vois, et je ne sais pas l'avenir.
à Mme de Grignan, 10 oct. 1673 (savoir [1])Je me fie enfin et me confie en vous de ma destinée.
27 avril 1685 (confier)Nous avons combattu et battu vos ennemis : ils avaient lancé deux lièvres, l'un en contrariété d'arrêt par une requête au grand conseil, l'autre par une requête civile.
531 (lièvre)Vous m'envoyez donc des étrennes, ma très chère ?
396 (étrenne)Les pères [de la maison de Sévigné] quelquefois considérables dans les guerres de Bretagne, et bien marqués dans l'histoire.
4 déc. 1668 (marqué, ée)Cette princesse lui a fait des caresses infinies.
418 (caresse)Ma fille, on n'a jamais tout craint, quand on aime comme je fais.
4 oct. 1679 (tout, toute)Je croyais que tout fût perdu.
114 (croire)Je sais, et c'est Salomon qui le dit, que celui-là est haïssable qui parle toujours de lui.
13 nov. 1687 (lui [1])On dit que Mme Guénégaud vous disait : soupirez, soupirez, madame [de Grignan quittant sa mère] ; j'ai accoutumé Moulins aux soupirs qu'on apporte de Paris.
17 mai 1676 (soupirer)Voilà donc ce qui s'appelle la vertu et la reconnaissance : je ne m'étonne pas si l'on trouve si peu de presse dans l'exercice de ces belles vertus.
8 juin 1676 (presse [1])On ne vous conseille point de faire aucune représaille du côté de la noblesse : ceux que vous pourrez attaquer en ont moins qu'ils ne pensent, mais ils en ont plus qu'il ne nous en faut.
18 déc. 1675 (représaille)