Marie de Rabutin-Chantal, marquise de SÉVIGNÉ, auteur cité dans le Littré
SÉVIGNÉ (1626-1696)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme SÉVIGNÉ a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Lettres (1646-1696) | 1725 | 9680 citations |
Quelques citations de Marie de Rabutin-Chantal, marquise de SÉVIGNÉ
Voici un tirage aléatoire parmi ses 9700 citations dans le Littré.
Ce même jour, M. de la Feuillade fut reçu à la tête du régiment des gardes, et prêta le serment entre les mains d'un maréchal de France, comme c'est la coutume.
109 (serment)Je ne puis vous nombrer les louanges et les tendresses de Barillon.
12 juin 1675 (nombrer)Je sens que mon cœur n'en est pas plus échauffé [après des sermons de Bourdaloue], et que toutes ces lumières dont il a éclairé mon esprit ne sont point capables d'opérer mon salut.
20 avr. 1683 (lumière)Si vous trouviez dans Avignon ou dans Lyon de quoi faire des rideaux, un fond, un dossier, des soubassements, des pentes.
21 août 1675 (soubassement)Voici une histoire très tragique de Livry : vous vous souvenez bien de ce prétendu très dévot, qui n'osait tourner la tête ; je disais qu'il semblait qu'il y portât un verre d'eau, c'était un fou.
30 mai 1672 (prétendu, ue)Quand on fait du bien, on l'assaisonne d'agrément.
342 (assaisonner)Tout le monde s'intéresse dans cette affaire [le procès de Foucquet] : on ne parle d'autre chose ; on raisonne, on tire des conséquences, on compte sur ses doigts, on s'attendrit, on espère, on craint, on peste, on souhaite, on hait, on admire, on est accablé.
Lett. à Pompone, 17 décemb. 1664 (on)Si Quanto [Mme de Montespan] avait bridé sa coiffe, elle ne serait pas dans l'agitation où elle est.
320 (coiffe)Si je vois quelqu'un, je vous ferai une addition [à cette lettre].
399 (addition)Il craint que cette émotion ne lui cause une fausse couche.
20 (couche)Il citait la Ste Écriture et les Pères.
116 (citer)Elle vous dit mille amitiés.
19 (amitié)C'est donner que de faire un marché de cette sorte.
187 (que [2])Toute la Bretagne était ivre ce jour-là : nous avions dîné à part.
77 (part [2])J'ai appris que feu Saint-Luc mettait monseigneur à tous les maréchaux de France… cela donne la loi aux autres, et ce n'est plus la mode d'y marchander, quand on fait tant de leur écrire.
21 août 1675 (marchander)Tous les princes à marier la prétendent [la princesse de Bavière].
267 (prétendre)Toujours abîmé dans sa philosophie christianisée ; car il ne lit que des livres saints.
542 (christianisé, ée)Moitié par adresse, moitié par force, il retira les lettres de cette pauvre diablesse.
44 (diablesse)J'espère qu'en recevant ceci vous vous moquerez de moi, comme je prends quelquefois la liberté de me moquer de vous ; il faut nous excuser à la pareille.
10 juill. 1680 (pareil, eille)Vous trouverez mon fils à Marseille au devant de vous ; il doit bien cette civilité à notre gouverneur [M. de Chaulnes], pour réparer de n'avoir pas été jusqu'à Rome.
à Coulanges, 14 août 1691 (réparer)