Marie de Rabutin-Chantal, marquise de SÉVIGNÉ, auteur cité dans le Littré

SÉVIGNÉ (1626-1696)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme SÉVIGNÉ a été choisie.

9700 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.

Titre de l'œuvre Date de parution Citations
Lettres (1646-1696) 1725 9680 citations

Quelques citations de Marie de Rabutin-Chantal, marquise de SÉVIGNÉ

Voici un tirage aléatoire parmi ses 9700 citations dans le Littré.

  1. Il ne fait aucune composition.
  2. Vous saurez que c'est le régiment de Picardie et point du tout celui de Champagne, qui a ouvert la tranchée, où personne n'a été blessé.
    11 oct. 1688 (ouvrir)
  3. Le chevalier est bien enragé de n'être point brigadier.
  4. Mme de la Fayette arriva avant-hier de Chantilly en litière ; c'est une belle allure ; mais son côté ne peut souffrir le carrosse.
    8 juill. 1676 (litière)
  5. Voilà où vous réduit son importunité.
  6. Quelle journée ! quelle amertume ! quelle séparation ! vous pleurâtes, ma très chère, et c'est une affaire pour vous ; ce n'est pas la même chose pour moi, c'est mon tempérament.
    11 juin 1677 (tempérament)
  7. J'aimerais bien mieux lire le Tasse ; j'y suis d'une habileté qui vous surprendrait et qui me surprend moi-même.
  8. M. de Saint-Malo, linotte mitrée, âgé de soixante ans, a commencé, vous croyez que c'est les prières de quarante heures, c'est le bal à toutes les dames, et un grand souper : ç'a été un scandale public.
  9. Nous avons lu et relu votre mémoire, c'est une pièce achevée ; il n'y fallait pas moins de paroles ; le laconique serait fort dangereux en pareille occasion.
    Lett. à Mme de Grignan, 29 nov. 1679, dans Lett. inédites, éd. Capmas, t. II, p. 70 (laconique)
  10. Il me semble, comme à vous, ma bonne, que rien ne peut plus jeter des ombres et des chagrins sur notre société.
    17 juill. 1680 (ombre [1])
  11. On dit qu'il [Bourdaloue] passe toutes les merveilles passées, et que personne n'a prêché jusques ici.
    25 déc. 1671 (passer)
  12. Mme de Coulanges perce à jour votre pauvre frère par ses épigrammes.
    441 (jour)
  13. Deux choses dont la privation m'est bien rude.
    297 (rude)
  14. Voici un bon mot de Mme de Cornuel qui a fort réjoui le parterre…
    16 mars 1672 (parterre)
  15. Pour M. de Lavardin… c'était une fort jolie contenance que de tenir les états [de Bretagne] ; mais c'était ôter la plus belle rose du chapeau du maréchal [d'Estrées].
    21 sept. 1689 (rose [1])
  16. Je veux écrire dans mes Heures ce que dit M. de Commines sur les traverses de la vie humaine.
    24 nov. 1678 (traverse)
  17. Je reviens mettre mon nez au bout de l'allée.
    343 (nez)
  18. Soyez aise qu'il ait eu une légère contusion à la cuisse.
  19. Ils [Mme de Grignan et l'évêque de Marseille] se tiraillent les consuls, à qui en aura le plus.
    23 nov. 1673 (tirailler)
  20. Moi qui ne puis pas souffrir la vue ni l'imagination d'un précipice.
    9 mars 1689 (souffrir)