Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON, auteur cité dans le Littré

MAINTENON (1635-1719)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MAINTENON a été choisie.

842 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.

Titre de l'œuvre Date de parution Citations
Lettres 1752 811 citations

Quelques citations de Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON

Voici un tirage aléatoire parmi ses 842 citations dans le Littré.

  1. Vous m'avez trompée sur Mme la duchesse du Maine dans l'article principal qui est celui de la piété : elle n'a veine qui y tende.
    Lett. à Mme de Brinon, 27 août 1693 (veine)
  2. Pourquoi ne vous laverez-vous pas aussi bien du soupçon de jansénisme ?
    Lett. au card. de Noailles, 19 févr. 1701 (jansénisme)
  3. Grande presse à l'épouser ; on me la demande tous les jours.
    Lett. à M. de Villette, 23 mai 1683 (presse [1])
  4. Il me faut un feu doré ; que la grille en soit très grosse ; j'aime le grand feu préférablement à toute autre délicatesse.
    Lett. à d'Aubigné, 10 fév. 1681 (feu [1])
  5. Les voyages de Noisi sont plus fréquents que jamais, les révérences y sont plus réglées, les fontanges tout à fait établies.
    Lett. à M. d'Aubigné, 7 avril 1685 (révérence)
  6. Elle a envoyé chercher les preuves de mon frère, brillantes comme le soleil.
    Lett. à Mme de Caylus, 7 mars 1718 (preuve)
  7. C** n'aime que ses plaisirs, et n'est estimé que d'une jeunesse perdue.
    Lett. à Ninon de l'Enclos, 8 mars 1666 (perdu, ue)
  8. Il ne conviendrait pas que ces messieurs vainquissent par une femme.
    Lett. au duc de Noailles, t. v, p. 249, dans POUGENS. (vaincre)
  9. Le lendemain de sa mort [du roi], ni son successeur ni tout ce qui vous caresse ne vous regardera ni vous ni Saint-Cyr.
    Lett. à Mlle d'Aubigné, 11 mai 1693 (regarder)
  10. Il me paraît que cette affaire va tirer en longueur, et prendre un tour assez désagréable.
    Lett. au card. de Noailles, 5 janv. 1696 (tirer)
  11. Je suis bien loin de vouloir tomber sur Mme de Beauvilliers ; mais, entre nous, il me semble qu'elle ne doit point se mêler de la conduite de M. de Beauvais.
    Lett. à Mme de Dangeau, t. VII, p. 120, dans POUGENS. (tomber)
  12. M. de Meaux m'a envoyé des nouvelles de Rome, qui font trembler pour M. de Cambrai.
    Lett. au cardin. de Noailles, 24 sept. 1697 (trembler)
  13. Vous êtes sur les lieux : vous trouverez plus de facilité que moi.
    Lett. à Mme d'Aubigné, 1er déc. 1682 (sur [1])
  14. C'est pour vous apprendre à dater ; car la plupart des femmes datent fort mal.
    Lett. à Mme de R.... 11 oct. 1693 (dater)
  15. J'ai brûlé depuis quelques jours la lettre des Carmélites de Rome ; je ne prévoyais pas qu'elle pût me servir ; et j'aime à me défaire des papiers.
    Lett. card. de Noailles, 1701, t. IV, p. 232, dans POUGENS. (défaire)
  16. Ne vous familiarisez pas trop ; souvenez-vous toujours du personnage de mère, de sœur aînée, de religieuse.
    Lett. à Mme de Fontaines, 1695, t. III, p. 138, dans POUGENS (familiariser)
  17. Notre prince de Dombes vient bien, et madame sa mère s'est tirée avec vigueur de cette grande affaire.
    Lett. à Mme de Brinon, t. II, p. 256, dans POUGENS (venir)
  18. Je suis incapable d'envie, ni de trouver à redire à ce que vous ferez.
    Proverb. p. 111, dans POUGENS (trouver)
  19. Tout ce que vous insinuerez au roi contre les lettres de cachet n'en diminuera pas le nombre ; on est persuadé qu'elles sont fort nécessaires.
    Lett. au card. de Noailles, 11 janv. 1706 (lettre)
  20. Accoutumez-vous, monseigneur, à faire une lettre à part de ce que vous voulez que je montre au roi.
    Lett. au card. de Noailles, 8 nov. 1695 (part [2])