Ambroise PARÉ, auteur cité dans le Littré
PARÉ (1510-1590)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme PARÉ a été choisie.Médecin et chirurgien novateur.
Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Œuvres complètes d'Ambroise Paré | 1840 | 3842 citations |
Quelques citations de Ambroise PARÉ
Voici un tirage aléatoire parmi ses 3899 citations dans le Littré.
Le semblable se fait à l'enfant laissant sa coëffe [amnios] au ventre de sa mere.
XVIII, 16 (coiffe)Quatre preparans et deux ejaculatoires ou deferens, c'est à dire jetans.
I, 27 (déférent)Blanc d'amidon.
XXV, 44 (blanc [2])Au promontoire du cap de Bonne Esperance.
Licorne, 4 (promontoire)Les ferules ou astelles sont faites de papiers collés ensemble, ou de bois mince et delié, ou de cuir, ou d'escorce d'arbre, ou lame de fer blanc ou de plomb.
XII, 8 (attelle)Une sanie sereuse, subtile et virulente qu'on nomme ichor.
VIII, 39 (ichor)Figure de deux bistories courbées, dont l'une est ouverte, l'autre enfermée dans son manche ou chasse.
VI, 8 (châsse)Il commença à parler et à nommer celui qui lui avait fait cet excès [violence].
VIII, 31 (excès)La faculté segregatrice du serum.
XV, 51 (sérum)La rhubarbe, les myrobolans.
XVIII, 66 (myrobolan)Thym, origan, agripaume, sabine et autres semblables.
XVIII, 83 (agripaume)Soudain tu presses le rameau venant de la cephalique, jusqu'à ce que suffisante evacuation de sang soit faite du foye par la veine basilique ou hepatique.
IV, 21 (basilique [2])Deux poissons, l'un comme une panache, appellé panache de mer, parce qu'il represente les panaches qu'on porte aux chapeaux.
Monstr. app. I (panache)Cestuy qui est nommé bec de cane, ayant une cavité en son extremité, large et ronde, dentelée, pour mieux prendre la balle.
IX, 4 (bec-de-cane)Le lendemain sera lavée la face avec eau rose, blanchie avec du son.
XXV, 45 (blanchir)Les sucs de laictue, de cichorée, d'ombilic de Venus, de morelle.
XXI, 3 (ombilic)Au second appareil et autres suivans, je fus sollicité [soigné] de mes compagnons et amis, chirurgiens jurés de Paris.
XIII, 25 (solliciter)Faut passer aux sinapismes, aux phoenigmes, c'est à dire, medicamens rubricatifs et physigenes, c'est à dire vesicatoires, ou qui excitent des vessies.
VI, 12 (vésicatoire)De la stupeur, congelation ou endormissement des dents.
ib. (congélation)Les muscles se revirans vers leurs origines mouvent l'os fracturé.
XIII, 4 (mouvoir)