Jean RACINE, auteur cité dans le Littré
RACINE (1639-1699)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme RACINE a été choisie.10775 citations dans le Littré
Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Alexandre le grand | 1665 | 210 citations |
| Andromaque | 1667 | 938 citations |
| Athalie | 1691 | 1378 citations |
| Bajazet | 1672 | 795 citations |
| Bérénice | 1670 | 627 citations |
| Britannicus | 1689 | 1207 citations |
| Esther | 1689 | 1080 citations |
| Iphigénie en Aulide | 1674 | 982 citations |
| La Thébaïde, ou Les frères ennemis | 1664 | 233 citations |
| Les plaideurs | 1668 | 377 citations |
| Mithridate | 1673 | 820 citations |
| Phèdre | 1677 | 1262 citations |
Quelques citations de Jean RACINE
Voici un tirage aléatoire parmi ses 10775 citations dans le Littré.
Modérez-vous de grâce.
Bajaz. III, 1 (modérer)Il dit fort posément ce dont on n'a que faire.
Plaid. III, 3 (faire [1])Esther a triomphé des filles des Persans.
Esth. III, 9 (triompher)La, si vous m'en croyez, d'un amour éternel Nous irons confirmer le serment solennel.
Phèd. V, 1 (confirmer)C'est peut-être à dessein de vous entretenir.
Brit. IV, 1 (dessein)Certes je n'ai jamais dormi d'un si bon somme.
Plaid. III, 3 (somme [3])Je t'ai cherché moi-même au fond de tes provinces ; J'y suis encor, malgré tes infidélités.
Andr. IV, 5 (infidélité)Ce héros intrépide Consolait les mortels de l'absence d'Alcide.
Phèd. I, 1 (absence)Mais que, sans m'avertir du piége qu'on me dresse, Vous me laissiez chercher jusqu'au fond de la Grèce L'ingrat qui ne m'attend que pour m'abandonner, Perfide, cet affront se peut-il pardonner ?
Iph. II, 5 (chercher)Laissez là cet habit, quittez ce vil métier.
ib. II, 7 (habit)… Ces femmes hardies Qui, goûtant dans le crime une tranquille paix…
Phèd. III, 3 (goûter [1])Pour m'arracher du cœur de ses soldats.
ib. (cœur)Je veux bien excuser son heureuse imprudence.
Iphig. IV, 10 (imprudence)À dire le vrai, où trouvera-t-on un poëte qui ait possédé à la fois tant de grands talents, tant d'excellentes parties [que Corneille], l'art, la force, le jugement, l'esprit ?
Disc. pron. à la réc. de Th. Corn. (partie [1])En voyant devant moi tout l'empire à genoux.
ib. II, 1 (genou)C'est toi qui me flattant d'une vengeance aisée…
Athal. v, 6 (flatter)Quoi ! ce départ n'est donc qu'un cruel stratagème ?
ib. V, 5 (départ)Rentrons, et qu'un sang pur, par mes mains épanché, Lave jusques au marbre où ses pas ont touché.
Athal. II, 8 (toucher [1])Sur la foi d'une amour si saintement jurée.
Andr. II, 1 (amour)Tes malheurs te prêtaient encor de nouveaux charmes.
Phèdre, II, 5 (prêter)