Louis-Pierre ANQUETIL, auteur cité dans le Littré
ANQUETIL (1723-1808)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme ANQUETIL a été choisie.historien
Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| L'Esprit de la Ligue, ou histoire politique des troubles de France, pendant les XVIe et XVIIe siècles | 1767 | 46 citations |
Quelques citations de Louis-Pierre ANQUETIL
Voici un tirage aléatoire parmi ses 52 citations dans le Littré.
Il se tourna ensuite vers un prêtre qu'on avait fait venir, se confessa, et fut pendu à une échelle arc-boutée contre une poutre.
Ligue, III, p. 202 (arc-bouté, ée)Il les trouva butés à ce point que les Bourbons étant hérétiques ne pouvaient occuper le trône.
Ligue, III, 238 (buté, ée)Le roi voyait tout le monde autour de lui prendre ses assurances.
Ligue, II, 249 (assurance)Les Allemands que le fidèle Sancy avait levés sur son propre crédit.
Ligue, III, 84 (crédit)Les uns faisaient valoir le pouvoir des États, d'autres le déprimaient.
Ligue, III, p. 254 (déprimer)Le traité de Munster ou la paix de Westphalie, qu'on a appelé le code des nations.
Instit. Mém. sc. mor. et pol. t. I, p. 13 (traité [1])Il publia cependant des relations fanfaronnes de cette expédition.
Ligue, t. III, p. 81 (fanfaron, onne)Ce contraste se remarquait à la première vue des deux armées.
Ligue, II, 320 (vue)[Chez les protestants] une caisse commune, des citadelles indépendantes du roi, des assemblées politiques permises, et comme une république autorisée au milieu d'un État purement monarchique.
Ligue, III, 349 (indépendant, ante)Bayard, véridique auprès des princes, hasardeux dans les combats, galant auprès des dames, protecteur de leur honneur, vrai parangon de bonne foi et de vaillance.
Inst. Mém. scienc. mor. et polit. t. I, p. 27 (parangon)Une autre fois l'un du conseil des douze élève une difficulté ; et, comme on ne tombait pas d'accord, il propose de la consulter en Sorbonne.
Ligue, III, 200 (difficulté)D'un caractère impérieux qui ne serait pas plutôt en autorité qu'il bannirait les plaisirs de la cour.
Ligue, I, p. 26 (autorité)Ces cours décrétèrent le nonce lui-même d'ajournement personnel et ensuite de prise de corps.
Ligue, III, p. 178 (décréter)Pendant que la trêve se publiait d'un côté, elle se rompait de l'autre.
Espr. de la Ligue, IV, année 1576 (trêve)Elle tourna son attention sur la manière de faire exécuter l'édit de Poitiers.
Ligue, II, 218 (attention)Les levées se trouvaient retardées, les deniers divertis ou mal appliqués ; on fatiguait mal à propos le soldat.
Lig. III, 364 (diverti, ie)Les ministres du roi (Sully entre les autres) ne furent point d'avis qu'on brusquât ce jeune imprudent.
Ligue, III, 170 (brusquer [1])Autant pour faire montre de leur crédit que pour obtenir quelque nouveau privilége.
Ligue, I, 240 (montre)Ces événements n'altéraient que faiblement la tranquillité d'Henri III, le plus facile des hommes à se consoler.
Ligue, II, p. 157 (facile)Ils le veillèrent si bien qu'ils surprirent des lettres écrites à des partisans du roi.
Ligue, III, p. 273 (veiller)