Jean-Antoine de BAÏF, auteur cité dans le Littré
BAÏF (1532-1589)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme BAÏF a été choisie.poète de la Pléïade
Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.
Quelques citations de Jean-Antoine de BAÏF
Voici un tirage aléatoire parmi ses 46 citations dans le Littré.
Neptune s'en venoit, d'un soufle vehement, De la terre elocher le massif fondement.
Œuvres, f° 21, dans LACURNE (élocher)Un sombre obscur caveau… Dans le tufeau cavé…
Œuvres, p. 187 (tuffeau)Son blanc fanon [du taureau enlevant Europe] est plus que neige blanc.
Œuv. f° 252, dans LACURNE (fanon [1])Leur destin, Eternel ou termé selon l'arrest divin.
Œuv. p. 198 (termer)Adieu les plaisirs des champs ; Plus à l'abri de l'ombrage Des oyselets aux doux chants On n'oit le caquet ramage.
Œuvres, p. 75, dans LACURNE (caquet)La Cypris de sa main cueut trois pommes dorées.
Œuvres, p. 186, dans LACURNE (cueillir)Pean dithyrambique à la santé.
Passe-temps, II (dithyrambique)Et s'estant aperceu que l'eau, de force estrange, Avoit fait dedans luy si merveilleux echange Qu'homme entier y entrant, n'en sortoit qu'à demy, Et son corps esmalé s'y estoit afemmy [efféminé].
Œuvres, f° 114, dans LACURNE (émasculer)Alors la nege espesse et les froides brouées.
Œuvres, p. 6, recto, dans LACURNE SAINTE-PALAYE (brouée)Ô le plaisir que c'est de sentir venir moindre [italien venir meno, défaillir] Son ame, tant amour heureusement l'estreint.
Œuv. p. 62, dans LACURNE (venir)Donc, sans les mettre à mort, leur figure defait ; En houpeaux de poil roux leur blonde cheveleure Se change, assauvageant leur douillette encoleure, D'espaule et d'estomac en large se harpans, Evidez par le flanc desjà penchent rampans.
Œuvres, p. 187, dans LACURNE (harper [3])Vous, sœur de ce grand roy, vous l'espouse d'un roy De qui l'est, le sur, l'oest et le nord prend la loy.
Œuvres, p. 198, dans LACURNE (sud)Qu'il te pousse à chef bas dans les flammeuses ondes De Phlegeton roulant ses soufrieres profondes.
Œuv. p. 75, dans LACURNE (soufrière)… Mille fleches, Mille amoureuses flameches, Au cœur du dieu dardillant…
Œuvres, f° 28, dans LACURNE (dardiller)Comme font les garsons au jeu de frapemain, Qui se mussent la teste et la monstrent soudain.
Œuv. p. 10, dans LACURNE (frappe-main)Coc chante ou non, viendra le jour.
dans LEROUX DE LINCY, t. I, p. 172 (coq [1])D'où pendoit un coutelas luné en façon d'une serpe.
Œuv. p. 40, dans LACURNE (luné, ee)Le temps viendra qu'âprement à ton tour Tu languiras, comme moi, de l'amour.
Amour veng. stance 87 (âprement)Qu'elle [Pénélope] toutes les nuits detissoit ses journées, Tandis qu'elle attendit un homme vingt années.
Œuvr. f° 62, recto. (détisser)Execré.
Œuv. f° 68, dans LACURNE (exécrer)