Jean D'AUTON, auteur cité dans le Littré

JEAN D'AUTON (1466-1528)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme JEAN D'AUTON a été choisie.

moine chroniqueur du XVe siècle

87 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.

Titre de l'œuvre Date de parution Citations
Chroniques de Louis XII 87 citations

Quelques citations de Jean D'AUTON

Voici un tirage aléatoire parmi ses 87 citations dans le Littré.

  1. Au devant du pont de la porte de Saint-Thomas estoit un spectacle de verdure tout garny de pommes de grenades et d'oranges, tendu en maniere d'une chappelle.
    Ann. de Louis XII, p. 102 (spectacle)
  2. Entre tous les gens d'armes françois avoit un edict [convention] que si une piece d'artillerie ou un homme seul par inconvenient estoit arresté, que chascun s'arrestoit jusques à ce que tout feust à point.
    Annales de Louis XII, p. 44, dans LACURNE (édit [1])
  3. Plusieurs autres lamentations desolables feit le pauvre chevalier.
    Ann. de Louis XII, de 1506 et 1507, p. 33, dans LACURNE. (désolable)
  4. J'ai veu et advisé l'entrée qui est gaignable pour gens de pied.
    Annal. de L. XII, 1506 et 1507, dans LACURNE (gagnable)
  5. Au derriere d'un creneau demi abbatu estoient soixante d'hommes d'armes bourguignons, pour au besoing renforcer l'assaut.
    Ann. de Louis XII, p. 69, dans LACURNE (créneau)
  6. Avec batteaux attachez l'un à l'autre, bien foncez et ancrez au fonds de l'eaue, fait le comte de Ligny ponter [jeter un pont sur] icelle riviere, qui moult estoit large et profonde.
    Annales de Louis XII, p. 43, dans LACURNE (ponter [1])
  7. Voyans les Genevois [Génois] que breche à suffire avoient pour devoir donner l'assault.
    Ann. de Louis XII, 1506, 1507 (suffire)
  8. Chargez, compaignons, chargez vos ennemys, et commencez le hust ; car le premier coup vault deux.
    Ann. de Louis XII, ms. f° 74, dans LACURNE (coup)
  9. Sans cesse picquotoyent les Espaignols nos Françoys.
    Annales de Louis XII, f° 90, dans LACURNE (picoter)
  10. Trop chauffer cuit, trop parler nuit.
    Annales de Louis XII, ms. f° 119, dans LACURNE (chauffer)
  11. Lorsqu'il eut ordonné ses gens d'armes de cheval et mise son artillerye en tiltre [qu'il l'eût braquée].
    ms. f° 74, dans LACURNE (titre [1])
  12. Le chasteau ne se voulut de premiere venue rendre, ains attendit à mettre le siege et asseoir l'artillerie ; et, voyans que c'estoit à tout [tout de bon], parlementerent et se rendirent.
    Ann. de Louis XII, p. 179. dans LACURNE (tout, toute)
  13. Ceulx de la ville ne s'esmeurent de tant que ils feissent saillie, escarmouche, ou meute de guerre sur les François, mais se tiendrent là tous cois.
    Ann. de Louis XII, p. 28, dans LACURNE (meute)
  14. Ung Espaignol luy rua un coup de raspiere le long de sa pique, qui luy tomba sur la main senestre tellement que les deux maistres doits luy fist voller à terre.
    Annales de Louis XII, f° 64, dans LACURNE, au mot maistre. (rapière)
  15. Pour longuement le pondereux fais de la guerre soutenir.
    Ann. de Louis XII, p. 42 (pondéreux, euse)
  16. Les juges [du camp] estoient Hercules, duc de Ferrare, et Louis, marquis de Saluces, lesquels estoient dedans un eschaffault près de celuy du roy, duquel pouvoient veoir tout à clair tous les coings et endroicts du champ, et sans empeschement adviser tout l'exploict de la bataille.
    Ann. de Louis XII, p. 89, dans LACURNE (juge)
  17. La quelle chasse est close et fermée soubz le loquet de douze clefs gardées par douze des plus suffisans citoyens de Gennes.
    Ann. de Louis XII, p. 119, dans LACURNE (loquet [1])
  18. À l'ung de ceux donna de la lance telle venue, que plus d'une toise luy mist au travers du corps, et mist homme et cheval par terre.
    Annal. de Louis XII, f° 46, dans LACURNE (venue)
  19. Là [sur le môle à Gênes] vit [Louis XII] les matelots monter les pieds amont du bas des navires jusque dedans les hunes, et descendre la teste contre-bas jusques au fond des navires.
    Chron. IV, 19 (hune)
  20. Voyant tant de drap d'or [tant de seigneurs] monter.
    Annales de Louis XII, p. 149, dans LACURNE (drap)