Jean D'AUTON, auteur cité dans le Littré
JEAN D'AUTON (1466-1528)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme JEAN D'AUTON a été choisie.moine chroniqueur du XVe siècle
Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Chroniques de Louis XII | 87 citations |
Quelques citations de Jean D'AUTON
Voici un tirage aléatoire parmi ses 87 citations dans le Littré.
J'ai veu et advisé l'entrée qui est gaignable pour gens de pied.
Annal. de L. XII, 1506 et 1507, dans LACURNE (gagnable)Deux charretes où estoient les forges, trois chargées de pelles, picques et tranches.
Ann. de Louis XII, p. 183, dans LACURNE (tranche)Et cependant se rafraischirent, et… radouberent leurs navires et galeres.
Chron. III, 27 (radouber)De laquelle artillerie estoit conduiseur un nommé Guillaume Legier, prevost d'icelle.
Ann. de Louis XII, p. 80, dans LACURNE (prévôt)Le flamand, foullé et assailly de tous costez, se deffendoit à tous efforts, mais tant estoit jà battu et lassé qu'il estoit prest à dire le mot et pris.
Annales de Louis XII, p. 351, dans LACURNE (mot)Vous, Orpheus, tant bien citharizant.
Annales de Louis XII, ms. f° 131, dans LACURNE (cithare)Le roy, tant humain quoique homme, ne fist mourir à qui il peut pardonner ; voyant le cas à lui seul toucher, lui donna la corde [le sauva d'être pendu], et voulut que nul des autres pour ce forfait encoureyt mort.
Annal. de Louis XII, f° 110, dans LACURNE (donner)Pour ce que à leur mutin s'estoit monstré tousjours pour la querelle populaire,
Ann. de Louis XII, p. 64, dans LACURNE (mutin, ine)Là feut entre les autres un des soldats de la place mis au vent [pendu].
Ann. de Louis XII, p. 179, dans LACURNE (vent)Lorsqu'ils levoient leur visiere pour prendre haleine, ceulx d'embas leur jectoient grandes pellées de terre mouillée contre le visage.
Ann. de Louis XII, p. 265, dans LACURNE (pellée)Ceulx de la ville ne s'esmeurent de tant que ils feissent saillie, escarmouche, ou meute de guerre sur les François, mais se tiendrent là tous cois.
Ann. de Louis XII, p. 28, dans LACURNE (meute)Estoient logez à l'enseigne de l'estoile [en plein air].
Annales de Louis XII, dans LACURNE (étoile)Envoya sommer de combatre ; ce que ne voulurent, mais sortirent à l'escarmouche, et là se commencerent à pincer bien estroit.
Annales de Louis XII, ms. f. 2, dans LACURNE (pincer)Ne voulut vuider ne rendre le fort, jusques à ce que, par le patibulaire dressé, eust claire congnoissance de la mort jugée de son frere.
Annales de Louis XII, p. 19, dans LACURNE (patibulaire)Pour longuement le pondereux fais de la guerre soutenir.
Ann. de Louis XII, p. 42 (pondéreux, euse)Elles furent appelées climacides, comme qui diroit eschelieres, pour autant qu'elles se courboient à quatre pieds et faisoient eschelles de leur dos aux femmes des princes et des roys.
Com. disc. le flatt. 7 (échelle [1])Un college de religieux de l'observance de St Dominique.
Annales de Louis XII, p. 107. dans LACURNE (collége)Eust esté pris le dit Espaignol, mais en se defendant advisa le vent, et se meit au-dessus ; et, pour fuir plus tost, meit la mizenne soubs l'estouyn, qui est une voile tenant à un des bouts de l'antenne, pendant hors sur le bord du navire, mise là pour faire hastive fuite ou viste chasse.
Ann. de Louis XII, p. 348, dans LACURNE (misaine)Le bastion que le seigneur de Milho, avec quelques autres capitaines de gens de pied et trois mille laquais françois, eut en garde.
Annales de Louis XII, p. 160, dans LACURNE (laquais)Chargez, compaignons, chargez vos ennemys, et commencez le hust ; car le premier coup vault deux.
Ann. de Louis XII, ms. f° 74, dans LACURNE (coup)