Auguste Marseille BARTHÉLEMY, dit L'ABBÉ BARTHÉLEMY, auteur cité dans le Littré

BARTHÉLEMY (1796-1867)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme BARTHÉLEMY a été choisie.

619 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.

Titre de l'œuvre Date de parution Citations
L'atlas du Voyage du jeune Anacharsis 581 citations

Quelques citations de Auguste Marseille BARTHÉLEMY, dit L'ABBÉ BARTHÉLEMY

Voici un tirage aléatoire parmi ses 619 citations dans le Littré.

  1. La satyre est une petite pièce qu'on donne après la représentation des tragédies, pour délasser les spectateurs.
    Anach. ch. 69 (satyre [2])
  2. Un Achéen nommé Arcadion, homme d'esprit et prompt à la repartie.
    Anach. ch. 61 (repartie)
  3. L'octave s'appelait alors harmonie, parce qu'elle renfermait la quarte et la quinte, c'est-à-dire toutes les consonnances ; et, comme ces intervalles se rencontrent plus souvent dans l'octacorde que dans les autres instruments, la lyre octacorde fut regardée, et l'est encore, comme le système le plus parfait pour le genre diatonique.
    Anach. ch. 27 (octacorde)
  4. Les anciens parlent souvent d'un Dédale d'Athènes auquel ils attribuent les plus importantes découvertes des arts et des métiers, la scie, la hache, le vilebrequin, la colle de poisson, les voiles, les mâts des vaisseaux, etc.
    Anach. ch. 37, note 25 (vilebrequin)
  5. On nous avait dit que nous trouverions beaucoup de magiciennes en Thessalie, et surtout dans cette ville ; nous y vîmes en effet plusieurs femmes du peuple, qui pouvaient, à ce qu'on disait, arrêter le soleil, attirer la lune sur la terre, exciter ou calmer les tempêtes, rappeler les morts à la vie, ou précipiter les vivants dans le tombeau.
    Anach. ch. 35 (magicien, enne)
  6. Les Athéniennes peignent leurs sourcils en noir, et appliquent sur leur visage une couche de blanc de céruse avec de fortes teintes de rouge.
    Anach. ch. 20 (rouge [1])
  7. Les prophètes exercent un ministère plus relevé : ils se tiennent auprès de la Pythie, recueillent ses réponses, les arrangent, les interprètent, et quelquefois les confient à d'autres ministres qui les mettent en vers.
    Anach. ch. 22 (prophète)
  8. J'ai voulu rendre les hoplites plus redoutables ; ils sont dans une armée ce qu'est la poitrine dans le corps humain.
    Anach. ch. 10 (hoplite [1])
  9. Socrate plaisantait souvent de la ressemblance de ses traits avec ceux auxquels on reconnaît le dieu Silène.
    Anach. ch. 67 (plaisanter)
  10. Nous lui demandâmes ce que signifiaient deux paons de bronze placés aux pieds de la statue ; il nous dit que ces oiseaux se plaisent à Samos, qu'on les a consacrés à Junon, qu'on les a représentés sur la monnaie courante.
    Anach. ch. 74 (paon)
  11. Polygnote fut le premier qui varia les mouvements du visage, et s'écarta de la manière sèche et servile de ses prédécesseurs.
    Anach. Introd. part. 2, sect. 3 (sec, sèche)
  12. Lorsqu'un Athénien attente à ses jours, il est coupable envers l'État qu'il prive d'un citoyen.
    Anach. Introd. part. II, sect. 1 (coupable)
  13. On supporte si aisément dans une société les gens insupportables.
    Anach. ch. 61 (supporter)
  14. Après l'élection des archontes, se fait [à Athènes] celle des stratéges ou généraux d'armées, des hipparques ou généraux de cavalerie.
    Anach. ch. 15 (stratége)
  15. Le rhythme en général est un mouvement successif et soumis à certaines proportions.
    Anach. ch. 27 (rhythme)
  16. Cette harmonie ravissante fait que, dans la plupart de ses ouvrages [de Sapho], ses vers coulent avec plus de grâce et de mollesse que ceux d'Anacréon et de Simonide.
    Anach. ch. 3 (couler)
  17. À la majesté sublime qui brille dans les traits et dans toute la figure de Minerve, on reconnaît aisément la main de Phidias.
    Anach. ch. 12 (main)
  18. Sa promotion [d'Esculape] au rang des dieux doit être postérieure au temps d'Homère, qui n'en parle que comme d'un simple particulier.
    Anach. ch. 53 (promotion)
  19. C'était le plus grave des modes grecs.
    Anach. ch. 27 (hypodorien)
  20. Que résultait-il de cette grossièreté de mœurs, demanda Lysis ? - Ces hommes grossiers, répondit Philotime, battirent les Perses et sauvèrent la Grèce. - Nous les battrions encore. - J'en doute.
    Anach. ch. 26 (résulter)