Auguste Marseille BARTHÉLEMY, dit L'ABBÉ BARTHÉLEMY, auteur cité dans le Littré
BARTHÉLEMY (1796-1867)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme BARTHÉLEMY a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| L'atlas du Voyage du jeune Anacharsis | 581 citations |
Quelques citations de Auguste Marseille BARTHÉLEMY, dit L'ABBÉ BARTHÉLEMY
Voici un tirage aléatoire parmi ses 619 citations dans le Littré.
C'est lui [Smindyride] qui, voyant un paysan soulever sa bêche avec effort, sentait ses entrailles se déchirer, et qui ne pouvait dormir si, parmi les feuilles de rose dont son lit était jonché, une seule venait à se plier par hasard.
Anach. ch. 37 (entrailles)Loin de se fixer sur ces objets, les regards se portent rapidement sur la statue et sur le trône de Jupiter ; ce chef-d'œuvre de Phidias et de la sculpture fait, au premier aspect, une impression que l'examen ne sert qu'à rendre plus profonde.
Anach. ch. 38 (trône)Il [Épaminondas] leur disait : Sphrodias a une fille en âge d'être mariée ; il est trop pauvre pour lui constituer une dot ; je vous ai taxés chacun en particulier suivant vos facultés.
Anach. ch. 5 (taxer)Il s'est tenu ici une assemblée générale.
ib. ch. 82 (tenir)Je vais vous conduire au temple de Thésée, qui fut construit par Cimon, quelques années après la bataille de Salamine.
Anach. ch. 12 (construire)Philippe, irrité, répliqua : Si j'entre dans la Laconie, je vous en chasserai tous. Ils lui répondirent : Si.
Anach. ch. 82 (si [1])On rapporte sa première origine [de l'aréopage] au temps de Cécrops ; mais il en dut une plus brillante à Solon, qui le chargea du maintien des mœurs.
Anach. ch. 17 (rapporter)Nous distinguions déjà le temple d'Apollon, et cette prodigieuse quantité de statues qui sont semées sur différents plans, à travers les édifices qui embellissent la ville.
Anach. ch. 22 (plan [2])On voit des particuliers tirer de leur argent plus de seize pour cent par mois ; et d'autres, surtout parmi le peuple, exiger tous les jours le quart du principal.
Anach. ch. 55 (principal, ale [1])Le même poëte qui, pour célébrer l'éloge d'Apollon, avait mis son esprit dans une assiette tranquille, s'agite avec violence lorsqu'il entame l'éloge de Bacchus.
Anach. ch. 80 (entamer)Ce n'est que dans les besoins pressants qu'on fait marcher les esclaves, les étrangers établis dans l'Attique, et les citoyens les plus pauvres.
Anach. ch. 10 (marcher [1])Aristote éclairait son esprit, Platon enflammait son âme.
Anacharsis, ch. 26 (enflammer)Écrivain froid [Gorgias], tendant au sublime par des efforts qui l'en éloignent, la magnificence de ses expressions ne sert bien souvent qu'à manifester la stérilité de ses idées.
Anach. ch. 58 (stérilité)Le stade est une chaussée de six cents pieds de long, et d'une largeur proportionnée ; c'est là que se font les courses à pied, et que se donnent la plupart des combats.
Anach. ch. 38 (stade)Environ deux siècles après la guerre de Troie, une colonie de ces Ioniens fit un établissement sur les côtes de l'Asie, dont elle avait chassé les anciens habitants.
Anach. ch. 72 (établissement)À moins que l'accusé ne se pourvoie devant les Eumolpides, car cette famille sacerdotale, attachée de tout temps au temple de Cérès, conserve une juridiction qui ne s'exerce que sur la profanation des mystères.
Anach. ch. 21 (eumolpide)Plusieurs villes se disputent l'honneur d'avoir donné le jour à Homère.
Anach. Introd. 1re partie. (disputer)Nous [Athéniens] n'avons à présent d'autre ressource que l'indulgence ou la pitié de ce prince [Philippe] ; la pitié ! mânes de Thémistocle et d'Aristide !…
Anach. ch. 61 (mânes)J'admirais la sagesse des anciens législateurs qui imprimèrent un caractère de sainteté à la sépulture et aux cérémonies qui l'accompagnent.
Anach. ch. 8 (sépulture)Apollodore me dit : il est fils d'un cordonnier, et gendre de Cotys, roi de Thrace ; il s'appelle Iphicrate [général athénien].
Anach. ch. 7 (cordonnier, ière)