Auguste Marseille BARTHÉLEMY, dit L'ABBÉ BARTHÉLEMY, auteur cité dans le Littré
BARTHÉLEMY (1796-1867)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme BARTHÉLEMY a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| L'atlas du Voyage du jeune Anacharsis | 581 citations |
Quelques citations de Auguste Marseille BARTHÉLEMY, dit L'ABBÉ BARTHÉLEMY
Voici un tirage aléatoire parmi ses 619 citations dans le Littré.
Parmi les peuples de la Grèce, les uns ont plus d'esprit, les autres plus de bravoure ; il en est chez qui les qualités brillantes sont dans un juste équilibre.
Anach. ch. 62 (équilibre)Un squalide recors range sur l'établi Le code où la raison est vouée à l'oubli.
Némésis, la Magistrature. (squalide)Je cherchai la gloire dans les combats, je plongeai ma main dans le sang des malheureux ; et mes fureurs m'épouvantèrent.
Anach. ch. 78 (épouvanter)Au-dessous je vis la nature en ruine ; les montagnes écroulées étaient couvertes de leurs débris, et n'offraient que des roches menaçantes et confusément entassées.
Anach. ch. 35 (entassé, ée)Il [Socrate] eut de la peine à réprimer la violence de son caractère, soit que ce défaut paraisse le plus difficile à corriger, soit qu'on se le pardonne plus aisément.
Anach. ch. 67 (violence)Contraindre la plupart des magistrats à rendre compte de leur administration, suspendre de leurs fonctions ceux d'entre eux qui violent les lois, les traîner en prison, les déférer au tribunal supérieur, et les exposer, par des poursuites vives, à perdre la vie ; tous ces droits sont réservés aux éphores.
Anach. chap. 45 (éphore)Au lieu de ces vils tréteaux qu'on dressait autrefois à la hâte, il [Eschyle] obtint un théâtre pourvu de machines, et embelli de décorations.
Anach. ch. 69 (tréteau)L'après-midi ils [les Athéniens] prennent quelques moments de sommeil, ou bien ils jouent aux osselets, aux dés et à des jeux de commerce.
Anach. ch. 20 (osselet)Nous le parcourûmes plusieurs fois [le défilé], nous visitâmes les thermes ou bains chauds qui lui ont fait donner le nom de Thermopyles.
Anach. ch. 34 (thermes)La veille de mon départ, nous soupâmes chez Platon ; je m'y rendis avec Apollodore et Philotas.
Anach. ch. 23 (rendre)La Grèce a produit de mon temps plusieurs grands hommes dont elle peut s'honorer, trois surtout dont elle doit s'enorgueillir, Épaminondas, Timoléon et Phocion.
Anach. ch. 82 (enorgueillir)Les anciens parlent souvent d'un Dédale d'Athènes auquel ils attribuent les plus importantes découvertes des arts et des métiers, la scie, la hache, le vilebrequin, la colle de poisson, les voiles, les mâts des vaisseaux, etc.
Anach. ch. 37, note 25 (vilebrequin)Poëtes télétiques, ceux dont les poëmes concernaient les initiations et les divinités mystérieuses.
Anach. t. VII, table 5 (télétique)Timagène, inquiet de ce projet de retraite, lui en demanda le motif, il [Épaminondas] répondit simplement : " Je suis obligé de faire blanchir mon manteau ; " en effet il n'en avait qu'un.
Anach. ch. 5 (manteau)Des chaînes sans nombre embrassèrent tous les membres de la société.
Anach. Introd. part. 1 (membre)On supporte si aisément dans une société les gens insupportables.
Anach. ch. 61 (supporter)La plupart des villes entretiennent des coureurs accoutumés à parcourir dans un jour des espaces immenses.
Anach. 34 (coureur, euse)Le peuple est ici plus bruyant qu'ailleurs ; dans la première classe des citoyens règnent cette bienséance qui fait croire qu'un homme s'estime lui-même, et cette politesse qui fait croire qu'il estime les autres.
Anach. ch. 20 (politesse)Eh non, reprit un autre, il [Diogène] est de Sinope ; les habitants l'ont condamné à sortir de leur ville. - Et moi je les ai condamnés à y rester.
Anach. ch. 28 (y [2])Quel est donc, lui dis-je, ce vieillard si modeste avec tant d'amour-propre, et si malheureux avec tant de bonheur ? C'est, me dit-il, Isocrate.
Anach. ch. 8 (quel, quelle)