Pierre Augustin Caron de BEAUMARCHAIS, auteur cité dans le Littré
BEAUMARCHAIS (1732-1799)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme BEAUMARCHAIS a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| La mère coupable, ou L'autre Tartuffe | 1792 | 71 citations |
| Le barbier de Séville, ou La précaution inutile | 1775 | 213 citations |
| Le mariage de Figaro, ou La folle journée | 1784 | 194 citations |
Quelques citations de Pierre Augustin Caron de BEAUMARCHAIS
Voici un tirage aléatoire parmi ses 509 citations dans le Littré.
Eh ! mon Dieu, monseigneur, c'est qu'on veut que le pauvre soit sans défaut.
Barb. de Sév. I, 2 (défaut)Le comte : Quel est donc ce Basile qui se mêle de son mariage ? - Figaro : Un pauvre hère qui montre la musique à sa pupille.
Barb. de Sév. I, 6 (hère [1])Le mari de ta mère était fort dérangé ; en mourant, il ne laissa rien.
Mère coup. II, 3 (dérangé, ée)Prenez garde que toutes ces histoires de maîtres supposés sont de vieilles finesses, des moyens de comédie.
Barb. de Sév. III, 2 (finesse)Il n'y a point de vent, madame, point de premier venu dans le monde.
Barb. de Sév. II, 4 (venu, ue)Le comte : Je ne te reconnaissais pas, moi ; te voilà si gros et si gras… - Figaro : Que voulez-vous, monseigneur ! c'est la misère.
Barb. de Sév. I, 2 (vouloir [1])Il [le gazetier Marin devenu riche] a tant fait par ses journées, qu'enfin nous avons vu de nos jours le corsaire allant à Versailles, tiré à quatre chevaux sur la route.
4<sup>e</sup> mém. (tiré, ée)Un Bazile ! il médirait qu'on ne le croirait pas.
Barb. de Sév. II, 9 (médire)Figaro : Allons, Figaro, vole à la fortune, mon fils.
Barb. de Sév. I, 6 (fils)Mes chers enfants, je vous porte en mon cœur.
Mère coupable, II, 16 (porter [1])Bartholo : De sa femme ? - Rosine : Je ne la suis pas encore.
Barbier de Sév. II, 15 (le, la, les [2])Et la jarretière de la mariée, l'aurons-nous ?
Mar. de Fig. V, 19 (jarretière)On n'obtient ni grand pathétique, ni profonde moralité, ni bon et vrai comique au théâtre, sans des situations fortes.
Mar. de Fig. Préf. (situation)Je crois que vous me lâchez des épigrammes, l'amour.
Barb. de Sév. II, 13 (lâcher)Cette jeune Florestine, que vous nommez votre pupille et qui vous touche de plus près.
Mère coupable, I, 6 (toucher [1])Vous le prenez bien haut, monsieur ! sachez que, quand je dispute avec un fat, je ne lui cède jamais.
Barb. de Sév. III, 5 (haut, aute)C'est un beau, gros, court, jeune vieillard, gris pommelé, rusé, rasé, blasé, qui guette, et furette, et gronde, et geint tout à la fois.
Barb. de Sév. I, 4 (geindre)Envahir les biens d'une maison qui se délabre.
Mère coup. I, 2 (délabrer)Cent fois je t'ai vu marcher à la fortune, et jamais aller droit.
Figaro, III, 5 (droit, droite [1])Cette personne est… la pupille de votre tuteur.
le Barb. II, 2 (pupille [1])