Pierre BERCHEURE, auteur cité dans le Littré
BERCHEURE (1290-1352)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme BERCHEURE a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Traduction de Tite-Live | 622 citations |
Quelques citations de Pierre BERCHEURE
Voici un tirage aléatoire parmi ses 626 citations dans le Littré.
Et requeroient que la chose fust gardée entiere jusques à la venue de lui.
f° 65, verso. (entier, ière)Il s'en print à aler et à mener autre part son farat [troupeau, haras ?].
f° 9 (haras [1])Expier aucun forfait n'est autre chose mès que purger ou mundifier, ou les diex apaiser, ou satisfaire à leur volenté.
f° 2, verso. (expier)Il tramistrent leur legaz à solliciter les pueples des Latins à mouvoir guerre encontre les Roumains.
f° 35, recto. (solliciter)Sa famille estoit funeste et douloureuse pour cause de la mort de son frere.
f° 44, verso. (funeste)Sachez que le lieu où l'eleccion des nouveaux magistraz et officiers se fesoit chascun an estoit apellé comice au singulier, et le fait et l'estat des dites elecoions estoit apellé les comices au plurier.
ib. (comices)Comme einsi fust que il [les tribuns] ne se flechissent point, et que il empeschassent le delet [levée de troupes] obstinement.
f° 94 (obstinément)Li appariteurs reporterent que le senat estoit parmi les champs, et ceste chose fut plus agreable aux dix homes [décemvirs] que se il eussent reporté que il, presens, eussent refusé le commandement.
f° 63, verso. (présent, ente [1])Hercules, estendue sa main, dist que il acceptoit bien celi aür [augurium].
f° 9, verso. (heur)Le pueple fermisoit et se douloit de leur servitude.
f. 12 (frémir)Se vous creez homme qui soit digne d'estre successeur à Romulus.
f° 12, verso. (successeur)Choses greves et cruelles que la enormité de cestuy fait ne laissa pas reciter.
f° 27, recto. (énormité)En ceste très grant deformité.
f° 35, verso. (difformité)Que ce qui estoit le fourfait de Appius Claudius, il ne vousissent atribuer à lui.
f° 67, recto. (attribuer)Ce estoit commencement de brigue [querelle] ; car li tribuns commandoient au peuple que il s'en alast, et li consulz ne le souffroient.
f° 54, verso (brigue)La quelle chose avoit esté hastivement faite par crainte de une loy et d'une ordonnance penible [qui inflige une peine].
f° 21, verso. (pénible)Et les estranges terres possider et conquerre.
f. 1 (posséder)Les choses qui encores erent jeunes et nouvelles eussent esté dissipées et destruites par discordes.
f° 28, recto. (dissiper)Jours comicialz estoient ceux qui estoient establiz à eslire les magistraz et à publier les loys.
f° 54, verso. (comitial, ale)Aucuns jouvenceaux desquels, au temps du roy Tarquin, la luxure et la superfluité avoit esté moult grande.
f° 28, recto (superfluité)