Guillaume BOUCHET, auteur cité dans le Littré
BOUCHET (1514-1594)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme BOUCHET a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.
Quelques citations de Guillaume BOUCHET
Voici un tirage aléatoire parmi ses 101 citations dans le Littré.
De là estoit venu qu'on dit : c'est un ris d'hostellier, il ne passe pas le bout des dents ou plus tost des levres.
Serées, I, p. 25, dans LACURNE (ris [1])Son voisin estoit une pilule ensucrée et un cuyvre doré.
Serées, liv. II, p. 101, dans LACURNE (pilule)Le proverbe ancien monstre bien le malheur où nous sommes, quand il dit : un avocat en une ville, un noyer en une vigne, un pourceau dans un bled, une taupe en un pré, un sergent en un bourg, c'est pour achever de gaster tout.
Serées, liv. I, p. 377, dans LACURNE (pourceau)Nous asseura que pour descouvrir le fard, qu'il ne falloit que tenir en sa bouche du saffran, et que veniez à halener une femme fardée, son fard n'aura pas si tost senty ce saffran qu'il tombera de luy mesme.
Serées, liv. I, p. 151, dans LACURNE (halener)Ces embourrements de ventre que partent les hommes, et ces penaillons de revesche de quoy les femmes grossissent leur cul.
Serées, III, p. 66, dans LACURNE (penaillon)Les chevaux et mulets de charge prennent plaisir au son et musique de ces brimballes.
Serées, liv. v, p. 413, dans LACURNE SAINTE-PALAYE (brimbale)Se jettant au beau milieu de la foire comme une mousche sans teste.
Serées, liv. III, p. 4, dans LACURNE (mouche)Nous appelons les gens indoctes et sans esprit, grandes oreilles et grands asnes, à cause que les asnes, qui ont les oreilles longues, sont fort indociles.
Serées, II, p. 46, dans LACURNE, au mot indocte. (indocile)Chaussez à la martingale ou à pont levis.
Serées, III, p. 24, dans LACURNE (pont-levis)Nicotiane ou herbe à la royne qu'aucuns maintenant appellent petum.
Serées, liv. III, p. 16, dans LACURNE (herbe)Ce patelinage [filouterie] fut sceu ; car celui qui l'avoit fait estoit conneu pour d'autres affrontements.
Serées, liv. 2<sup>e</sup>, p. 108, dans LACURNE (patelinage)La volte, la courante, la fissaye, que les sorciers ont amenez d'Italie en France.
ib. p. 136 (courante [1])Au temps de la monte, quand on faict saillir les juments.
Serées, liv. I, p. 408, dans LACURNE (monte)Les femmes ayant leur catamini peuvent obfusquer et eblouir la clarté du miroire.
Serées, liv. III, p. 213, dans LACURNE (catimini (en))J'ay veu un bon organiste, lequel, estant reprins des chanoines pour ne sonner rien qui vaille, disoit que le souffleur qu'on luy avoit baillé en estoit cause.
Serées, III, p. 255, dans LACURNE (sonner)Print ses yeux [lunettes] qu'il portoit à sa ceinture.
Serées, II, p. 157, dans LACURNE (œil)On dit que Paracelse, medecin allemand, a guery grand nombre de ladres par le moyen de l'or potable, combien qu'il soit fascheux à croire que l'or soit medicamenteux et alimenteux.
Serées, liv. III, p. 292, dans LACURNE (fâcheux, euse)Mines et gesticulations.
Serées, liv. I, p. 134, dans LACURNE, au mot matachins. (gesticulation)Danser la volte, la courante, la fissaye et autres danses dissolues.
Serées, liv. I, p. 133, dans LACURNE (courante [1])Chaussez à la martingale, ou à pont levis.
Serées, liv. III, p. 24, dans LACURNE (martingale)