Guillaume BOUCHET, auteur cité dans le Littré

BOUCHET (1514-1594)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme BOUCHET a été choisie.

101 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.

Quelques citations de Guillaume BOUCHET

Voici un tirage aléatoire parmi ses 101 citations dans le Littré.

  1. Une bonne commere, tirant un peu sur l'age, estant tombée, s'estoit escroupionnée, et estant habillée [pansée], elle avoit dit à son habilleur [chirurgien] le quel avoit remedié à la dislocation…
    Serées, p. 114, liv. I, dans LACURNE (habilleur)
  2. Non seulement le peu mais encore le pire demeure auprès de la lie.
    Serées, liv. III, p. 161, dans LACURNE (lie [1])
  3. Appelloient les gens des champs où ils passoient et logeoient, vilains pitaux, rustiques, piedgris et paysans.
    Serées, III, p. 9, dans LACURNE (pitaud, aude)
  4. Et eust dormi encor autant, n'eust esté que ceste nuict le crieur des trespassez, qu'on appelle le resveilleur, passant par sa rue, le resveilla par son cri.
    Serées, liv. I, p. 40 (réveilleur)
  5. Nous trouvons en Lucian qu'un juge appella en jugement un pour l'avoir nommé par son nom, pensant ce juge, depuis qu'il estoit consacré, demeurer innomable et inappellable.
    Serées, liv. I, p. 363, dans LACURNE (innommable)
  6. Danser la volte, la courante, la fissaye et autres danses dissolues.
    Serées, liv. I, p. 133, dans LACURNE (courante [1])
  7. Pourquoy est-ce que communement les chiens enragent quand la Canicule ou petit chien se lève ?
    Serées, 7 (canicule)
  8. C'estoit afin que les chicanneurs fussent retenus d'approcher d'un terrain si dangereux.
    Serées, IX (chicaneur, euse)
  9. Au temps de la monte, quand on faict saillir les juments.
    Serées, liv. I, p. 408, dans LACURNE (monte)
  10. Encores que ce gros cul empesche les femmes qui le portent, si est-ce que, quand elles veulent, elles le laissent ; et en ay veu plusieurs qui disoient : apportez moy mon cul, j'ay laissé mon cul à la maison, et me suis tant advancée que je suis venue icy sans mon cul.
    Serées, liv. III, p. 61, dans LACURNE (cul ou cu)
  11. Aussi dit on que la plus mechante roue du chariot est celle qui mene le plus grand bruit.
    Serées, l. I, p. 439, dans LACURNE SAINTE-PALAYE (bruit)
  12. Nous ne sommes que nambots et avortons eu esgard à la grandeur de ceux du vieil temps.
    Serées, livre II, p. 211, dans LACURNE (nabot, ote)
  13. Ces planchettes [sorte de corset] empeschent, par le bout d'en haut, serrant le brechet, la respiration, repoussant les poulmons au dedans ; et, serrant l'estomach, empeschent aussi la concoction.
    Serées, livre II, p. 249, dans LACURNE (planchette)
  14. Les chevaux et mulets de charge prennent plaisir au son et musique de ces brimballes.
    Serées, liv. v, p. 413, dans LACURNE SAINTE-PALAYE (brimbale)
  15. Il ne s'esmerveilloit si les gens de guerre estoient mauvais et sujects à la pince, veu qu'il avoit remarqué qu'aujourd'hui les soldats n'appelloient celui qui leur commande, non capitaine, mais mon cayntene ; que cela le faisoit penser qu'ils veulent dire que ce nom est venu de Caïn, qui fut le premier capitaine qui suivit la guerre.
    Serées, liv. III, p. 42, dans LACURNE (capitaine)
  16. On leur cria [aux menestrels] : soufflez toujours… leur soufflerie ne peut pourtant empescher…
    Serées, I, p. 186, dans LACURNE (soufflerie)
  17. Mines et gesticulations, telles que nous voyons faire à des matachins.
    Serées, liv. I, p. 134, dans LACURNE (matassins)
  18. Un riche faquin… qui bruloit ses pourceaux en sa cheminée, de peur d'en bailler des rillées.
    Serées, III, p. 181, dans LACURNE (rillons)
  19. Chascun estant habile à remarquer les fautes d'autruy, et, suivant le proverbe, voyant beaucoup de loin, et rien estant près de la chose.
    Serées, II, p. 223, dans LACURNE (près)
  20. Aller en embuscade et bailler la diane.
    Serées, liv. I, p. 403, dans LACURNE (diane [2])