Guillaume BOUCHET, auteur cité dans le Littré

BOUCHET (1514-1594)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme BOUCHET a été choisie.

101 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.

Quelques citations de Guillaume BOUCHET

Voici un tirage aléatoire parmi ses 101 citations dans le Littré.

  1. Outre que les gens tirans sur l'age sont surdastres, ils parlent fort haut.
    Serées, liv. II, p. 224, dans LACURNE (surdâtre)
  2. De là estoit venu qu'on dit : c'est un ris d'hostellier, il ne passe pas le bout des dents ou plus tost des levres.
    Serées, I, p. 25, dans LACURNE (ris [1])
  3. Un matin qu'elle avoit compagnie françoise [son galant].
    Serées, liv. II, p. 124, dans LACURNE (compagnie)
  4. Aller en embuscade et bailler la diane.
    Serées, liv. I, p. 403, dans LACURNE (diane [2])
  5. Aussi dit on que la plus mechante roue du chariot est celle qui mene le plus grand bruit.
    Serées, l. I, p. 439, dans LACURNE SAINTE-PALAYE (bruit)
  6. Nous appelons les gens indoctes et sans esprit, grandes oreilles et grands asnes, à cause que les asnes, qui ont les oreilles longues, sont fort indociles.
    Serées, II, p. 46, dans LACURNE, au mot indocte. (indocile)
  7. Non seulement le peu mais encore le pire demeure auprès de la lie.
    Serées, liv. III, p. 161, dans LACURNE (lie [1])
  8. Son voisin estoit une pilule ensucrée et un cuyvre doré.
    Serées, liv. II, p. 101, dans LACURNE (pilule)
  9. Une bonne commere, tirant un peu sur l'age, estant tombée, s'estoit escroupionnée, et estant habillée [pansée], elle avoit dit à son habilleur [chirurgien] le quel avoit remedié à la dislocation…
    Serées, p. 114, liv. I, dans LACURNE (habilleur)
  10. Et si les garentiroit de tous dangers belliques qui peuvent survenir au corps, en lui baillant la chemise de necessité qu'on a accoutumé vestir quand on va à la guerre, laquelle est faitte de lin filé la nuit de Noël par des filles chastes au nom du diable.
    Serées, liv. III, p. 25, dans LACURNE (chemise)
  11. Il me souvient d'un gentil homme qui, passant sa main par dessus sa bosse, luy ayant dit : voilà un bon billot pour jardiner mes oyseaux, il repondit : oui bien les niais.
    Serées, livre II, p. 206, dans LACURNE (jardiner)
  12. Du vin [c'est en jargon des mattois] du pivois ; pier c'est boire.
    Serées, II, 15 (pivois)
  13. Le diabloton qui estoit du nombre de ceux que les bonnes gens du village disent ne sçavoir que faire gresler le persil.
    Serées, II, p. 100, dans LACURNE (grêler [1])
  14. Mines et gesticulations, telles que nous voyons faire à des matachins.
    Serées, liv. I, p. 134, dans LACURNE (matassins)
  15. Ce mesme marchand vendant une haquenée disoit à celui qui la vouloit achepter : Prenez-la hardiment, elle est bonne pour jouer à trente et un, car elle ne passe point.
    Serées, I, p. 404, dans LACURNE (trente)
  16. Une matrone et sage femme que le vulgaire appelle madame du guichet.
    Serées, liv. II, p. 158, dans LACURNE (guichet)
  17. Les jours caniculaires.
    Serées, 7 (caniculaire)
  18. Le ventre [chez les femmes après l'accouchement] se camelote et ride…
    Serées, liv. II, dans LACURNE (cameloter)
  19. Encore qu'il fust facetieux et eust grace à parler, il ne rioit jamais de ce qu'il disoit.
    dans le Dict. de DOCHEZ (facétieux, euse)
  20. Ils furent si bien battus qu'il ne falloit point dire Phœbe domine ; car ils sçavoient bien pour qui c'estoit.
    Serées, liv. III, p. 278, dans LACURNE (phébé [2])