Louis BOURDALOUE, auteur cité dans le Littré

BOURDALOUE (1632-1704)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme BOURDALOUE a été choisie.

1808 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.

Titre de l'œuvre Date de parution Citations
Dominicales 343 citations
Exhorations 146 citations
Pensées 481 citations
Sermons pour le Carême 96 citations

Quelques citations de Louis BOURDALOUE

Voici un tirage aléatoire parmi ses 1808 citations dans le Littré.

  1. Il n'y a point de vérité que nous devions aimer davantage que celle qui nous reprend.
    4<sup>e</sup> dim. après Paq. Domin. t. II, p. 127 (reprendre)
  2. Ennemies de tout soin et de toute peine, elles n'entrent presque en rien, elles ne s'informent de rien.
    Pensées, t. I, p. 468 (entrer)
  3. Par le renouvellement de vos vœux vous vous maintiendrez dans la disposition la plus sainte où puissent être sur la terre des créatures mortelles.
    Exhort. renouvell. des vœux, t. I, p. 247 (renouvellement)
  4. On se dit pauvre, lorsqu'il y a des pauvres à soulager ; mais on cesse de l'être, dès que le moment et l'occasion se présentent de jouer.
    3<sup>e</sup> dim. après Pâq. Dominic. t. II, p. 98 (pauvre)
  5. Et nous-même, comment en parlons-nous ? avec le même froid que si nous n'y prenions nul intérêt.
    Pensées, t. I, p. 35 (froid [2])
  6. Dans l'ordre de la nature, c'est à l'âme de conserver le corps ; mais dans l'ordre de la grâce, c'est le corps de Jésus-Christ qui conserve notre âme.
    Myst. très saint Sacrem. t. I, p. 521 (ordre)
  7. Si c'était un homme capable de mollir quelquefois sur l'article du devoir…
    Pens. t. I, p. 407 (mollir)
  8. Un Dieu dans cet état est un reproche sensible de ses délicatesses [de l'âme], de son amour-propre, du soin qu'elle prend de son corps.
    Dim. de la Quinquagés. Dominic. (délicatesse)
  9. Tout cela est rigoureux, il est vrai ; mais de prétendre modérer tout cela, expliquer tout cela par des interprétations favorables à la cupidité de l'homme, c'est se tromper soi-même.
    Pensées, t. I, p. 92 (modérer)
  10. C'est dans le grand monde qu'on trouve ces dévotions aisées et commodes, ces dévotions que l'on veut accorder avec les maximes du siècle.
    Exhort. Ste Thér. t. I, p. 304 (dévotion)
  11. Demandez à cette femme mondaine si elle compte comme un péché de ne vouloir jamais ménager quelques moments pour écouter la parole de Dieu.
    Dim. de la Sexagés. Dominic. t. I, p. 423 (mondain, aine)
  12. Là, poursuivi d'une populace animée, abandonné aux plus indignes traitements d'une insolente et brutale soldatesque.
    Pensées, t. III, p. 376 (abandonné, ée)
  13. Tant de pécheurs vendus au péché.
    Serm. 19<sup>e</sup> dim. après la Pentecôte, Domin. t. IV, p. 174 (vendu, ue)
  14. Daignez écouter là-dessus mon désir, si c'est un bon désir.
    Pensées, t. I, p. 42 (désir)
  15. Cette malheureuse politique qui nous fait avoir pour les grands une complaisance si aveugle.
    Myst. Passion de J. C. t. I, p. 285 (politique [2])
  16. Tant d'âmes réprouvées, qui, par une simplicité pleine d'indiscrétion, ont adhéré aux sectes et aux hérésies, sous ombre d'une réforme imaginaire.
    7<sup>e</sup> dim. après la Pentecôte, Dominic. t. III, p. 92 (ombre [1])
  17. Malgré toute la contrariété qui paraît entre notre état et le sien.
    ib. Nativité de J. C. 499 (contrariété)
  18. La trinité des personnes divines est le grand mystère de l'incompréhensibilité de Dieu.
    Myst. Trinité, t. I, p. 482 (incompréhensibilité)
  19. Ne différons pas davantage une affaire aussi importante que celle du parfait renouvellement et du changement intérieur de nos âmes.
    Ouverture du Jubilé, Myst. t. II, p. 575 (renouvellement)
  20. C'est une leçon sensible et palpable pour nous.
    Pensées, t. II, p. 486 (palpable)