Dominique BOUHOURS, auteur cité dans le Littré
BOUHOURS (1628-1702)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme BOUHOURS a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.
Quelques citations de Dominique BOUHOURS
Voici un tirage aléatoire parmi ses 75 citations dans le Littré.
Dans nos vaisseaux, la fonction des pilotes est de veiller à ce que les timoniers suivent exactement la route que le capitaine leur ordonne.
Voy. t. II, p. 121 (timonier)Les bestiaux y sont dans la même abondance que dans le reste de ce pays ; ce qui, joint à la salubrité de l'air, rend la relâche à Montevideo excellente pour les équipages.
Voy. t. I, p. 54 (relâche [2])Nous ralliâmes, le 19 au point du jour, la côte de Célèbes, et nous la rangeâmes à la distance de trois à quatre milles.
Voy. t. II, p. 315, dans POUGENS (rallier)Les habitants de Taïti laissent toute leur longueur aux ongles, excepté à celui du doigt du milieu de la main droite.
Voy. t. II, p. 77, dans POUGENS (ongle)Le temps des maladies, qui commence ici ordinairement à la fin de la mousson de l'est, et les approches de la mousson pluvieuse de l'ouest, nous avertissaient de ne rester à Batavia que le moins qu'il nous serait possible.
Voyage, t. II, p. 339, dans POUGENS (mousson)Nous passâmes en deux heures le premier goulet, malgré le vent qui était directement debout et très violent.
Voy. t. I, p. 234 (vent)Aussi bons politiques que les Romains, ils [les Iroquois] avaient adopté quelques-uns de ces peuples vaincus, et leur avaient, pour ainsi dire, donné sur leur natte le droit de bourgeoisie iroquoise.
Instit. Mém. scienc. mor. et pol. t. III, p. 325 (natte)Nous mouillâmes dans la baie de Montevideo par quatre brasses d'eau, fond de vase molle et noire.
Voy. t. I, p. 24 (vase [1])Les voiles des Taïtiens sont composées de nattes étendues sur un carré de roseaux, dont un des angles est arrondi.
Voy. t. II, p. 92 (voile [2])Quand la lune présente un certain aspect… ils [les Taïtiens] sacrifient des victimes humaines.
ib. t. II, p. 85 (victime)Le changement de mousson, qui arrive ordinairement en octobre, peut primer comme il peut retarder d'un mois.
Voy. t. II, p. 376. dans POUGENS (primer [1])Nous suivîmes la côte environ à trois lieues d'éloignement ; elle rondissait insensiblement.
Voy. t. II, p. 919 (rondir)Ils [les Taïtiens] ont l'usage de saigner ; mais ce n'est ni au bras ni au pied ; un taoua, c'est-à-dire un médecin ou prêtre inférieur, frappe avec un bois tranchant sur le crâne du malade ; il ouvre par ce moyen la veine que nous nommons sagittale ; et, lorsqu'il en a coulé suffisamment de sang, il ceint la tête d'un bandeau qui assujettit l'ouverture.
Voy. t. II, p. 111 (saigner)Un autre usage de Taïti, commun aux hommes et aux femmes, c'est de se percer les oreilles, et d'y porter des perles ou des fleurs de toute espèce.
Voy. t. II, p. 79, dans POUGENS (oreille)Lorsque nous les eûmes suffisamment reconnues [des terres], je mis en travers à l'entrée de la nuit pour attendre l'Étoile.
Voy. t. II, p. 315 (travers)Nos gens y prirent une tortue du poids environ de deux cents livres.
Voy. t. II, p. 251 (tortue)Ma plume se refuse au détail de ce que le public de Buenos-Ayres prétendait avoir été trouvé dans les papiers saisis aux Jésuites.
Voy. t. I, p. 201 (saisi, ie)Je ne voulus point trop accoster la terre, jusqu'à ce que j'eusse atteint le 49° degré de latitude, à cause d'une vigie que j'avais reconnue en 1765 par 48° 34' de latitude australe à six ou sept lieues de la côte.
Voy. t. I, p. 217 (vigie)Une marée très forte, qui porte sud-est et nord-ouest, forme au milieu de ce passage un raz qui le traverse et où la mer s'élève et brise comme s'il y avait des roches à fleur d'eau.
Voy t. II, p. 182, dans POUGENS (raz)À six heures et demie, les vents refusant de plus en plus et la marée contraire étant assez forte, nous mouillâmes une ancre…
Voyage, t. II, p. 288, dans POUGENS (mouiller)