Dominique BOUHOURS, auteur cité dans le Littré

BOUHOURS (1628-1702)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme BOUHOURS a été choisie.

75 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.

Quelques citations de Dominique BOUHOURS

Voici un tirage aléatoire parmi ses 75 citations dans le Littré.

  1. Nous en fûmes quittes pour quarante-cinq pieds de notre fausse quille qui furent emportés.
    Voy. 2<sup>e</sup> part. t. II, p. 368, dans POUGENS (quille [1])
  2. Les six jours suivants nous furent tous aussi malheureux : de la pluie, du calme, et le peu qui venta, ce fut du vent debout.
    Voy. t. II, p. 236 (venter)
  3. La veille au soir, on avait aperçu du haut des mâts une petite île qui fut relevée depuis le nord-ouest jusqu'au nord-ouest-quart-ouest du compas.
    Voy. t. II, p. 193 (relever)
  4. Ils vinrent dans un canot semblable à ceux des Européens, à cette différence près qu'on le voguait avec des pagaies au lieu d'avirons.
    Voy. t. II, p. 306, dans POUGENS (pagaie)
  5. Les refus des secours nécessaires et les difficultés de toute espèce que le vice-roi lui faisait essuyer, l'empêchaient d'achever son radoub.
    Voy. t. I, p. 136 (radoub)
  6. Ce vignoble [de Constance], où l'on cultive des plants de muscat d'Espagne, est fort petit.
    Voy. t. II, p. 399 (vignoble)
  7. Nous passâmes en deux heures le premier goulet, malgré le vent qui était directement debout et très violent.
    Voy. t. I, p. 234 (vent)
  8. Le 30 janvier, un matelot tomba à la mer ; nos efforts lui furent inutiles, et jamais nous ne pûmes le sauver ; il ventait grand frais, et la mer était très grosse.
    Voy. t. II, p. 4 (venter)
  9. Le changement de mousson, qui arrive ordinairement en octobre, peut primer comme il peut retarder d'un mois.
    Voy. t. II, p. 376. dans POUGENS (primer [1])
  10. Mme la duchesse de Choiseul a porté l'humanité jusqu'à consacrer une somme d'argent pour transporter à Taïti un grand nombre d'outils de nécessité première, des graines, des bestiaux.
    Voyage, t. II, p. 100 dans POUGENS (outil)
  11. C'était constamment le vent du sud presque en tourmente et une mer affreuse.
    Voy. t. II, p. 214 (sud)
  12. Quelques-uns de nos messieurs ont remarqué que deux des plus jeunes avaient de ces grains de rassade dont on fait des colliers.
    Voy. t. I, p. 245, dans POUGENS (rassade [1])
  13. De tous les sauvages que j'ai vus dans ma vie, les Pecherais sont les plus dénués de tous ; ils sont exactement dans ce qu'on peut appeler l'état de nature.
    Voy. t. I, p. 294 (sauvage)
  14. Cette plante se cache sous les herbes et se plaît dans les lieux humides.
    Voy. t. I, p. 108, dans POUGENS (plaire)
  15. Les rois seuls [de Taïti] peuvent planter devant leurs maisons l'arbre que nous nommons le saule pleureur.
    Voy. t. II, p. 109 (saule)
  16. La côte est élevée, montueuse et couverte de bois ; elle est coupée en mondrains détachés et taillés à pic qui en rendent l'aspect très varié.
    Voyage, I, 5 (mondrain)
  17. L'approche de la nuit nous forçait à nous réamarrer, lorsqu'à cinq heures et demie il se leva une brise du fond du port.
    Voy. t. II, p. 215, dans POUGENS (réamarrer)
  18. Lorsque nous les eûmes suffisamment reconnues [des terres], je mis en travers à l'entrée de la nuit pour attendre l'Étoile.
    Voy. t. II, p. 315 (travers)
  19. Une marée très forte, qui porte sud-est et nord-ouest, forme au milieu de ce passage un raz qui le traverse et où la mer s'élève et brise comme s'il y avait des roches à fleur d'eau.
    Voy t. II, p. 182, dans POUGENS (raz)
  20. Nous ralliâmes, le 19 au point du jour, la côte de Célèbes, et nous la rangeâmes à la distance de trois à quatre milles.
    Voy. t. II, p. 315, dans POUGENS (rallier)