Dominique BOUHOURS, auteur cité dans le Littré

BOUHOURS (1628-1702)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme BOUHOURS a été choisie.

75 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.

Quelques citations de Dominique BOUHOURS

Voici un tirage aléatoire parmi ses 75 citations dans le Littré.

  1. Ma mâture me causait beaucoup d'inquiétude ; il y avait lieu d'appréhender que le grand mât ne rompît cinq ou six pieds au dessous du trélingage.
    Voy. t. II, p. 385 (trélingage)
  2. À six heures et demie, les vents refusant de plus en plus, et la marée contraire étant assez forte…
    Voyage, t. II, p. 288 (refuser)
  3. À six heures nous sortîmes de la baie en nous faisant remorquer par nos bâtiments à rames.
    Voy. t. I, p. 284, dans POUGENS (remorquer)
  4. Les voiles des Taïtiens sont composées de nattes étendues sur un carré de roseaux, dont un des angles est arrondi.
    Voy. t. II, p. 92 (voile [2])
  5. Les habitants de Taïti laissent toute leur longueur aux ongles, excepté à celui du doigt du milieu de la main droite.
    Voy. t. II, p. 77, dans POUGENS (ongle)
  6. Cette année, Sébastien Cabot, étant parti d'Espagne avec le titre de grand pilote de Castille, à la tête d'une escadre de cinq vaisseaux qu'il devait conduire aux Moluques par le détroit de Magellan.
    Voy. t. I, p. 32, dans POUGENS (pilote)
  7. Ces espèces de météores qu'ici le peuple croit être des étoiles qui filent, les Taïtiens les croient un génie malfaisant.
    Voyage, 2<sup>e</sup> part. ch. 3 (météore)
  8. Dans nos vaisseaux, la fonction des pilotes est de veiller à ce que les timoniers suivent exactement la route que le capitaine leur ordonne.
    Voy. t. II, p. 121 (timonier)
  9. Le temps des maladies, qui commence ici ordinairement à la fin de la mousson de l'est, et les approches de la mousson pluvieuse de l'ouest, nous avertissaient de ne rester à Batavia que le moins qu'il nous serait possible.
    Voyage, t. II, p. 339, dans POUGENS (mousson)
  10. Chaque jour, un peu avant ou après midi, nous avions à essuyer des grains accompagnés de tonnerre ; d'où nous venait cette étrange nuaison, sous le tropique et dans cet océan renommé plus que toutes les autres mers par l'uniformité et la fraîcheur des vents alizés de l'est au sud-est ?
    Voyage, t. II, p. 6, dans POUGENS (nuaison)
  11. Un autre usage de Taïti, commun aux hommes et aux femmes, c'est de se percer les oreilles, et d'y porter des perles ou des fleurs de toute espèce.
    Voy. t. II, p. 79, dans POUGENS (oreille)
  12. Nous suivîmes la côte environ à trois lieues d'éloignement ; elle rondissait insensiblement.
    Voy. t. II, p. 919 (rondir)
  13. Comme, malgré la jumelle dont nous l'avions fortifié, le mât de misaine faisait une très mauvaise figure, il fallut le soutenir par des pataras.
    Voy. t. II, p. 407, dans POUGENS (pataras)
  14. Une partie passa par notre travers sans s'arrêter.
    Voy. t. II, p. 225 (travers)
  15. Nous ralliâmes, le 19 au point du jour, la côte de Célèbes, et nous la rangeâmes à la distance de trois à quatre milles.
    Voy. t. II, p. 315, dans POUGENS (rallier)
  16. Les relèvements que nous fîmes au lever du soleil nous apprirent que les courants nous avaient entraînés dans le sud plusieurs milles au-delà de notre estime.
    Voy. t. II, p. 147 (relèvement)
  17. De tous les sauvages que j'ai vus dans ma vie, les Pecherais sont les plus dénués de tous ; ils sont exactement dans ce qu'on peut appeler l'état de nature.
    Voy. t. I, p. 294 (sauvage)
  18. C'était constamment le vent du sud presque en tourmente et une mer affreuse.
    Voy. t. II, p. 214 (sud)
  19. Ils vinrent dans un canot semblable à ceux des Européens, à cette différence près qu'on le voguait avec des pagaies au lieu d'avirons.
    Voy. t. II, p. 306, dans POUGENS (pagaie)
  20. Nous passâmes en deux heures le premier goulet, malgré le vent qui était directement debout et très violent.
    Voy. t. I, p. 234 (vent)