Dominique BOUHOURS, auteur cité dans le Littré
BOUHOURS (1628-1702)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme BOUHOURS a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.
Quelques citations de Dominique BOUHOURS
Voici un tirage aléatoire parmi ses 75 citations dans le Littré.
À une heure et demie après minuit, la sonde ayant donné trente-trois brasses…
Voy. t. I, p. 156 (sonde)Ce vignoble [de Constance], où l'on cultive des plants de muscat d'Espagne, est fort petit.
Voy. t. II, p. 399 (vignoble)C'était constamment le vent du sud presque en tourmente et une mer affreuse.
Voy. t. II, p. 214 (sud)Cette année, Sébastien Cabot, étant parti d'Espagne avec le titre de grand pilote de Castille, à la tête d'une escadre de cinq vaisseaux qu'il devait conduire aux Moluques par le détroit de Magellan.
Voy. t. I, p. 32, dans POUGENS (pilote)Le marquis de Vaudreuil fit présenter un collier aux Anneyots ; il les remercia de leurs bonnes dispositions et du rapport des médailles anglaises.
Instit. Mém. sc. mor. et pol. t. III, p. 342 (rapport)Je fus forcé de retrancher encore une once de pain sur la ration.
Voy. t. II, p. 210, dans POUGENS (ration)Une partie passa par notre travers sans s'arrêter.
Voy. t. II, p. 225 (travers)Quand la lune présente un certain aspect… ils [les Taïtiens] sacrifient des victimes humaines.
ib. t. II, p. 85 (victime)Le 19 au soir nous fûmes enfin en état de partir ; mais il sembla que le temps ne fît qu'empirer : grand vent du sud, déluge de pluie, tonnerre, grains en tourmente.
Voy. t. II, p. 211 (tourmente)Le temps des maladies, qui commence ici ordinairement à la fin de la mousson de l'est, et les approches de la mousson pluvieuse de l'ouest, nous avertissaient de ne rester à Batavia que le moins qu'il nous serait possible.
Voyage, t. II, p. 339, dans POUGENS (mousson)Nous la passâmes [la nuit] en panne sous les huniers, tous les ris pris et le cap au large.
Voyage, t. I, p. 22, dans POUGENS (panne [3])La frégate entièrement recalfatée dans ses hauts.
Voy. t. I, p. 8 (recalfater)Le changement de mousson, qui arrive ordinairement en octobre, peut primer comme il peut retarder d'un mois.
Voy. t. II, p. 376. dans POUGENS (primer [1])Nous suivîmes la côte environ à trois lieues d'éloignement ; elle rondissait insensiblement.
Voy. t. II, p. 919 (rondir)Une marée très forte, qui porte sud-est et nord-ouest, forme au milieu de ce passage un raz qui le traverse et où la mer s'élève et brise comme s'il y avait des roches à fleur d'eau.
Voy t. II, p. 182, dans POUGENS (raz)Le 30 janvier, un matelot tomba à la mer ; nos efforts lui furent inutiles, et jamais nous ne pûmes le sauver ; il ventait grand frais, et la mer était très grosse.
Voy. t. II, p. 4 (venter)Un autre usage de Taïti, commun aux hommes et aux femmes, c'est de se percer les oreilles, et d'y porter des perles ou des fleurs de toute espèce.
Voy. t. II, p. 79, dans POUGENS (oreille)Ma plume se refuse au détail de ce que le public de Buenos-Ayres prétendait avoir été trouvé dans les papiers saisis aux Jésuites.
Voy. t. I, p. 201 (saisi, ie)Nous ralliâmes, le 19 au point du jour, la côte de Célèbes, et nous la rangeâmes à la distance de trois à quatre milles.
Voy. t. II, p. 315, dans POUGENS (rallier)L'immortel Cook a plus donné seul à la géographie nautique que tous ceux qui l'avaient précédé dans la carrière.
Instit. Mém. scienc. mor. et polit. t. III, p. 54, dans POUGENS. (nautique)