Rémy BELLEAU, auteur cité dans le Littré
BELLEAU (1528-1577)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme BELLEAU a été choisie.poète de la Pléïade
Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.
Quelques citations de Rémy BELLEAU
Voici un tirage aléatoire parmi ses 80 citations dans le Littré.
Pesches, avant-pesches, presses, pavis, perdigoines.
Bergeries, t. I, p. 89 (pavie)Et fay, quand il me plaist, par figures sorcieres Flots sur flots entassés les grands monts escumer.
Bergeries, t. I, p. 131, dans LACURNE (sorcier, ière)Et bien où voulez-vous ailer, Mon miel, ma douceur, ma caresse ?
Œuvres, p. 130, dans LACURNE (caresse)[Des colonnes] pour soutenir le plinthe de ce bastiment [une sépulture].
Bergeries, t. I, p. 20, dans LACURNE (plinthe)C'est toy, courtois et gentil, Qui d'exil Retire ces passageres, Ces arondelles qui vont Et qui sont Du printemps les messageres.
dans JAUBERT, Glossaire. (hirondelle)…De rouges limaces Et d'autres dans les creux de leurs tendres cocasses [coquilles].
Berger. t. I, p. 70, dans LACURNE (cocasse [1])De leur petit bec artisan.
dans H. EST. Précell. p. 70 (artisan)Une [clochette] Pendant au col, mal assurée, D'un cheval de chasse-marée.
Œuvres, t. II, p. 69, dans LACURNE (chasse-marée)Sur les tresses blondelettes De madame et de son sein Toujours plein De mille et mille fleurettes.
dans H. EST. Précellence, p. 69 (blondelet, ette)Le blé meurdri de la froidure Et blesme des jarçans frimas, Maintenant n'a plus le chef bas, Mais touffu reprend sa verdure.
Bergerie, t. I, p. 106, dans LACURNE (gercer)Le garder [un troupeau de moutons] du pourry et de la clavelée, De charme, de venin et d'herbe ensorcelée.
Bergeries, t. I, p. 109 (pourri, ie)De la terre au large sein Tire de soigneuse main Cent sortes de minerailles.
Poésies, t. I, p. 46, dans LACURNE (minéral)Moy qui l'ay favory d'esprit, de sens et d'ame.
Bergeries, t. I, p. 172 dans LACURNE (favori, ite)Ou la troupe legere Des oiseaux peinturés surpris à la pantiere.
Poésies, t. I, p. 89, dans LACURNE (pantière ou pantenne)…C'est l'avant-vendangeur [constellation] De lumiere pareille et pareille grandeur Que celle qui se voit par la noire carriere Sur la queue d'helice espandant sa lumiere ; Ceste estoille est ardante…
Poésies, t. I, p. 179 (hélice)On la juge, au toucher quand on la sent rapeuse, Sans lustre, sans polly, sous le doigt grumeleuse.
Poésies, t. I, p. 12, dans LACURNE (râpeux, euse)Et comme on voit les espics tronçonnez, Cassez, froissez en brindelles menues.
Bergeries, t. I, p. 104, verso, dans LACURNE SAINTE-PALAYE (brindille)Mais qu'en me façonnant comme un soldat pratique, J'eusse appris à cresper [brandir] le long bois d'une pique, à piquer un cheval, le manier en rond.
Berger. t. I, p. 3, dans LACURNE (crêper)Biaizant la rondeur de ce grand univers.
t. I, f° 207, dans RAYNOUARD, Lexique. (biaiser)Pauvre, chetive, malheureuse, Et fortunée que je suis.
la Reconnue, IV, 1 (fortuné, ée)