François Henri Peudefer, dit Henri DE PARVILLE, auteur cité dans le Littré
DE PARVILLE (1838-1909)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme DE PARVILLE a été choisie.Journaliste.
Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.
Quelques citations de François Henri Peudefer, dit Henri DE PARVILLE
Voici un tirage aléatoire parmi ses 184 citations dans le Littré.
Les directions d'artillerie de Rennes et de Brest furent chargées de voir si l'on ne pourrait pas fractionner économiquement ces vieux canons.
ib. 27 nov. 1874, p. 7832, 1re col. (fractionner)Cet anémographe spectral [de M. de Parville] nous semble avantageux, en ce que l'opérateur peut conserver la trace du vent.
Journ. offic. 26 févr. 1874, p. 1537, 2<sup>e</sup> col. (anémographe)On appelle salants d'assez grandes étendues de terres voisines de la mer et recouvertes d'une couche très mince d'efflorescences salines.
Journ. offic. 17 nov. 1871, p. 4498, 2<sup>e</sup> col. (salant)L'écoulement de la gomme constitue une véritable maladie, que le savant botaniste [M. Ed. Prillieux] désigne sous le nom de gommose ; la gommose consiste en une transformation en gomme, substance inutile à l'économie, des éléments nécessaires à la formation des nouveaux tissus.
Journ. offic. 14 mai 1874, p. 3257, 2<sup>e</sup> et 3<sup>e</sup> col. (gommose)C'est dans le parenchyme [du limodorum abortivum] que, contrairement à ce que l'on savait, M. Chatin a découvert les globules chlorophylliens.
Journ. offic. 17 déc. 1874, p. 8367, 2<sup>e</sup> col. (chlorophyllien, ienne)L'auteur [M. Gruey] conclut que, conformément à ce que l'on présumait d'après les observations de 1873, 1874, 1875, les étoiles [filantes] de novembre ne rencontrent plus la terre ; le passage des Léonides a été absolument nul cette année.
Journ. offic. 30 nov. 1876, p. 8840, 1re col. (léonides)Nom donné, dans les landes de Gascogne, à une couche imperméable, située à la profondeur moyenne d'un mètre environ, d'épaisseur variable, d'un brun rouge foncé, assez compacte, qui ne cède qu'à la pioche ; c'est un sable cimenté par une sorte de matière organique légèrement ferrugineuse.
Journ. offic. 27 juill. 1870, p. 1337, 5<sup>e</sup> et 6<sup>e</sup> col. (alios)Il serait si facile d'utiliser leur travail [des courants d'eau] pour le colmatage et le limonage des terres arables.
Journ. offic. du 25 mai 1869, p. 749, 2<sup>e</sup> col. (limonage)Peut-être trouverait-on un remède efficace au mal en maintenant les galeries sous pression normale, même un peu forte, par des injections d'air comprimé et des écluses aerhydriques comme dans certains travaux de tunnels ou de galeries formées sous l'eau.
Journ. offic. 13 fév. 1876, p. 1199, 3<sup>e</sup> col. (aerhydrique)Il se passe ici, dit M. Dumas, ce que l'on remarque dans le phénomène de la regélation, si bien signalé par Faraday : les petits glaçons se fondent et constituent un glaçon unique.
Journ. offic. 19 avril 1870, p. 699, 1re col. (regélation)M. Bertrand communique, au nom de M. Marcel Depretz, un travail sur la rapidité de l'aimantation et de la désaimantation.
Journ. offic. 3 juin 1875, p. 3959, 3<sup>e</sup> col. (désaimantation)Dans un essai fait sur le chemin de fer de Filchburg, l'augmentation d'adhérence obtenue avec les hélices magnétisantes dépassa 40 p. 100, quand une seule paire de roues était aimantée.
Journ. offic. 23 avril 1876, p. 2887, 1re col. (magnétisant, ante)M. Gaston Planté envoie une note intéressante sur la foudre globulaire.
Journ. offic. 3 août 1876, p. 5879, 3<sup>e</sup> col. (globulaire)On monte les télescopes parallactiquement ; cela veut dire que le tube est installé sur un support longitudinal incliné comme l'axe du monde ; de plus, le tube peut tourner autour de ce support et se mouvoir, en outre, dans son propre plan.
Journ. offic. 24 oct. 1875, p. 8829, 3<sup>e</sup> col. (parallactiquement)M. le docteur Déclat signale à l'attention l'action bienfaisante du salicylate de fer.
Journ. offic. 6 janv. 1876, p. 143, 1re col. (salicylate)M. Planchon, professeur à Montpellier, après avoir décrit ce nouvel ennemi de la vigne [1865], lui donna le nom de rhizaphis vastatrix et plus tard celui de phylloxera vastatrix qu'il a conservé ; on a rapproché ce puceron d'un autre insecte découvert en Amérique en 1854, le pemphigus vitifolia, que l'on ne rencontrait que sur les feuilles de la vigne ; d'où le nom impropre de phylloxéra qui signifie parasite des feuilles, alors qu'en réalité on ne le trouve guère que sur les racines…
Journ. offic. 25 juin 1873, p. 4186, 3<sup>e</sup> col. (phylloxéra)Si l'on change beaucoup de latitude, l'influence de la rotation de la terre sur la dérivation peut devenir très appréciable.
ib. p. 167, 1re col. (dérivation [2])L'action ciselante produite sur différents métaux par des acides.
Journ. offic. 27 oct. 1876, p. 7711, 2<sup>e</sup> col. (ciselant, ante)Ses observations [de Sédillau] barométriques, thermométriques et pluviométriques s'y sont faites [à l'observatoire] sans temps d'arrêt.
Journ. offic. 8 déc. 1871, p. 4845, 3<sup>e</sup> col. (pluviométrique)Des rainettes, ces petites grenouilles vertes, bien connues des paysans, qui, chassant l'air des poumons dans leur poche gulaire, produisent un concert si bizarre.
Journ. offic. 4 juin 1873, p. 3553, 1re col. (gulaire)