Paul PELLISSON, auteur cité dans le Littré

PELLISSON (1624-1693)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme PELLISSON a été choisie.

397 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.

Titre de l'œuvre Date de parution Citations
Histoire de l'Académie française 1653 88 citations
Lettres historiques 264 citations

Quelques citations de Paul PELLISSON

Voici un tirage aléatoire parmi ses 397 citations dans le Littré.

  1. Il [un cardinal] lui a résigné [à un tiers] l'archevêché de Ravenne, sous une pension presque aussi grande que le revenu.
    Lett. hist. t. II, p. 429 (sous)
  2. Un jour ou deux de pluie, mais non pas assez forte pour percer les tentes, ni les manteaux.
    Lett. hist. t. I, p. 64, dans POUGENS (percer)
  3. Il est vraisemblable que le roi fera aussi assembler quelques troupes des garnisons voisines, pour tenir les leurs en respect.
    Lett. hist. t. I, p. 317 (respect)
  4. Après qu'elle [la duchesse d'York] eut reçu ses sacrements avec une piété et un zèle incomparable.
    Lett. hist. t. II, p. 251 (sacrement)
  5. Les soldats sont dans la tranchée dans la boue jusques à mi-jambe.
    Lett. hist. t. III, p. 327, dans POUGENS (mi [1])
  6. Personne n'est plus ici à la mode que M. l'archevêque de Cambrai ; et, ce qui vous surprendra, c'est par une chose qui n'est peut-être pas trop à la mode, qui est de faire admirablement son devoir d'évêque.
    Lett. hist. t. III, p. 277, dans POUGENS (mode [2])
  7. Il [le roi] ne passe point d'après-dînée sans tenir conseil avec les ministres, et sans se divertir au vol de la pie.
    Lett. hist. t. III, p. 34, dans POUGENS (pie [1])
  8. Quand un académicien est reçu, on doit lui faire lecture des statuts, qu'il est exhorté de garder.
    Hist. de l'Acad. II (exhorter)
  9. Les femmes de ceux qui s'y étaient retirés, ayant été prises dans la ville, ont beaucoup contribué, comme on croit, à la faire rendre.
    Lett. hist. t. II, p. 135 (rendre)
  10. M. le maréchal de Créquy leur avait refusé une trêve pour enterrer leurs morts.
    Lett. hist. t. II, p. 414 (trêve)
  11. Le roi envoya ce jour-là visiter M. le Prince par un ordinaire nommé Essin.
    ib. t. I, p. 205 (ordinaire)
  12. Ayant d'un côté la Barre, maréchal des logis des mousquetaires blancs, et de l'autre Reuillas, maréchal des logis des mousquetaires noirs.
    ib. p. 187 (mousquetaire)
  13. Les mousquetaires donnèrent des preuves d'une valeur extrême ; on n'en vit jamais reculer un seul ; il en fut tué un grand nombre ; et ceux qui restèrent avaient leurs épées faussées des coups qu'ils avaient donnés, et sanglantes jusqu'aux gardes.
    Lett. hist. t. I, p. 328, dans POUGENS (mousquetaire)
  14. Un fourneau que les ennemis avaient fait à l'un des bastions, n'a fait aucun mal, parce que les soldats virent la terre branler et se jetèrent à quartier.
    Lett. hist. t. II, p. 316 (quartier)
  15. Les travailleurs fuient en désordre ; mais on les soutint aussitôt après, et on rétablit le logement.
    Lett. hist. t. I, p. 203 (travailleur)
  16. Si la naissance nous donne une partie de ce qui est nécessaire pour ces grandes choses, nous devons recevoir le reste de l'institution.
    Disc. à l'Acad. (institution)
  17. On n'apporte point à ces mémoires ni le savoir, ni l'esprit, ni la méditation qu'il faudrait pour en tracer même un crayon imparfait.
    Mém. pour les gens de lettres, p. 71 (crayon)
  18. Qu'il n'y avait plus de parlement, parce qu'il avait été prorogé plus d'un an contre les lois.
    Lett. hist. t. III, p. 160 (proroger)
  19. Le chevalier d'Harcourt s'y était opposé, disant que c'était une affaire entre les couronnes de France et d'Espagne, dont la religion ne se devait point mêler.
    Lett. hist. t. II, p. 194 (religion)
  20. Il passe pour constant qu'une religieuse qui est en odeur de sainteté a prédit, il y a deux ans, que la messe se dirait publiquement cette année à Utrecht.
    Lett. hist. t. I, p. 131, dans POUGENS (odeur)