Paul PELLISSON, auteur cité dans le Littré

PELLISSON (1624-1693)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme PELLISSON a été choisie.

397 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.

Titre de l'œuvre Date de parution Citations
Histoire de l'Académie française 1653 88 citations
Lettres historiques 264 citations

Quelques citations de Paul PELLISSON

Voici un tirage aléatoire parmi ses 397 citations dans le Littré.

  1. Un simple soldat qu'on emportait fort blessé, comme on le plaignait en le voyant tout couvert de sang : ce n'est rien, dit-il, le régiment a fait son devoir.
    Lett. hist. t. I, p. 330 (rien)
  2. La capitulation a été signée par M. de Louvois et M. de Monclar pour Sa Majesté ; elle en doit envoyer d'ici la ratification.
    Lett. hist. t. III, p. 345 (ratification)
  3. Il est tombé sur un quartier de huit cents dragons suédois, les a défaits, et a encloué le canon qu'il ne pouvait emmener.
    Lett. hist. t. II, p. 348 (quartier)
  4. Quelques régiments d'infanterie, particulièrement celui des gardes du prince d'Orange, se firent tailler en pièces, sans que pas un soldat quittât sa place et son rang.
    Lett. hist. t. III, p. 231 (tailler)
  5. Cette fâcheuse perte [de Turenne] donna hier lieu, au petit coucher, de se souvenir des généraux tués par le canon ; on compta le maréchal de Créquy allant reconnaître Verceil, le maréchal de Guebriant, Pappenheim en la même bataille où Gustave Adolphe fut tué.
    Lett. hist. t. II, p. 382 (tué, ée)
  6. Cela fait croire qu'ils pensent à leurs affaires et à parlementer.
    Lett. hist. t. I, p. 102, dans POUGENS (parlementer)
  7. Les plus vieux officiers furent charmés de lui voir [à M. de Revel] plusieurs fois rallier son escadron.
    Lett. hist. t. I, p. 144 (rallier)
  8. La disette de toutes choses y était grande, surtout celle de l'eau douce ; elle y valait cinq sols le pot.
    Lett. hist. t. I, p. 223, dans POUGENS (pot)
  9. Adieu pour jamais, mignonne ; Périssent tous les jaloux ; Pleurez, amour, avec nous, Pleurez l'aimable pigeonne.
    dans RICHELET (pigeon)
  10. Plus ils voyaient la place de près, plus il leur semblait difficile et presque impossible d'empêcher qu'elle ne fût secourue, quand les ennemis voudraient.
    Lett. hist. t. III, p. 282 (secourir)
  11. À Doesbourg, ils [les Hollandais] ont inondé et noyé une partie des environs.
    Lett. histor. t. I, p. 159, dans POUGENS (noyer [2])
  12. La reine se porte tous les jours de bien en mieux.
    Lett. hist. t. I, p. 395, dans POUGENS (mieux)
  13. On nous envoie d'Angleterre trois mille hommes de vieilles troupes, qui ne coûteront rien au roi pour la levée.
    Lett. hist. t. II, p. 57 (troupe)
  14. Les bataillons du régiment des gardes, l'épée à la main, rompirent un grand bataillon des ennemis ; mais, en le rompant, ils se rompirent eux-mêmes.
    Lett. hist. t. III, p. 290 (rompre)
  15. Qu'il semblait ne manquer plus rien à la félicité du royaume que de tirer du nombre des langues barbares cette langue que nous parlons.
    Hist. de l'Acad. I (félicité [1])
  16. Si les ennemis voulaient aller à Limbourg, ils seraient obligés de lui prêter le flanc, à moins qu'ils n'allassent faire un grand tour.
    Lett. hist. t. II, p. 296 (prêter)
  17. Les soldats sont dans la tranchée dans la boue jusques à mi-jambe.
    Lett. hist. t. III, p. 327, dans POUGENS (mi [1])
  18. Sacs à terre, artillerie et autres choses nécessaires.
    Lett. hist. t. I, p. 101 (sac [1])
  19. Il y avait eu une sortie des ennemis, qui d'abord firent reculer les nôtres.
    Lett. hist. t. III, p. 382, dans POUGENS (nôtre)
  20. Les mousquetaires donnèrent des preuves d'une valeur extrême ; on n'en vit jamais reculer un seul ; il en fut tué un grand nombre ; et ceux qui restèrent avaient leurs épées faussées des coups qu'ils avaient donnés, et sanglantes jusqu'aux gardes.
    Lett. hist. t. I, p. 328, dans POUGENS (mousquetaire)