Paul PELLISSON, auteur cité dans le Littré
PELLISSON (1624-1693)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme PELLISSON a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Histoire de l'Académie française | 1653 | 88 citations |
| Lettres historiques | 264 citations |
Quelques citations de Paul PELLISSON
Voici un tirage aléatoire parmi ses 397 citations dans le Littré.
Le roi leur montra bien qu'il suffit à tout.
Lett. hist. t. III, p. 115 (suffire)Chacun ayant de quoi faire du potage, ce qui est la vie du soldat dans les fatigues.
Lett. hist. t. III, p. 301, dans POUGENS (potage)Les nouvelles de Zutphen étaient ce matin, qu'il y avait deux logements de quarante hommes chacun sur la contrescarpe, qu'on saignait le fossé.
Lett. hist. t. I, p. 194 (saigner)La véritable citadelle se pouvait encore longtemps défendre, quoique non pas si facilement, contre ceux qui étaient déjà maîtres du réduit.
Lett. hist. t. II, p. 375 (réduit [2])C'était un très beau parterre à voir que tant d'escadrons et de bataillons en bon ordre.
Lett. hist. t. III, p. 58, dans POUGENS (parterre)Notre armée est retournée au camp de Bischen, qui était celui où M. de Turenne était si bien fortifié, et dont il était sorti pour serrer les ennemis contre la montagne et les combattre.
Lett. hist. t. II, p. 389 (serrer)On crut que c'était un prétexte pour nous épier : le trompette eut ordre de demeurer et de suivre un des trompettes du roi, à qui on l'a donné en garde.
Lett. hist. t. I, p. 71 (trompette [2])On fit marcher la calèche et les sommiers qui portaient son dîner.
Lett. hist. t. I, p. 93 (sommier [2])L'église de Notre-Dame de Cambray est un très beau vaisseau.
dans HUMBERT (vaisseau)Il est vrai qu'on travaillait à une batterie qui aurait été plus meurtrière selon les apparences.
Lett. hist. t. II, p. 122, dans POUGENS (meurtrier, ière)M. de Saint-Amant ferait, comme il s'y était offert lui-même, la partie comique du dictionnaire, en recueillerait les termes grotesques, c'est-à-dire, comme nous parlerions aujourd'hui, burlesques.
Hist. de l'Acad. III (grotesques)Fiers de Neufchâtel, bons barons de Beaufremont, nobles de Vienne, preux de Vergy, riches de Châlons [c'étaient les surnoms des cinq principales maisons de Franche-Comté].
Hist. de Louis XIV, t. II, liv. VI, p. 264, dans POUGENS. (fier, ière [3])Les bataillons du régiment des gardes, l'épée à la main, rompirent un grand bataillon des ennemis ; mais, en le rompant, ils se rompirent eux-mêmes.
Lett. hist. t. III, p. 290 (rompre)Lorsque, dans la fougue et dans la chaleur de la composition, ils seraient travaillés de quelqu'un de ces importuns et fâcheux scrupules sur la langue…
Hist. de l'Acad. III (scrupule)Leur espérance est aux troupes de Brandebourg… on les tient fortes de quatorze ou quinze mille hommes.
Lett. hist. t. II, p. 171 (tenir)D'où vient que Tertullien crie si souvent contre les philosophes et les nomme tantôt les patriarches des hérétiques, tantôt les cuisiniers de toutes les hérésies ?
Mém. pour les gens de lettres, p. 84 (crier)C'est une place fort briguée, parce qu'elle met en passe de l'évêché.
Lett. hist. t. II, p. 285, dans POUGENS (passe [1])Ayant appris le sujet de sa détention, il s'en prit à rire, et dit qu'on le renverrait le lendemain.
Lett. hist. t. I, p. 287 (prendre)Le marquis de Nesle eut un coup de mousquet dans la tête, dont on allait le trépaner.
Lett. hist. t. III, p. 382 (trépaner)Les deux tranchées ont des places d'armes fréquentes et des communications par des lignes et des redans parallèles à la place.
Lett. hist. t. III, p. 7 (redan)