CONNON de BÉTHUNE, dit COESNE, ou QUESNES, auteur cité dans le Littré

QUESNES (1150?-1220?)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme QUESNES a été choisie.

212 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.

Titre de l'œuvre Date de parution Citations
Romancero 207 citations

Quelques citations de CONNON de BÉTHUNE, dit COESNE, ou QUESNES

Voici un tirage aléatoire parmi ses 212 citations dans le Littré.

  1. Ele [Troie] fu jà de moult grant signorie ; Or n'i puet on que la place trover.
    Romancero, p. 108 (place)
  2. Tous li clergé, et li home d'eage.
    Romancero, p. 94 (homme)
  3. Je ne chantai fors d'une seulement Qui tant forfist que vengeance en fust prise.
    Romancero, p. 89 (seulement)
  4. On n'aime pas dame par parenté [illustration de la famille], Ains quant ele est bele, courtoise et sage.
    Romancero, p. 110 (parenté)
  5. Mais demorez por garder cest païs [terre sainte].
    Romanc. p. 101 (garder)
  6. Et les dames, qui courtoises estoient [jadis], Ont tout laissié pour aprendre à bourser.
    Romanc. p. 87 (laisser)
  7. Chanter m'estuet [il me faut chanter], que m'en est pris courage, Non pas pour ce que d'amors me soit rien.
    Romancero, p. 85 (pas [2])
  8. Et de Troie r'ai-je oï conter Qu'ele fut jà de moult grant seigneurie.
    Romancero, p. 108 (conter)
  9. Par Dieu, vassal, jel di por vous gaber ; Cuidiez vous donc qu'à certes le vous die ?
    Romanc. p. 108 (gaber)
  10. Que [car] mon langage ont blasmé li François Et mes chançons, oïant les Champenois Et la contesse encoir, dont plus me poise [fâche].
    Romancero, p. 83 (encore)
  11. Mais j'ai plus grand talent que je me coise, Pour ce j'ai mis mon chanter en defois, [j'ai cessé de chanter].
    Romancero, p. 83 (chanter [2])
  12. Il n'est pas droit que l'on me desconfise ; Et si dirai bien la raison comment.
    Romancero, p. 89 (comment)
  13. Jà fut tels jors que [où] les dames amoient.
    Romancero. p. 87 (jour)
  14. Et que pourront dire li ennemi Là où li saint trembleront de doutance Devant celui qui onques ne menti ?
    Romancero, p. 96 (saint, ainte)
  15. Tel blasme amors qui en toute sa vie Leal amor ne bonne ne connut.
    Romancero, p. 86 (connaître)
  16. Et se je sui outraigex du trouver [mes vers sont outrageux], Ne s'en doit pas ma dame à moi irer, Mais vers amour qui me fait dire outraige.
    Romancero, p. 84 (outrageux, euse)
  17. Encor ne soit ma parole françoise, Si la puet-on bien entendre en françois.
    Romancero, p. 83 (français, aise)
  18. Com li oisel qui conchie son ni.
    Romancero, p. 98 (nid)
  19. S'or i laissons [en la Terre sainte] nos ennemis mortieus [mortels], à tousjours mais ert [sera] nostre vie honteuse.
    Romanc. p. 95 (ennemi, ie)
  20. Mais demorez [en la terre sainte], si ferez grant vigour, Tant que France ait jà recouvré s'honour.
    Romanc. p. 101 (vigueur)