Louis RACINE, auteur cité dans le Littré

RACINE L. (1692-1763)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme RACINE L. a été choisie.

fils du tragédien

56 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.

Quelques citations de Louis RACINE

Voici un tirage aléatoire parmi ses 56 citations dans le Littré.

  1. Ce nid qu'avec tant d'art, Au même ordre toujours architecte fidèle, à l'aide de son bec maçonne l'hirondelle ! Comment, pour élever ce hardi bâtiment a-t-elle, en le broyant, arrondi son ciment ?
    Relig. I. (ciment)
  2. Voilà ce que sait faire un grand poëte ; les mœurs, soit bonnes, soit mauvaises, de ses principaux personnages sont si marquées, et, pour me servir d'un terme de peinture dans notre langue, si prononcées, qu'elles nous préparent à ce qui doit arriver.
    Traité de la poés. dram. x, 2 (prononcé, ée)
  3. Ambitieux de vaincre et non de discourir.
    ib. ch. v. (ambitieux, euse)
  4. Oui, c'est un Dieu caché que le Dieu qu'il faut croire ; Mais, tout caché qu'il est, pour révéler sa gloire, Quels témoins éclatants devant moi rassemblés ! Répondez, cieux et mers, et vous, terre, parlez.
    Religion, I (gloire)
  5. Si le ciel en mon choix eût mis ma destinée, Je n'irais point courir de bureaux en bureaux, Vérifiant journaux, bordereaux, comptereaux.
    Lettre à J. B. Rousseau, 29 nov. 1731, Œuvr. édit. 1808 (comptereau)
  6. Est-ce moi qui t'appelle et qui règle ton cours ?
    Relig. I (ce [2])
  7. Un ruisseau par son cours, le vent par son haleine, Peut à leurs faibles bras épargner tant de peines.
    Relig. III (épargner)
  8. On dirait que, pour s'accréditer, La fable en sa naissance ait voulu l'imiter.
    Relig. III (accréditer)
  9. Oui, c'est un Dieu caché que le Dieu qu'il faut croire ; Mais tout caché qu'il est, pour révéler sa gloire, Quels témoins éclatants devant lui rassemblés ! Répondez, cieux et mers ! Et vous, terre, parlez.
    Religion, I (dieu)
  10. Combien d'avant-coureurs annoncent ta ruine !
    Rel. IV (annoncer)
  11. L'auteur d'Athalie, qui se flattait d'être appelé le rival d'Euripide, regarda toujours Sophocle comme son maître, et disait qu'il n'avait jamais pris un de ses sujets, n'étant pas assez hardi pour jouter (c'était son terme) contre Sophocle.
    Traité de la poésie dramat. ch. X (jouter)
  12. Oui, grand Dieu, c'est en vain que l'humaine faiblesse Sans toi veut se parer du nom de la sagesse.
    la Grâce, I (vouloir [1])
  13. Oui, Dieu veut le salut de tous tant que nous sommes ; Jésus-Christ a versé son sang pour tous les hommes.
    Grâce, IV (tout, toute)
  14. Pour chanter les exploits des héros qu'il admire, Le faible Anacréon en vain monte sa lyre ; Les cordes sous ses doigts ne résonnent qu'amour.
    Ép. à Valincour (résonner)
  15. La vertu qui n'admet que de sages plaisirs Semble d'un ton trop dur gourmander nos désirs.
    la Relig. I (gourmander)
  16. Peuples, rois, vous mourrez et vous villes aussi, Là gît Lacédémone, Athènes fut ici.
    la Relig. I (gésir)
  17. La riche fiction est le charme des vers ; Nous vivons du mensonge.
    Relig. ch. IV (vivre [1])
  18. Mèdes, Assyriens, vous êtes disparus ; Parthes, Carthaginois, Romains, vous n'êtes plus.
    Relig. ch. III (disparu, ue)
  19. Toujours ivre de sang et toujours altéré.
    Rel. I (ivre)
  20. D'une âme généreuse ô volupté suprême ! Un mortel bienfaisant approche de Dieu même !
    la Rel. ch. VI (ô)