Louis REYBAUD, auteur cité dans le Littré

REYBAUD (1799-1879)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme REYBAUD a été choisie.

84 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.

Titre de l'œuvre Date de parution Citations
Jérôme Paturot à la recherche d'une position sociale 1846 75 citations

Quelques citations de Louis REYBAUD

Voici un tirage aléatoire parmi ses 84 citations dans le Littré.

  1. C'est le crâne qui [dans le système des phrénologues] nous fait courageux, aimables, bons, moraux, incorruptibles ; si la vertu descendait sur la terre, elle prendrait son siége dans les protubérances.
    Jérôme Paturot, I, 11 (protubérance)
  2. Le directeur de l'Opéra lui-même, ce satrape industriel, comme nous l'appelions, ne capitulait pas.
    Jér. Paturot, I, 6 (satrape)
  3. Vois toutes ces esquisses ; il y a de la main, du métier ; mais où est la conception, où est l'idée ?
    dans Excentricités du langage. (métier)
  4. Ils essayèrent de sauver leur dignité ; mais l'ouragan populaire grondait au dehors, et des excès étaient à craindre.
    Jérôme Paturot, III, 3 (ouragan)
  5. Je le retrouvais [un ennemi] sur ce terrain, me poursuivant de ses œillades furibondes et ourdissant contre moi des complots ténébreux.
    Jér. Pâturot, II, 7 (œillade [1])
  6. Quand il a fallu [en Angleterre] créer une législation sur les établissements insalubres, définir les nuisances et régler les formes de l'autorisation…
    Rev. des Deux-Mondes, janv. 1863, p. 384 (nuisance)
  7. En attendant, on s'en prenait à un pâté de venaison et à un pomard du meilleur caractère.
    Jérôme Paturot, III, 2 (pomard)
  8. De toutes les couronnes que j'avais rêvées, l'amour d'une grande dame était celle qui flattait le plus ma vanité.
    Jér. Patur. II, 16 (vanité)
  9. Les fonds saint-simoniens marchaient vers une baisse, et Malvina pressentait une déconfiture prochaine.
  10. Malvina, dont la tête était en proie aux ravages des spiritueux.
    Jér. Paturot, I, 14 (spiritueux, euse)
  11. Il [le public à l'Opéra] ne soupçonne pas les stratagèmes, les illusions du maillot… c'est là le triomphe des coussins et de la garniture.
    Jér. Paturot, II, 1 (triomphe [1])
  12. Jérôme [le capitaine de cette compagnie] jurerait comme un sacripant, qu'il n'en aurait que plus d'empire sur les voltigeurs.
    Jér. Paturot. II, 2 (voltigeur)
  13. Si je tenais le polisson qui a écrit ce billet, je lui donnerais cinq cent dix-neuf coups de cravache à travers la figure.
    Jér. Paturot, I, 14 (cravache)
  14. Tandis qu'on voit un tas de pleutres, d'ignorants et de pas grand'chose entasser des millions.
    J. Paturot, I, 3 (pleutre)
  15. C'est une pêche pour la morgue [tirer de l'eau un homme mort] ; mais le vertueux terre-neuvier n'en aura pas moins rempli son devoir.
    Jér. Paturot, II, 13 (terre-neuve)
  16. Quand le choix est fait [de la femme assez riche pour que sa dot paye une charge de notaire], on attaque à la fois le père et la fille ; l'ancien titulaire se charge de l'un, le nouveau titulaire se charge de l'autre, et, au bout d'un mois le contrat se signe.
    Jér. Paturot, I, 12 (titulaire)
  17. Il fallut l'intervention d'un de nos pères en Saint-Simon, pour que son zèle de néophyte ne le portât point à des extrémités fâcheuses.
    Jér. Paturot, I, 2 (père)
  18. Travail du hercheur,
    Rev. des Deux-Mondes, 1er nov. 1871, p. 155 (herchage)
  19. Maintenant, guerrier, ajouta Malvina, acceptez cette pipe, et culottez-la en mon honneur.
  20. Il s'était dit qu'il tuerait le veau gras le jour de mon retour ; en effet son déjeuner fut splendide.
    Jér. Patur. I, 16 (veau)