Louis REYBAUD, auteur cité dans le Littré
REYBAUD (1799-1879)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme REYBAUD a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Jérôme Paturot à la recherche d'une position sociale | 1846 | 75 citations |
Quelques citations de Louis REYBAUD
Voici un tirage aléatoire parmi ses 84 citations dans le Littré.
Entre ces neuf cents habitants des deux sexes, logés sous les mêmes toits, il y a de temps en temps des scènes un peu vives, du tirage, comme on dit familièrement.
Rev. des Deux-Mond. 15 fév. 1872, p. 799 (tirage)Des populations agricoles qui puisent l'instinct de l'ordre dans le sentiment jaloux de la propriété.
Jér. Paturot, III, 2 (population)La palatine m'introduisit dans son boudoir, où tout respirait la séduction et la grâce.
Jér. Paturot, II, 16 (séduction)Racheter tractativement les parts des émigrés.
Rev. des Deux-Mondes, 1er nov. 1871, p. 143 (tractativement)L'âge avait pu dégarnir son crâne ; mais un toupet parfaitement en harmonie avec les cheveux réparait le ravage des années.
Jér. Patur. I, 3 (toupet)Alors ce monstre d'homme commence à me raconter comme quoi il a fait sauter la grenouille.
Jérôme Paturot, I, 5 (grenouille)Il s'était dit qu'il tuerait le veau gras le jour de mon retour ; en effet son déjeuner fut splendide.
Jér. Patur. I, 16 (veau)Malvina, dont la tête était en proie aux ravages des spiritueux.
Jér. Paturot, I, 14 (spiritueux, euse)À ces paltoquets de journalistes.
J. Paturot, II, 6 (paltoquet)En tombant du haut d'une montagne, mon brave Priessnitz se brise trois côtes et il invente l'hydropathie, c'est-à-dire l'art de guérir les humains avec de l'eau claire.
Jérôme Paturot, I, 11 (hydropathie)Depuis les beaux jours du symbolisme indien et de la mythologie grecque.
Jérôme Paturot, I, 2 (symbolisme)Sous un demi-jour vaporeux, dans une atmosphère imprégnée de parfums énervants, je sentais ma force s'en aller.
Jér. Patur. II, 16 (vaporeux, euse)De tous les moyens qui conduisent à la fortune, les deux plus sûrs sont la persévérance et le travail.
J. Patur. I, 16 (travail)L'événement [un suicide proposé par J. Paturot à sa maîtresse] serait bien plus dramatique, Malvina, bien plus touchant s'il était orné d'une femme, si nous nous en allions à deux. - Malvina : Plus souvent !
Jérôme Paturot, I, 15 (souvent)Oui, mon cher ; c'est la plaie du système représentatif que cette foule de députés qui veulent penser par eux-mêmes, voter, comme ils disent, en connaissance de cause.
Jér. Paturot, II, 20 (voter)Quand il a fallu [en Angleterre] créer une législation sur les établissements insalubres, définir les nuisances et régler les formes de l'autorisation…
Rev. des Deux-Mondes, janv. 1863, p. 384 (nuisance)De toutes les couronnes que j'avais rêvées, l'amour d'une grande dame était celle qui flattait le plus ma vanité.
Jér. Patur. II, 16 (vanité)Se mettre nu pour se garder du froid, se couvrir de fourrures contre la chaleur, se jeter au feu pour se guérir d'une brûlure, c'est [l'homéopathie] le procédé de Gribouille élevé à la hauteur d'une théorie.
Jérôme Paturot, I, 11 (gribouille)Vois toutes ces esquisses ; il y a de la main, du métier ; mais où est la conception, où est l'idée ?
dans Excentricités du langage. (métier)On vitupère les écrivains officiels ; on devrait plutôt les plaindre.
Jér. Patur. I, 14 (vitupérer)