Louis-Benoît PICARD, auteur cité dans le Littré
PICARD (1769-1828)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme PICARD a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Duhautcours | 1801 | 18 citations |
| L'alcade de Molorido | 16 citations | |
| La manie de briller | 1806 | 19 citations |
| La Petite ville | 1801 | 20 citations |
| La vieille tante | 1811 | 11 citations |
| L'entrée dans le monde | 1799 | 12 citations |
| Les deux Philibert | 1816 | 24 citations |
| Les Marionnettes | 1806 | 11 citations |
| Les provinciaux à Paris | 1802 | 24 citations |
| Les trois quartiers | 1827 | 10 citations |
| Le vieux comédien | 1803 | 7 citations |
| Le voyage interrompu | 1798 | 8 citations |
| M. Musard | 1803 | 10 citations |
Quelques citations de Louis-Benoît PICARD
Voici un tirage aléatoire parmi ses 260 citations dans le Littré.
Déjà je suis partout attendue, annoncée, Et Dorival a dû m'abonner au Lycée.
Médiocre et rampant, I, 4 (lycée)Quel tapage dans ce Paris !
Prov. à Paris, I, 3 (tapage)Quoi ! pour un inconnu… que je crois estimable, Se prendre tout à coup de belle passion !
Entrée dans le monde, II, 7 (passion)Ce quartier-ci va reprendre ; voilà la paix.
Provinc. à Paris, IV, 3 (reprendre)Courage ! inclinez-vous vers le soleil levant, agiles tournesols.
les Marionnettes, V, 8 (levant [1])Ce sont toujours les fripons qui se jettent à la tête des gens.
Prov. à Paris, IV, 20 (tête)Moi, messieurs, j'ai une pauvre tête, peu de jugement ; j'ai été gâté par ma mère.
Deux Philiberts, III, 13 (tête)Comme ma chère tante s'entend à mystifier les gens !
Vieille tante, V, 10 (mystifier)Mon petit neveu, vous me garderez une loge pour votre tragédie de société ; je me sens en train de rire.
Vieille tante, I, 7 (tragédie)Je vois ce qui se fait, j'entends ce qui se dit ; On devine le reste avec un peu d'esprit.
Entrée dans le monde, I, 7 (peu)Je ne tiens pas en place, je me sens heureux et léger.
Vieille tante, IV, 1 (place)Allez vous divertir, je vais intriguer pour vous.
Alcade de Molor. V, 3 (intriguer)Je ne veux pas être témoin de ce que vous allez lui dire ; je me sauve.
Manie de briller, II, 16 (sauver)Je pourrai donc enfin retirer les bijoux que j'ai laissés en gage au lombard de Montargis.
Coméd. ambul. II, 2 (lombard, arde [1])Vous me permettrez de vous offrir ma chasse, deux perdreaux rouges excellents.
la Petite ville, I, 8 (perdreau)Eh bien ! monsieur, ou je me trompe fort, ou c'est une auberge d'importance où l'on doit être bien traité.
Visitandines, I, 3 (importance)On nous reproche [à nous comédiens] notre amour-propre ; qui est-ce qui n'en a pas, quand un perruquier se dit artiste, un huissier jurisconsulte, et un barbouilleur de papier homme de lettres ?
le Vieux comédien, sc. 7 (perruquier)Il faut être amoureux ou avoir des affaires bien pressantes, pour venir de si bonne heure chez les gens.
Deux Philibert, I, 1 (gens [1])Vous ne vous êtes donc pas présenté à la caisse ? - Ah ! monsieur, c'est une misère.
Duhautcours, I, 5 (misère)Je m'en rapporte à la galerie : parlez, messieurs.
Les deux Philibert, III, 13 (galerie)