Charles PERRAULT, auteur cité dans le Littré

PERRAULT (1628-1703)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme PERRAULT a été choisie.

Le Littré nomme simplement PERRAULT aussi bien Charles, le fameux conteur, que son frère Claude, l'architecte traducteur de Vitruve.

73 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.

Quelques citations de Charles PERRAULT

Voici un tirage aléatoire parmi ses 73 citations dans le Littré.

  1. D'humeur accorte.
    Chaper. rouge, 20 (accort, orte)
  2. Mais quand d'habits neufs et brillants, Bien entendus et bien galants, Femme se pare en telles fêtes, C'est pour chasser à d'autres bêtes.
    Chasse, dans RICHELET (galant, ante)
  3. Un sauvage oiseau de rivière, Parmi les joncs et les glaïeux, Frappe inopinément mes yeux,
    Chasse, dans RICHELET (glaïeul)
  4. Est-ce, dis-je, un fort grand plaisir, Lorsque l'on dort du meilleur somme… D'être tout à coup réveillé Et cruellement tiraillé Par un pauvre ami que harasse L'inquiet démon de la chasse ?
    Chasse, dans RICHELET (tirailler)
  5. Comme le mérite des orateurs n'est pas de se servir de figures, mais de s'en bien servir, la louange d'un architecte n'est pas aussi d'employer des colonnes, des pilastres et des corniches, mais de les placer avec jugement et d'en composer de beaux édifices.
    Parallèle des anc. et des mod. 1er dial. (louange)
  6. La terreur de son nom qui devance ses armes Épandit dans les rangs de si vives alarmes…
    Poëme de la peinture. (épandre)
  7. Riquet à la houppe se présente à elle, brave, magnifique, et comme un prince qui va se marier.
    Contes, 78 (brave)
  8. Elle se fait brave pour la noce de son fils.
    601 (brave)
  9. …Deux imprudentes princesses Qui passaient tous les jours dans de vaines mollesses.
    Contes, l'Adroite princesse. (mollesse)
  10. Les vins couverts et veloutés Par les vieillards furent goûtés.
    dans RICHELET (velouté, ée [1])
  11. Une taille menue.
    Cendril. (menu, ue)
  12. …De là nous sont venus Tant d'arbres excellents autrefois inconnus, Ou qui ne se plaisaient qu'aux plus lointaines terres.
    Ép. à la Quintinye. (lointain, aine)
  13. L'autre se façonne en coquette, Qui sans cesse écoute ou caquette, Et n'a jamais assez d'amants.
    Griselidis. (coquet, ette)
  14. La moufle est composée de deux pièces de bois percées en façon de mortaises, dans lesquelles il y a des poulies de cuivre.
    Vitruve, dans RICHELET (moufle [2])
  15. On voit dans la gentilhommière, Qui tient un peu de la chaumière, Sur la porte on voit d'un loup gris La tête et deux chauves-souris.
    Chasse, dans RICHELET (gentilhommière)
  16. Les bras des polypes sont comme des appendices faites en manière de boutons formés en façon de tasse, dont le bord est dentelé.
    Essais, t. I, dans RICHELET (appendice)
  17. De demi-pied les coiffures baissèrent, La gorge se couvrit, les manches s'allongèrent, à peine on leur voyait le petit bout du doigt.
    Grisel. dans RICHELET (manche [2])
  18. Ce n'est pas que la patience Ne soit une vertu des dames de Paris ; Mais par un long usage elles ont la science De la faire exercer par leurs propres maris.
    Griselidis. (patience [1])
  19. Les proportions du chapiteau corinthien doivent être ainsi prises : il faut que le chapiteau avec le tailloir ait autant de hauteur que le bas de la colonne a d'épaisseur ; que la largeur du tailloir soit telle que la diagonale qui est depuis un de ses angles jusqu'à l'autre ait deux fois la hauteur du chapiteau ; car de là on prendra la juste mesure des quatre côtés du tailloir ; la courbure de ces côtés en dedans sera de la neuvième partie du côté à prendre de l'extrémité d'un des angles à l'autre ; le bas du chapiteau sera de même largeur que le haut de la colonne, sans le congé et l'astragale.
    ib. IV, 1 (chapiteau)
  20. Il y a deux vers dans le 6e livre de l'Énéide, qui ont été fort estimés… : On voyait là, dit la traduction, le cocher Tydacus, Qui tenant l'ombre d'une brosse Nettoyait l'ombre d'un carrosse.
    Mémoires, Avignon, 1759, p. 9 (ombre [1])