Nicolas ORESME, auteur cité dans le Littré
ORESME (1325-1382)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme ORESME a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Éth. | 1361 citations | |
| Thèse de Meunier | 394 citations |
Quelques citations de Nicolas ORESME
Voici un tirage aléatoire parmi ses 2129 citations dans le Littré.
Et c'est la derniere et souveraine fin, excepté paradis et la grace, par quoy l'en le desert [mérite].
Eth. 11 (desservir)Les pechiez ne sont pas mesurables ensemble.
Thèse de MEUNIER (mesurable)L'isle de Lesbie, où les tailleurs de pierre ont leur regle de plunt laquele il transmuent selon la figure de la pierre.
Éth. 167 (tailleur)Vendicion, achat ; prest, plegerie, usage.
Éth. 145 (vendition)Et pour ce aussi la delettacion qui l'ensuit obscurcist et appetice et afflebie.
Eth. 305 (obscurcir)Pour ce que honour est le loyer de vertu et est attribué as bons.
Eth. 120 (loyer)Et dient en tel cas lez expositeurs, que une negacion est superflue.
Éth. 334 (superflu, ue)Se il entendoit une forme exemplaire qui est en la pensée divine.
Eth. VI, 10 (exemplaire [1])Aucune foiz par negligence ou pour ce que l'en n'en cure, sont aucuns ars empirez et oubliez en tout ou en partie par procès de temps.
ib. V, 16 (curer)Et doncques se l'entention est malvese, tele puissance est appellée astuce ou malicieuseté.
Eth., 188 (astuce)Par collacion et composicion de l'un à l'autre faite.
Eth. 66 (collation [1])Et à celui qui est indigent ou souffreteus, l'en doit donner plus du gaing ou du profist.
Eth. 266 (indigent, ente)Avec ce je ne ose pas eslongier [éloigner] mon parler du texte de Aristote, qui est en plusieurs lieux obscur.
Prol. (texte)Adulateurs, menteeurs et flatteurs.
ib. 109 (adulateur, trice)Quant un homme nuist et fait peine hors la loy à aucun qui ne li contrarioit pas ou nuisoit, il fait injuste.
ib. 167 (contrarier)Pource que il a peu veu d'experience, et si est plus tempté des desirs corporels.
Éth. III (voir)Celui qui est malade, il n'est pas en sa volenté d'estre sain quant il lui plaira.
Eth. 74 (malade)Et tele chose est plus manifeste en ceste policie tyrannique, pour ce que elle est très malvese.
Éth. 246 (tyrannique)Il appartient au magnifique preparer et ordener tout edifice et habitation noblement et avenantement selon la quantité de ses richesses.
Eth. 116 (avenamment)Mais, se Dieu plaist, par mon labeur pourra estre mieux entendue ceste noble science.
Prol. (labeur)