Enguerrand de MONSTRELET, auteur cité dans le Littré
MONSTRELET (1400?-1453)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MONSTRELET a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Chroniques | 338 citations |
Quelques citations de Enguerrand de MONSTRELET
Voici un tirage aléatoire parmi ses 340 citations dans le Littré.
Là [après la mort de Philippe, duc de Bourgogne] renonça la duchesse Marguerite sa femme de ses biens meubles, pour la doubte qu'elle ne trouvast trop grands debtes, mettant sur sa representation sa ceinture, avec sa bourse et les clefs, comme il est de coustume.
I, 17 (clef ou clé)Toutefois il fut assez bien apaisé par aucuns cardinaux ses amis et de sa connoissance.
liv. I, ch. 55 (connaissance)Par plus forte raison, tu dois condoler sur la mort de ton frere.
I, ch. 47 (condouloir (se))Les trois schismatiques Dathan, Chores et Abiron, desquels nous lisons en la Bible.
t. I, ch. 39, p. 45, dans LACURNE (schismatique)Qui sans superiorité et legitime potesté apparente est armé et hardi d'autrui faire mourir…
I, 47 (supériorité)Pour esbaudir armes, et chevalerie accroistre.
I, 2 (ébaudir)Si estoient lors grands divisions entre les gens d'Eglise, par le moyen des deux contendants, lesquels on ne pouvoit concorder ni faire renoncer à l'Eglise universelle.
I, ch. 49 (concorder)Honoré Collin n'estoit point bien assuré qu'on ne leur jouast à la fausse compagnie.
liv. II, ch. 192 (compagnie)Et fit son departement en guise de moine, et ainsi habillé s'en alla.
II, 155 (guise [1])Gens de petit estat qui ne desiroient que de troubler les besongnes, pour eux augmenter et avoir majesté sur les plus riches.
t. II, p. 142, dans LACURNE (majesté)Dit une joyeuseté par maniere de gaberie.
t. I, p. 326, dans LACURNE (joyeuseté)Faisant invocation de caracteres, sorcelleries, charmes, superstitions et malefices.
I, 39 (caractère)Et pareillement en ces propres jours fut prise d'emblée la forteresse d'Estrepagny.
liv. II, chap. 68 (emblée (d'))Et durant le chemin prirent plusieurs enfants allaitans leurs meres, et les jetoient sur les espines et sur les haies en les lapidant très horriblement.
liv. II, ch. 39 (allaiter)Et Pothon prit Lyonel d'une main par le bord de son bassinet, et l'esgratigna de son gantelet au visage.
liv. II, ch. 8 (égratigner)S'ensuit la seconde lettre du roy Henry, duplicant à la seconde lettre du duc d'Orleans.
t. I, f° 11, dans LACURNE (dupliquer)Et pour acheter chevaux, armures et ce qu'à guerre appartient, souvent advient qu'ils vendent leurs choses [biens].
liv. I, ch. 25 (chose)Retrancher la mauvaise chair de la bonne et la brebis rongneuse du trouppel.
t. II, f° 159, dans RENOUARD, Lexique. (troupeau)Pour le danger des chemins qui estoient trop estroits et hayés en plusieurs lieux.
II, 108 (hayer)Quarante des mieux courants et plus experts de leur ost, et les mieux montés.
II, 19 (monter)