Enguerrand de MONSTRELET, auteur cité dans le Littré
MONSTRELET (1400?-1453)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MONSTRELET a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Chroniques | 338 citations |
Quelques citations de Enguerrand de MONSTRELET
Voici un tirage aléatoire parmi ses 340 citations dans le Littré.
Par la grace du souverain roi des rois, qui est notre createur et sauveur et creeur et donneur de toute paix.
liv. I, ch. 102 (créateur, trice)Pour esbaudir armes, et chevalerie accroistre.
I, 2 (ébaudir)Portoient à leurs pourpoints gros mahoitres à leurs espaules pour montrer qu'ils fussent larges par les espaules.
t. III, p. 129, dans LACURNE (maheutre)Il couroit lors une monnoie qu'on nommoit flourettes, qui valloit dix huit deniers ; mais enfin elles furent remises à deux deniers, puis on les deffendit tout à fait, tellement qu'elles n'eurent plus de cours.
dans DU CANGE, floretus. (florette)Et vous aussi bouter hors et eloigner de vous les complices, faiteurs et favorisants dudit duc de Bourgogne.
I, 75 (facteur)Environ trente valets que pages, de la famille du duc de Bourgogne.
t. I, f° 282, dans LACURNE (famille)… Reservé neuf veuglaires, deux cacques de poudre, vingt-et-trois arbalestes et neuf coffres de traits.
II, 12 (caque)Avec ses lettres de son scel, signées de son seing manuel, et corroborées par un acte public et notarié.
I, 49 (corroborer)En lui remontrant, entre les autres choses, la parfaite affection et vrai desir que le roi avoit de pacifier avecque lui et avoir traité.
II, 67 (pacifier)Feirent faire une proposition devant le roy par un carmeliste nommé frere Eustache.
t. I, ch. 103, p. 166, dans LACURNE (carme [1])Thoison d'or, herault de l'ordre du duc, portant un faisant rosti moult noblement paré, le presenta au duc pour entremet, disant à tel present appartenoit de vouer. Le duc lui repondit que voirement c'estoit bien raison, et en presence de tous voua et promit à Dieu le pere, à Dieu le fils, et à Dieu le benoist Saint-Esprit, un seul en trois personnes, que… il iroit à toute sa puissance où le grand Turc seroit, et le combattroit de son corps contre le sien.
t. III, p. 56, dans LACURNE (vouer)La libidinosité et outrage effrené d'aucuns hommes à tousjours attendre de descirer et de destrencher l'unité d'icelle [Église].
t. II, p. 160, dans LACURNE (libidinosité)Duquel deboutement et bannissement plusieurs Parisiens furent très joyeux, car moult le doutoient.
I, 248 (déboutement)En la fin de la dite reponse fut conclu par le roi d'Angleterre qu'il ne se desisteroit pas de son voyage, entreprise et armée, mais destruiroit de tout en tout à son pouvoir le royaume et le roi de France son adversaire et detenteur d'iceux pays injustement.
liv. I, ch. 146 (détenteur, trice)Fut ordonné le dit tresorier maire de la cité de Bordeaux ; et pareillement fut aussi ordonné Joachin Rohault contable du dit lieu, et en feit le serment en la main du dit chancellier, et le dit maire es mains d'iceux chancellier et contable.
t. III, p. 36, dans LACURNE (comptable)Il ne fit nulle execution contre ces malfaiteurs, jusqu'à ce qu'il pust prouver leur vie [conduite].
I, 47 (vie [1])À l'avertissement et introduction [instruction] de ceux qui à juste cause se voudroient en armes honorablement exerciter.
Prologue. (introduction)Et pour acheter chevaux, armures et ce qu'à guerre appartient, souvent advient qu'ils vendent leurs choses [biens].
liv. I, ch. 25 (chose)À l'exemple du limaçon, lequel, quand on passe près de lui, retrait ses cornes par dedans, et, quant il n'oyt plus rien, les reboute.
II, 53 (limaçon)Le dit frere Thomas fut mené devers notre saint pere le pape, lequel chargea pour l'examiner les cardinaux de Rouen et de Navarre, lesquels enfin le trouverent herese et coupable.
II, 127 (hérétique)