Michel de MONTAIGNE, auteur cité dans le Littré
MONTAIGNE (1533-1592)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MONTAIGNE a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Essais de Michel, seigneur de Montaigne | 1580 | 8092 citations |
Quelques citations de Michel de MONTAIGNE
Voici un tirage aléatoire parmi ses 8226 citations dans le Littré.
Rendre les urines espesses, noires et effroyables, ou les avoir arrestées par quelque pierre espineuse et herissée.
IV, 271 (effroyable)J'aime un parler non pedantesque, mais plustot soldatesque.
I, 191 (pédantesque)Ce seroit contre raison de poursuyvre les menus inconvenients, quand les grands nous infestent.
IV, 66 (infester)Les anciens franchissoient des nuits entieres à boire.
II, 16 (franchir)Je ne fus jamais sans homme qui m'en servist [de la musique, qui m'en jouât].
I, 195 (servir)Domination populaire.
I, 18 (populaire)Avec l'ayde du temps.
I, 105 (avec)Nous avons grand tort d'estimer que…
I, 69 (tort)Il ne peut fuir que les sens ne soient les souverains maistres de sa connoissance ; mais ils sont incertains et falsifiables à toutes circonstances.
t. II, p. 499, dans LACURNE (falsifiable)Les larmes que cette aultre plus forte passion avoit suspendues.
I, 63 (suspendre)C'est une ladrerie spirituelle qui a quelque air de santé.
I, 62 (air [2])C'est multiplier en confrairie la chose la plus une et unie [l'amitié], et de quoy une seule est encore la plus rare à trouver au monde.
I, 217 (confrérie)Ils ne cessent jusques au dernier souspir de les braver et desfier.
I, 244 (cesser)Poursuyvre et tuer une beste innocente qui est sans desfence.
II, 131 (innocent, ente)Qui se pourroit disner de la fumée du rost, feroit il pas une belle espargne ?
III, 364 (dîner [1])C'est l'enfileure de nos aiguilles [aimantées] suspendues l'une de l'aultre.
I, 266 (enfilure)Tout à un coup.
I, 82 (tout, toute)Il [le père de Montaigne] ordonnoit à celui de ses gens qui lui servoit à escrire, un papier journal à inserer toutes les survenances de quelque remarque et, jour par jour, les memoires de l'histoire de sa maison, très plaisante à veoir quand le temps commence à en effacer la souvenance.
I, 257 (mémoire [2])Il luy mesprint d'estre monté sur un cheval façonné à cette eschole.
I, 359 (façonner)Certains hommes d'armes, poisamment et malayséement armez.
ib. (armer)