Jean-Baptiste Poquelin, dit MOLIÈRE, auteur cité dans le Littré
MOLIÈRE (1622-1673)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MOLIÈRE a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Critique de l'école des femmes | 1662 | 243 citations |
| Dom Garcie de Navarre, ou Le prince jaloux | 1661 | 98 citations |
| Dom Juan, ou le Festin de Pierre | 1665 | 341 citations |
| George Dandin | 1666 | 203 citations |
| La comtesse d'Escarbagnas | 1671 | 67 citations |
| La jalousie du barbouillé | 1660 | 8 citations |
| L'amour médecin | 1665 | 104 citations |
| L'amphytrion | 1668 | 378 citations |
| La princesse d'Élide | 1664 | 137 citations |
| L'avare | 1668 | 425 citations |
| Le bourgeois gentilhomme | 1670 | 345 citations |
| L'école des femmes | 1662 | 422 citations |
| L'école des maris | 1661 | 252 citations |
| Le dépit amoureux | 1656 | 354 citations |
| Le malade imaginaire | 1673 | 263 citations |
| Le mariage forcé | 1664 | 132 citations |
| Le médecin malgré lui | 1666 | 185 citations |
| Le misanthrope | 1666 | 703 citations |
| Les amants magnifiques | 1670 | 69 citations |
| Les fâcheux | 1661 | 214 citations |
| Les femmes savantes | 1672 | 538 citations |
| Les fourberies de Scapin | 1671 | 218 citations |
| Le sicilien, ou L'amour peintre | 1667 | 94 citations |
| Les précieuses ridicules | 1659 | 314 citations |
| L'étourdi, ou Les contretemps | 1655 | 648 citations |
| L'impromptu de Versailles | 1663 | 123 citations |
| Mélicerte | 1666 | 64 citations |
| Monsieur de Pourceaugnac | 1669 | 185 citations |
| Psyché | 66 citations | |
| Sganarelle, ou Le cocu imaginaire | 1660 | 232 citations |
| Tartuffe, ou l'imposteur | 1664 | 769 citations |
Quelques citations de Jean-Baptiste Poquelin, dit MOLIÈRE
Voici un tirage aléatoire parmi ses 8504 citations dans le Littré.
Prépare-toi désormais à vivre dans un grand respect avec un homme de ma conséquence.
Méd. m. lui, III, 11 (conséquence)Laissons venir la fête, avant que la chômer.
le Dép. I, 1 (chômer)Et contre cet hymen ouvrez-moi du secours.
Tart. II, 3 (ouvrir)L'hypocrisie est un vice à la mode, et tous les vices à la mode passent pour vertus.
Festin, V, 2 (mode [2])Les sens n'ont point de part à toutes leurs ardeurs, Et ce beau feu ne veut marier que les cœurs.
Femm. sav. IV, 2 (sens [1])Peste soit le coquin de battre ainsi sa femme !
Méd. malgré lui, I, 2 (peste)Enfin je l'ai fait fuir, et sous ce traitement De beaucoup d'actions il a reçu la peine.
Amph. I, 2 (fuir)Il faudrait rêver quelque incident.
Crit. 7 (rêver)Les mauvais traitements qu'il me faut endurer, Pour jamais de la cour me feraient retirer.
Fâcheux, III, 2 (retirer)J'ai eu ma grâce de cette affaire. - Oui, mais cette grâce n'éteint pas peut-être le ressentiment des parents et des amis.
D. Juan, I, 2 (grâce)Je permets à son esprit d'être du parti de son cœur.
Critique, 7 (parti [3])Mon front l'a, sur mon âme, eu bien chaude pourtant [l'a échappé belle].
Sgan. 22 (chaud, chaude)Prenez-vous contre moi ses intérêts en main ?
Éc. des mar. II, 14 (intérêt)Depuis plus d'une semaine Je n'ai trouvé personne à qui rompre les os.
Amph. I, 2 (semaine)Je suis homme aussi de conseil.
Sicilien, 13 (conseil)Je m'en vais gagner au pied, ou je veux caution bourgeoise qu'il [leurs yeux] ne me feront pas de mal.
Préc. rid. 10 (caution)Premier placet présenté au roi sur la comédie du Tartuffe, qui n'avait pas encore été représentée en public.
…Pour jouer au plus sûr, Il faut me l'amener en un lieu plus obscur.
Éc. des f. V, 2 (jouer)Cette oreille-ci est destinée pour les langues scientifiques ; et l'autre, pour la vulgaire et la maternelle.
Mar. forcé, 6 (vulgaire)Ils traitent les savants de faquins à nasardes.
Fâch. III, 2 (nasarde)