Jules MICHELET, auteur cité dans le Littré

MICHELET (1798-1874)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MICHELET a été choisie.

historien et écrivain

66 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.

Quelques citations de Jules MICHELET

Voici un tirage aléatoire parmi ses 66 citations dans le Littré.

  1. Brenage vaut quinze muids d'avoine par an.
    Orig. du droit, p. 254 (brenage)
  2. À l'instant toutes les milices s'armèrent, les grands seigneurs envoyèrent leurs hommes.
    Hist. de France, t. II, p. 277 (milice)
  3. Ce sera une fête réelle, au sens antique, d'excellente influence sur les générations nouvelles, et puissamment éducative,
    cité dans Gaz. des Trib. 5 août 1875, p. 750, 3<sup>e</sup> col. (éducatif, ive)
  4. Ces héros mythiques, ces Hercules dont le bras sépare les montagnes.
    Histoire romaine, t. I, p. 6 (mythique)
  5. Des professions nouvelles commencent pour la noblesse ; d'innombrables tripots, aux tournois de leurs tapis verts, voient jouter la chevalerie nouvelle ; un mot a enrichi la langue : chevalier d'industrie.
    Louis XIV et le duc de Bourgogne, p. 146 (industrie)
  6. Il eût paru étrange qu'une demoiselle noble gagnât sa vie ainsi [à faire de la tapisserie] ; on n'eût pas voulu y croire ; on l'eût dite entretenue ; ce mot entre alors dans la langue.
    Louvois et St-Cyr, Revue des Deux-Mondes, 1er juin 1861, p. 575 (entretenu, ue)
  7. Ce qu'ils [les Anglais] avaient le plus à craindre, c'était que la France ne refît ces terribles nids de corsaires qui, sous Jean Bart, Duguay-Trouin, Forbin, Cossard, avaient rendu le commerce impossible, la mer intraversable.
    la Régence. (intraversable)
  8. La terreur de l'invasion, l'irruption horrible de ces bandes de mutilateurs [les troupes irrégulières de l'armée autrichienne], l'effroyable récit de ce qu'ils faisaient en Alsace.
    Louis XV, Hist. de France, t. XVI, p. 231 (mutilateur, trice)
  9. Partis de la vie pastorale, les Turcs ont fait de la tente immobilisée le symbole de l'empire ; cette tente… a deux portes : la porte du gouvernement et la porte de la béatitude (le harem).
    Orig. du droit franç. Introd. XXXVIII (porte [1])
  10. Les rhizopodes qui, de leurs petits manteaux, ont fait leur part des Apennins, surexhaussé les Cordillères…
    la Mer, 2<sup>e</sup> éd. p. 160 (surexhausser)
  11. Saint-Jacques de la Boucherie était la paroisse des bouchers et des lombards, de l'argent et de la viande.
    Hist. de France, t. IV, p. 52 (lombard, arde [1])
  12. On le vit [Maximilien] à la fin gagnant sa vie comme condottiere, dans le camp des Anglais, empereur à cent écus par jour.
    Hist. de France au XVe s. I, 8 (condottiere)
  13. Avec le monde a commencé une guerre qui doit finir avec le monde, et pas avant : celle de l'homme contre la nature, de l'esprit contre la matière, de la liberté contre la fatalité.
    Introd. à l'hist. universelle, p. 9 (fatalité)
  14. Comme il [Guise] traversait la chambre où se tenaient les quarante-cinq gentilshommes ordinaires, il fut égorgé.
    Précis d'hist. de France, ch. 9 (quarante)
  15. Il [Maximilien] était chasseur avant tout, et secondairement empereur, il eut la jambe du cerf, et la cervelle aussi ; toute sa vie fut une course, un hallali perpétuel.
    Renaissance, p. 145 (jambe)
  16. C'est [le cardinal Dubois] un homme d'affaires vif et passionné, entraînant, endiablé, terrible pour aller à son but.
    la Régence, p. 55 (endiablé, ée)
  17. Le tout [les Lettres persanes] est une vraie satire contre l'injustice polygamique, le dur veuvage où elle tient la femme.
    Régence, p. 440 (polygamique)
  18. Danton était d'abord, et avant tout, un mâle ; il y avait en lui du lion et du dogue, beaucoup aussi du taureau.
    Révolution, t. IV, p. 94 (mâle)
  19. Un monde de petits nobliaux, labourant l'épée au côté,
  20. Lois galloises : Dynwal mesura toute l'île en partant de la longueur d'un grain d'orge : trois grains font un pouce ; trois pouces, un palme ; trois palmes, un pied ; il y a trois pieds dans un pas ; trois pas, dans un saut ; trois sauts, dans un sillon ; mille sillons forment un mille.
    Orig. du droit, p. 106 (saut)