Jules MICHELET, auteur cité dans le Littré

MICHELET (1798-1874)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MICHELET a été choisie.

historien et écrivain

66 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.

Quelques citations de Jules MICHELET

Voici un tirage aléatoire parmi ses 66 citations dans le Littré.

  1. Camille Desmoulins, ce polisson de génie.
    Hist. de la Révolution. I, 2 (polisson)
  2. Les jacobins… terrorisèrent à leur tour.
    Préf. de la Terreur. (terroriser)
  3. Barbariser les esprits.
    Guerres de rel. IV (barbariser)
  4. Le pic ne serait pas l'idéal du travailleur, s'il n'était calomnié et persécuté.
    l'Oiseau. (pic [3])
  5. Danton était d'abord, et avant tout, un mâle ; il y avait en lui du lion et du dogue, beaucoup aussi du taureau.
    Révolution, t. IV, p. 94 (mâle)
  6. Dans les légistes conseillers de Philippe le Bel, il y avait contre les nobles, les hommes d'armes, les chevaliers, un fonds commun de malveillance, un levain de haine niveleuse.
    dans le Dict. de DOCHEZ. (niveleur)
  7. Ces plagiaires impitoyables [les jésuites] qui les [les enfants] enlevaient à leurs mères.
    Du prêtre et de la femme, 1re part. ch. 1 (plagiaire)
  8. Un monde de petits nobliaux, labourant l'épée au côté,
  9. L'aimable mot de Renaissance ne rappelle aux amis du beau que l'avénement d'un art nouveau et le libre essor de la fantaisie ; pour l'érudit, c'est la rénovation des études de l'antiquité ; pour le légiste, le jour qui commence à luire sur le discordant chaos de nos vieilles coutumes ; est-ce tout ?
    Hist. de France, Renaissance, p. 4 (renaissance)
  10. Les rhizopodes qui, de leurs petits manteaux, ont fait leur part des Apennins, surexhaussé les Cordillères…
    la Mer, 2<sup>e</sup> éd. p. 160 (surexhausser)
  11. Le chat-huant vole d'une aile silencieuse, comme étoupée de ouate.
    l'Oiseau. (ouate)
  12. Lois galloises : Dynwal mesura toute l'île en partant de la longueur d'un grain d'orge : trois grains font un pouce ; trois pouces, un palme ; trois palmes, un pied ; il y a trois pieds dans un pas ; trois pas, dans un saut ; trois sauts, dans un sillon ; mille sillons forment un mille.
    Orig. du droit, p. 106 (saut)
  13. L'anneau était mis au quatrième doigt ou doigt annulaire, parce que l'on croyait qu'une veine de ce doigt communiquait avec le cœur.
    Orig. du droit, p. 35 (annulaire)
  14. On le vit [Maximilien] à la fin gagnant sa vie comme condottiere, dans le camp des Anglais, empereur à cent écus par jour.
    Hist. de France au XVe s. I, 8 (condottiere)
  15. Cambon s'était établi en personne à la trésorerie.
    Hist. de la Révolution, XXI, 3 (trésorerie)
  16. D'octobre en mai, descendent de robustes montagnards qui conduisent leurs troupeaux dans la maremme ou dans la campagne de Rome, pour les ramener l'été sur les hauteurs.
    Hist. romaine, ch. 2 (maremme)
  17. Brenage vaut quinze muids d'avoine par an.
    Orig. du droit, p. 254 (brenage)
  18. Les grands de la France, réunis selon l'usage pour traiter de l'utilité du royaume, ont, par conseil unanime, jeté le fétu et rejeté le roi [Charles le Simple], pour qu'il ne fût plus leur seigneur… l'hommage et foi, nous les condamnons, repoussons, rejetons par le fétu : cette réponse faite, ils prirent des fétus et dépouillèrent leur foi.
    Orig. du droit, p. 121, 122 (fétu)
  19. La tradition par le fétu était d'usage en Hollande en 1764.
    ib. CXXIII (tradition)
  20. Saint-Jacques de la Boucherie était la paroisse des bouchers et des lombards, de l'argent et de la viande.
    Hist. de France, t. IV, p. 52 (lombard, arde [1])