Jean des Mares ou Des Marets, dit Jean MAROT, auteur cité dans le Littré
MAROT, J. (1450?-1526)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MAROT, J. a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Œuvres de Clément Marot, avec les ouvrages de Jean Marot et de Michel Marot, 6 vol. in-12, la Haye 1731 | 368 citations |
Quelques citations de Jean des Mares ou Des Marets, dit Jean MAROT
Voici un tirage aléatoire parmi ses 427 citations dans le Littré.
Fruition de l'eternelle et perpetuelle gloire.
Prologue à la reine Anne. (fruition)Ne cuidez pas que vous veuille affiner, Ou cautement vostre argent rappiner.
VI, 258 (rapiner)Lors eussiez veu grans courciers desbarder, Haulx appareilz getter pour mieulx s'ayder.
V, 133 (débarder)L'homme près mort a [le remede] quelquefois remis En sa santé, le gardant de ruyne.
V, 269 (près)Adventuriers veissiez, en leurs ordres parquez, Tous prestz en ung moment de donner et chocquer.
V, 140 (voir)Et que mieulx vault la mort que servitude.
V, 42 (servitude)Ung chef d'ouvraige.
V, 181 (chef-d'œuvre)Lors un vieillart, personne très famée.
p. 156, dans LACURNE (famé, ée)C'est trop fringué pour une jeune fille ; Car on cognoist au parler qui distille De vostre bec, qu'estes grant escolliere.
v, 260 (fringuer [1])Deux mil estoient, plombées deschargerent, Sonnent tabours, enseignes balloyerent ; C'estoit plaisir.
V, 105 (balayer)Adventuriers en cueilleurs de chastaignes Furent transmis ung baston blanc au poing.
t. V, 98 (cueilleur, euse)C'estoit plaisir ; car l'une en cotte simple Lors se despoille, et l'autre met sa guymple Dessus son chef, pour avoir meilleur grace…
V, 212 (guimpe)Et en parlant, par gestes monstroit bien, Que ses advers il ne doubtoit de rien, Ne leur danger [puissance] …
V, 100 (danger)En close main, à regret estendue, Don ne merite, et grace est confondue.
V, 193 (mériter)Pour ceste foy serez persecutez, Hays du monde, à mort executez.
I, 271 (haïr)Larges fossez, à fons de cuve et taille, Tous remplis d'eau, boulevars et renfors.
V. 148 (taille)Parquoy s'ensuyt qu'en toute clarité Son nom reluyt et sa vertu pullule [s'accroît, grandit].
V, 296 (pulluler)Celluy qui donne aux bons beatitude Le veult ainsi par sa grand rectitude.
V, 934 (rectitude)Sciomach donc l'assault redoubla si très fort Que pour fuyr ennemys font desmarche.
V, 90 (démarche)Pas n'est marchant celluy qui tousjours gaigne.
V, 231 (marchand, ande)