Jean de MAIRET, auteur cité dans le Littré
MAIRET (1604-1686)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MAIRET a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| La mort d'Asdrubal | 108 citations | |
| Soliman | 118 citations | |
| Sophonisbe | 1634 | 163 citations |
Quelques citations de Jean de MAIRET
Voici un tirage aléatoire parmi ses 404 citations dans le Littré.
…Rustan est enragé de voir Que vous nous commandez avec tant de pouvoir.
Solim. III, 2 (enragé, ée)Le bonheur a cela de la mer et du flux Qu'il doit diminuer sitôt qu'il ne croît plus.
Sophon. IV, 1 (bonheur)Je ne m'étonne pas que Rustan et la reine Par leurs inventions m'aient rendu criminel.
Soliman, IV, 2 (invention)… Impudent discoureur, Tu sauras si mon bras…
Soliman, V. 6 (discoureur, euse)Le sang coule partout ; nos palais démolis Dessous ces rouges flots sont tous ensevelis.
M. d'Asdrub. I, 3 (démoli, ie)Cette seule faveur est tout ce que je veux, Et c'est là que j'ai mis le comble de mes vœux.
Mort d'Asdrub. II, 1 (mettre)Quiconque aime le traître, aime la trahison.
Mort d'Asdrub. II, 3 (traître, esse)Vous avez donc perdu ces puissantes merveilles Qui dérobaient les cœurs et charmaient les oreilles.
Sophon. V, 9 (dérober)Puisqu'on a vu Siphax en l'hiver de son âge Concevoir tant de feux pour un si beau visage.
Sophon. I, 4 (hiver)Vous faites hors de temps le brave et le rebelle.
Soliman, v, 8 (faire [1])La frayeur de la mort dans mes os a couru.
Soliman, II, 1 (os)On sent croître en régnant le désir de régner.
Solim. II, 2 (régner)Seigneur, que l'intérêt de tant de gens de bien Vous fasse au moins surseoir ce voyage funeste.
Soliman, III, 2 (surseoir)Le soupçon, ce monstre sans pitié, Loge bientôt la haine où logeait l'amitié.
Solim. II, 7 (loger)Sus donc, ne perdons plus en discours infertiles Le temps qu'il faut donner aux effets plus utiles.
Sophon. V, 5 (infertile)Que tous les serviteurs et les proches des traîtres Portent l'iniquité des parents et des maîtres.
Soliman, V, 16 (iniquité)Si votre majesté désire qu'on lui montre Ce pitoyable objet, il est ici tout contre.
Sophon. V, 7 (contre)Pour me voir maintenant demander avec larmes Ce que j'ai mérité par le sang et les armes.
Sophon. IV, 5 (larme)Le soupçon, ce monstre sans pitié, Loge bientôt la haine où logeait l'amitié.
Soliman, II, 7 (soupçon)Un destin tout-puissant, une invincible étoile Aux yeux de ma raison attache un sombre voile.
Panthée, I, 7 (étoile)