LOUIS XI, auteur cité dans le Littré
LOUIS XI (1423-1483)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme LOUIS XI a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Les cent nouvelles nouvelles, dites les cent nouvelles du roi Louis XI | 1462 | 483 citations |
Quelques citations de LOUIS XI
Voici un tirage aléatoire parmi ses 563 citations dans le Littré.
Je suis tout seur d'ouir la passion ; plust à Dieu que ma femme fust mute [par allusion à l'Évangile de la passion qui est fort long] !
Nouv. XCVII (passion)Ainssy vous vous raccorderez Au doulz roy de misericorde, Mir de Ste Genev… et bonnes gens de raccorder leurs musettes, et parfaire la note encommencée.
Nouv. LXXI (raccorder)Beaux compagnons, bien assouvis et adressés de tout ce qu'on doit louer en gentilhomme vertueux.
ib. LVIII (assouvir)Force m'est que si je veux parvenir à mes fins, que par cautelle et deception je la gagne.
Nouv. XCV (déception)Et tiens, qui en auroit affaire, qu'on la trouveroit aujourd'hui au rang de nos cousines [courtisanes] en Avignon, à Beaucaire ou autre part.
ib. LV (cousin, ine [1])Plus esveillé qu'un rat.
Nouv. IX (éveiller)Et lors commença à dire baume [merveilles] de son chien.
Nouv. XCVI (baume [1])Attendant le rapaisement de son dit mari, qui, à l'heure du conte, estoit encore mal content.
Nouv. LXVIII (rapaisement)Au rapport qu'il fit, il estoit fort malade, et, à la verité dire, aussi estoit-il bien piqué [amoureux].
Nouv. XLVIII (piquer)Et le fait de sa coustrerie [custode, office de sacristain] recommanda à un jeune et gentil clerc, pour la desservir jusqu'à son retour.
ib. XLII (desservir)Je vous commande à payer vingt lions d'amende à la fabrique de ceans, et autant à monseigneur.
Nouv. XCIV (fabrique)Le lieu n'est grain honneste, il y fait trop puant.
ib. LXXXVIII (faire [1])Et quiconque la barguignoit, il avoit aussi bien à creance qu'à argent sec [comptant].
Nouv. XCI (argent)Il se laissa cheoir du haut de lui, menant très piteux deul, en regrettant sa bonne femme.
Nouv. XLVII (haut, aute)Si ce diable le commença à acoupler et le bon chevalier de soi defendre.
Nouv. 70 (accoupler)Il avoit si tres-grand haste de bien fournir son pourpoint [de manger], qu'il ne disoit mot.
Nouv. LXXXIII (pourpoint)Par quoi requeroit qu'il fut desjoint de sa fille.
Nouv. LXXXVI (déjoindre)Il bouta sa teste dedans le bouhot de la cheminée, où il vit notre bouchere plus simple qu'un chat baigné.
Nouv. XL. (chat, chatte)Un pertuis, par lequel maistre cordelier pouvoit apertement le choisir.
Nouv. II (choisir)Par très ferme credence qu'il avoit au St Sacrement du baptesme.
Nouv. LXX. (créance [1])