Benjamin LEGOARANT, auteur cité dans le Littré

LEGOARANT (1781-?)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme LEGOARANT a été choisie.

622 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.

Titre de l'œuvre Date de parution Citations
Nouvelle orthologie française 1832 622 citations

Quelques citations de Benjamin LEGOARANT

Voici un tirage aléatoire parmi ses 622 citations dans le Littré.

  1. Un des noms vulgaires de la farlouse ou alouette des bois (alaude cujelier), appelée aussi cochelerieu, cochelevier, turlut et turlutoir.
  2. Fondre et liquéfier sont souvent employés l'un pour l'autre ; mais on peut tâcher de distinguer, en disant que fondre s'emploie aussi bien en parlant des métaux, du verre et autres substances qui, pour devenir liquides, exigent un haut degré de température, que des substances qui n'en exigent que très peu ; tandis qu'on se sert plus volontiers de liquéfier pour la cire, le suif, etc. qui deviennent liquides au moyen d'une chaleur beaucoup moindre,
  3. Gomme-sassa ou gomme pseudoadragante, noms sous lesquels on désigne la sorte de gomme fournie par l'acacia gummifera (légumineuses),
  4. Ce terme Gémeau peut être employé au singulier, car on nomme Castor le Gémeau occidental, et Pollux le Gémeau oriental,
  5. Les pensionnaires d'une table d'hôte ou autres appellent aussi extra la personne qu'ils invitent à dîner et dont ils doivent payer l'écot par suite d'un prix convenu pour chaque extra,
  6. Nom commun que Linné donne à la 21e et 22e classe de son système, qu'il divise en monœcie et en diœcie, parce que les fleurs mâles et femelles y sont sur le même pied dans la première, et sur des pieds différents dans la seconde.
  7. Dans les navires qui ont pour moteur la vapeur, on s'est servi d'abord pour propulseur, des roues à aubes qui sont généralement remplacées par l'hélice.
  8. Une substance qui se dilate par la chaleur, éprouve en se refroidissant une contraction ; lorsqu'une force qui tend une corde d'instrument vient à casser, la corde se retire ou éprouve une rétraction.
  9. Les noms d'hippope chou et feuille de chou ayant été donnés parfois à l'hippope maculé, certains auteurs ont à tort parlé de l'hippope chou comme d'une espèce particulière.
  10. Genre d'entozoaires longtemps confondu avec le genre filaire, et placé à tort par certains naturalistes dans la classe des annélides, sous le nom de dragonneau.
  11. Nom que porte à Java le lophyre couronné (granivores), qui est le pigeon huppé de Banda, et le pigeon couronné de certains auteurs,
  12. Afin de les distinguer, il faut avoir soin de dire Vautour tombant quand il s'agit de la Lyre, et Vautour volant pour parler de l'Aigle.
  13. Il est devenu l'haliète nisus de Savigny.
  14. Chaque dispensataire des largesses du prince.
  15. On a écrit aussi dok ; dok ou douc signifiant, dans le pays, singe.
  16. Nom moderne du genre anchois, dans lequel on distingue l'engraulis vulgaire, connu sous le nom d'anchois, l'engraulis melette, dit vulgairement melette, melet et nadelle,
  17. Nom vulgaire donné à toutes les espèces du genre airelle, ou mieux du genre vaccinium (vacciniées), particulièrement au vaccinium myrtille.
  18. Construction en maçonnerie faite pour retenir au besoin, dans sa partie appelée la chambre de l'écluse, l'eau nécessaire pour faire monter ou descendre d'un bief à un autre le bateau qui parcourt un canal,
  19. Comme il y a des Basques en Espagne et d'autres en France, on a dit d'abord : Parler français comme un Basque espagnol ou comme une Basque espagnole.
  20. Les hommes de l'équipage sont classés en deux moitiés, dont l'une, appelée les bâbordais, a ses hamacs à bâbord, et l'autre, comprenant les tribordais, couche à tribord ; chacune de ces moitiés monte à son tour sur le pont pour faire le quart, appelé de là quart de bâbord et quart de tribord.