Benjamin LEGOARANT, auteur cité dans le Littré
LEGOARANT (1781-?)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme LEGOARANT a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Nouvelle orthologie française | 1832 | 622 citations |
Quelques citations de Benjamin LEGOARANT
Voici un tirage aléatoire parmi ses 622 citations dans le Littré.
Gomme de lierre, substance gommo-résineuse, dite aussi hédérine, que l'on extrait, dans le Levant, à l'aide d'incisions faites sur des vieux troncs de lierre,
Ce tube est supporté par une base ou espèce de socle, que l'on place sur deux directions à peu près perpendiculaires d'un même plan qu'on veut rendre horizontal, puis l'on fait mouvoir de telle sorte que la bulle reste stationnaire au milieu de la longueur du tube.
Il s'ensuit que ce proverbe a près de trois siècles ; car depuis 1582 la Sainte-Luce se trouve le 13 décembre, époque après laquelle les jours diminuent encore sensiblement.
La plus grande des espèces indigènes, et peut être de tout le genre, est la Vénus fauve, cythérée de Lamarck.
Fausse marcassite, petit globule de verre étamé de façon à présenter la couleur et l'apparence de la marcassite, c'est-à-dire de la pyrite qu'on travaillait autrefois pour en faire des bijoux.
Il est chirurgien auxiliaire et va passer au concours pour être entretenu.
Le fossoyeur, nom vulgaire et spécifique du nécrophore fossoyeur, dit aussi enfouisseur et enterreur, comme les autres espèces du genre nécrophore,
La partie du pain mangée par les souris est d'un demi-kilogramme, on voit facilement qu'il y est question d'une partie mangée.
On y distingue l'hibiscus abelmoschus, L., dit graine de musc ou graine musquée, ambrette et guimauve veloutée ; l'hibiscus tiliaceus, L., dit cotonnier de Mahot, bois de flot, bois siffleux, bois à fléau, bois liége ; l'hibiscus syriacus, L., nommé aussi guimauve royale et althaea, qu'il ne faut pas confondre avec la guimauve officinale (malvacées) appelée également althaea ; cet hibiscus, ketmie des jardins de certains auteurs, porte encore les noms vulgaires de guimauve en arbre, mauve royale et mauve en arbre.
Un des noms vulgaires du canard clangule (palmipèdes), dit aussi canard garrot et clangule,
Substance astringente, remplaçant le cachou, et tirée des feuilles de l'uncarie gambir (rubiacées), grande plante sarmenteuse de l'Océanie,
Frêne à feuilles rondes, fraxinus rotundifolia, Lamk. celui auquel on doit appliquer les dénominations de frêne de Calabre, de frêne à la manne (mais non de frêne à manne comme l'écrit l'Académie, ce qui est contraire à l'usage des botanistes),
Le berceau offert par la ville de Paris au roi de Rome, fils de Napoléon, était en vermeil, nacre et burgau.
Cette mine sera difficilement éventable ; une liqueur très éventable.
C'est au moyen de voitures cellulaires qu'on opère le transfèrement des forçats.
Nom moderne du genre ajonc (légumineuses), renfermant : 1° l'ulex européen ; 2° l'ulex provençal ou mieux ulex de Le Gall, attendu que ce botaniste, auteur de la flore du Morbihan, a fait remarquer le premier que l'ulex provençal se trouve également dans l'ouest de la France ; 3° l'ulex nain désigné comme une variété de l'ulex européen,x.
Le marbré habite l'Amérique méridionale.
Le port permis est, pour le capitaine, d'un tonneau ou deux, et d'une fraction de tonneau pour chaque officier.
Le myrica cérifère, appelé cirier de la Louisiane, et absolument cirier, dont le petit fruit globuleux est couvert d'une matière blanche, comme onctueuse, laquelle a beaucoup d'analogie avec la cire des abeilles.
Nom donné aux cristaux cubiques d'une pyrite de fer sulfuré, d'un jaune d'or, assez dure pour être taillée, polie et employée comme objet d'ornement.