Jean François de Galaup, comte de LA PÉROUSE, auteur cité dans le Littré

LA PÉROUSE (1741-1788)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme LA PÉROUSE a été choisie.

87 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.

Titre de l'œuvre Date de parution Citations
Voyage de La Pérouse autour du monde 1797 82 citations

Quelques citations de Jean François de Galaup, comte de LA PÉROUSE

Voici un tirage aléatoire parmi ses 87 citations dans le Littré.

  1. Nous avons serré la terre de Feu d'assez près pour apercevoir, avec nos lunettes, des sauvages qui attisaient de grands feux, seule manière qu'ils avaient d'exprimer leurs désirs de voir relâcher les vaisseaux.
    Voy. t. II, p. 50, dans POUGENS (serrer)
  2. Mon canot était resté sur le rivage ; un morceau de glace qui tomba dans l'eau à plus de quatre cents toises de distance occasionna sur le bord de la mer un tel remous, qu'il en fut renversé et jeté assez loin sur le bord du glacier.
    Voy. t. II, p. 160, dans POUGENS (remous)
  3. Nous continuâmes à louvoyer pour approcher le fond de la baie ; et, à neuf heures du soir, nous mouillâmes, par neuf brasses, à environ une lieue dans le nord-est du mouillage.
    Voy. t. II, p. 56, dans POUGENS (par [1])
  4. Bientôt nous reconnûmes la pointe de VanDiémen et le banc des brisants qui est au large de cette pointe.
    Voy. t. III, p. 252, dans POUGENS (pointe)
  5. Nous prîmes quelques dorades et deux requins, qui furent pour nous des mets délicieux, parce que nous étions tous réduits au lard salé.
    Voy. t. II, p. 172, dans POUGENS (requin)
  6. Tout annonçait que nous étions à l'embouchure d'une très grande rivière, puisqu'elle changeait la couleur et la salure de la mer à deux lieues au large.
    Voy. t. II, p. 142, dans POUGENS (salure)
  7. La végétation était encore plus vigoureuse que dans les baies où nous avions abordé.
    Voy. t. III, p. 50, dans POUGENS (vigoureux, euse)
  8. À deux heures nous étions par le travers de neuf petites îles ou rochers.
    Voy. t. II, p. 240, dans POUGENS (travers)
  9. Dans ce nombre étaient deux vieillards ayant une longue barbe blanche, vêtus d'une étoffe d'écorce d'arbres, assez semblable aux pagnes de Madagascar.
    Voy. t. III, p. 32, dans POUGENS (pagne)
  10. Je crus devoir attendre une circonstance plus favorable, et serrer le vent qui battait en côte.
    ib. t. II, p. 137 (serrer)
  11. J'avais reviré sur la terre à quatre heures du matin, et je l'aperçus à une lieue et demie au sud-est.
    Voy. t. II, p. 226, dans POUGENS (revirer)
  12. On sait que dans cette vaste partie du grand océan équatorial il existe une zone de 12 à 14 degrés environ du nord au sud, et de 140 degrés de l'est à l'ouest, parsemée d'îles, qui sont sur le globe terrestre ce qu'est la voie lactée dans le ciel.
    Voy. t. III, p. 169, dans POUGENS (zone)
  13. Je ralliai l'Astrolabe qui était beaucoup dans l'ouest, où il avait été entraîné par les courants.
    Voy. t. II, p. 392, dans POUGENS (rallier)
  14. Convaincu que les vaisseaux de l'État doivent protéger le commerce et ne jamais le faire.
    ib. t. IV, p. 144 (vaisseau)
  15. J'étais tenté de renoncer au plan que j'avais formé en partant de Maouna, de ne faire aucune relâche jusqu'à Botany-Bay,
    Voy. t. III, p. 247, dans POUGENS (relâche [2])
  16. Nous serions amplement dédommagés des fatigues extrêmes de cette campagne, si nous pouvions parvenir à détruire l'usage des sacrifices humains, qu'on dit être généralement répandus chez les insulaires de la mer du Sud.
    Voy. t. II, p. 12, dans POUGENS (sacrifice)
  17. Les naturels ont déjà abandonné Les yourtes dans lesquelles ils se terraient comme des blaireaux pendant tout l'hiver.
    Voy. ch. XXII, p. 146 (terrer)
  18. Nos bâtiments ont été environnés de thons ; mais nous en avons très peu pris, parce qu'ils étaient si gros, qu'ils cassaient toutes nos lignes.
    Voy. t. II, p. 22, dans POUGENS (thon)
  19. Nom des villages des Indiens indépendants, dans l'Amérique espagnole,
    Voy. t. II, p. 271, dans POUGENS (rancherie)
  20. On ne doit exposer aux mers du cap Horn et du nord de l'Amérique que des vaisseaux de quatre à cinq cents tonneaux.
    Voy. t. IV, p. 147, dans POUGENS (vaisseau)