Marie-Madeleine Pioche de la Vergne, comtesse de la Fayette, dite Madame DE LA FAYETTE, auteur cité dans le Littré
LA FAYETTE (1634-1692)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme LA FAYETTE a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| La Princesse de Clèves | 1678 | 36 citations |
Quelques citations de Marie-Madeleine Pioche de la Vergne, comtesse de la Fayette, dite Madame DE LA FAYETTE
Voici un tirage aléatoire parmi ses 112 citations dans le Littré.
Toutes les dames habillées galamment, avec mille plumes sur leur tête, accompagnées du roi et de la jeunesse de la cour.
Histoire d'Henriette d'Angleterre, Œuv. t. III, p. 102 (plume)Il y a aujourd'hui trois ans que je vis mourir Madame ; je relus hier plusieurs de ses lettres, je suis toute pleine d'elle.
Lett. Œuv. t. III, p. 216, dans POUGENS (plein, eine [1])Elle était sur un lit de repos, avec une table devant elle, où il y avait plusieurs corbeilles pleines de rubans.
Princ. de Clèves, Œuv. t. II, p. 216, dans POUGENS. (repos)M. de Seignelay trancha du maître dans la marine, comme font tous les ministres du roi dans leur district.
Mém. cour France, Œuv. t. III, p. 52, dans POUGENS (trancher)Quelle passion endormie se ralluma dans son cœur, et avec quelle violence !
Princ. de Clèves, Œuvres, t. II, p. 239, dans POUGENS. (endormi, ie)Enfin, il fut décidé que le Dauphin n'aurait qu'un siége pliant devant le roi d'Angleterre, mais qu'il aurait un fauteuil devant la reine.
Mém. cour de France, Œuv. t. II, p. 406, dans POUGENS. (pliant, ante)Ce mari mourant, et mourant à cause d'elle et avec tant de tendresse pour elle, ne lui sortait point de l'esprit.
Princ. de Clèv. Œuv. t. II, p. 235, dans POUGENS (sortir [1])Le roi était alors dans la première ardeur de la possession de la Vallière.
Hist. Henr. d'Anglet. Œuv. t. III, p. 112, dans POUGENS. (possession)Le redoublement de larmes, lorsqu'il lui avait parlé de la mort du prince de Navarre, l'avait frappé.
Comtesse de Tende, Œuvres compl. t. II, p. 282 (redoublement)Pour prévenir les désordres dont on était menacé par les gens de la religion.
Mém. cour de France, Œuv. t. III, p. 19, dans POUGENS. (religion)Enfin, le roi devait se trouver au printemps plus de trois cent mille hommes, sans ses milices, et c'était infiniment.
Mém. cour de Fr. Œuv. t. II, p. 389, dans POUGENS (trouver)Que les actrices [à Saint-Cyr, dans Esther], même celles qui étaient transformées en acteurs, jetaient de la poudre aux yeux de la Champmeslé, de la Raisin, de Baron et de Montfleury.
Mém. cour de France, Œuv. t. II, p. 412, dans POUGENS (poudre)Comme elle connaissait ce que peuvent les occasions sur les résolutions les plus sages.
Pr. Clèves, Œuv. compl. t. II, p. 262, dans POUGENS. (occasion)Une personne qui avait une passion violente, qui venait d'en donner des marques à un homme qu'elle en jugeait indigne, et à un autre qu'elle maltraitait pour l'amour de lui.
Princ. de Clèves, Œuv. t. II, p. 120, dans POUGENS. (maltraiter)Quoiqu'elle vécût parfaitement bien avec lui, il n'était pas entièrement heureux.
Princ. Clèves, Œuv. compl. t. II, p. 34, dans POUGENS. (vivre [1])On en fit autant à Spire, ville appartenant à l'électeur de Trèves, comme évêque de Spire, parce qu'on trouvait qu'elle pressait trop l'Alsace.
Mém. cour de France, Œuv. t. III, p. 32, dans POUGENS. (presser)M. de Condom [Bossuet] lui parlait toujours ; et elle lui répondait avec le même jugement que si elle n'eût pas été malade, tenant toujours le crucifix attaché sur sa bouche ; la mort seule le lui fit abandonner.
Hist. d'Henr. d'Angleterre, Œuvres, t. III, p. 187, dans LACURNE. (crucifix)Enfin, après sa mort [de Mazarin], son ombre était encore la maîtresse de toutes choses, et il paraissait que le roi ne pensait à se conduire que par les sentiments qu'il lui avait inspirés.
Hist. de Mme Henriette, 1re partie. (ombre [1])Les couleurs et les chiffres de Mme de Valentinois paraissaient partout.
Princ. de Clèves, Œuvres, t. II, p. 1, dans POUGENS. (couleur)Elle [la duchesse d'Orléans] disait toutes ces choses en anglais, et, comme le mot de poison est commun à la langue française et à l'anglaise, M. Feuillet l'entendit et interrompit la conversation, disant qu'il fallait sacrifier sa vie à Dieu et ne pas penser à autre chose.
Hist. Henr. d'Angl. (poison)