Auguste JAL, auteur cité dans le Littré
JAL (1795-1873)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme JAL a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Glossaire nautique, répertoire polyglotte de termes de marine anciens et modernes | 1848 | 101 citations |
Quelques citations de Auguste JAL
Voici un tirage aléatoire parmi ses 103 citations dans le Littré.
Dans les anciens navires, place d'armes, partie du gaillard d'arrière comprise entre le grand mât et l'entrée de la dunette, où était le corps de garde.
Pacotille devint synonyme de mauvaise marchandise, l'avarice des pacotilleurs ayant déshonoré le commerce d'outremer.
La houle est proprement le creux, la vallée large et quelquefois profonde qui existe entre les crêtes de deux lames que le calme n'a pas encore aplanies.
En 1802, Napoléon fit construire un grand nombre de prames pour porter sur la côte d'Angleterre, où il voulait aller descendre, une partie de l'armée qu'il avait réunie au camp de Boulogne.
Anciennement, dans le langage des gens de mer, le contre-maître des navires d'une certaine importance, et le maître ou patron de quelques petits bâtiments.
Petit bâtiment ayant un mât vertical sur lequel se gréent un hunier, une grande voile carrée ne servant que dans les très gros temps, et une voile trapézoïde.
Moyen vaisseau qui, pour l'ordinaire, avait l'arrière rond, et qui n'avait qu'un grand mât avec une voile extraordinaire,
Trou horizontal et rond, percé à l'avant du navire, à droite ou à gauche de l'étrave, pour le passage du câble attaché à une ancre.
Navire à fond plat, assez large, du port de deux à trois cents tonneaux, ayant trois mâts à voiles latines, une poupe qui se prolonge par deux ailes, que réunissent quelques planches ou une plate-forme à claire-voie, et, à l'avant, un long bec composé, comme celui de la tartane, d'un éperon appuyé par deux cuisses latérales qui se fixent aux joues.
Jeter l'ancre, laisser tomber, de l'endroit du navire où elle est retenue, une ancre qui doit aller mordre la terre et s'y fixer, à l'effet de maintenir sur un point de la mer le navire que son câble lie à l'ancre.
Jambe de hune, dit aussi gambe de hune, cordage accroché par sa tête à la queue de fer d'un cap de mouton placé sur le bord d'une hune et fixé par son extrémité inférieure à un des haubans du bas mât,
Masse de bois cylindrique, emmanchée comme un marteau et creusée, dans toute sa longueur, d'un canal plus ou moins profond, dont les matelots se servent pour tourner le bitord autour d'un cordage qu'ils veulent couvrir ou fourrer.
Proprement, lieu où un bâtiment pousse à terre une échelle ou une planche pour y opérer le débarquement de ses passagers ou de ses marchandises,
Nom d'un navire de l'antiquité, auquel les critiques ont attribué quatre rangs superposés de rameurs, quatre groupes de rames, quatre rameurs par aviron, ou encore quatre rames par banc ; toutes hypothèses qui n'ont pas expliqué ce qu'était la quadrirème,
Un navire fait le plus près, tient le plus près, quand la voilure en fait avec la direction du vent l'angle le plus étroit possible.
Corruption, faite dans le milieu du XVIIe siècle, de l'ancien eslure, qui représente l'espagnol esloria, dont l'origine est inconnue.
Rouleau de bois mobile placé horizontalement sur le bord d'une grande embarcation à la poupe ou à la proue,
Dict. nautique (davier)Aventurier, pirate appartenant à une association d'hommes établis dans quelques îles d'Amérique, et toujours en guerre contre les Espagnols, dont ils capturaient les navires et inquiétaient le commerce,
Tour dressée sur un cap, sur un point éminent d'une côte, sur la jetée d'un port, et portant à son sommet une lanterne où s'allume, pendant la nuit, un feu connu des navires qu'il guide au milieu des ténèbres.
Faire escale, relâcher ; pendant un voyage, dont le but est déterminé, s'arrêter dans un ou plusieurs ports sur sa route pour y décharger ou charger des marchandises, pour y trafiquer,