Guillaume GUIART, auteur cité dans le Littré
GUIART (12??-13??)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme GUIART a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
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La branche des royaus lingnages | 1306 | 72 citations |
Quelques citations de Guillaume GUIART
Voici un tirage aléatoire parmi ses 78 citations dans le Littré.
…Sa rime, Qu'est consonant ou lionime.
dans DU CANGE, leonini. (léonin, ine [2])Le peril n'en doutent la briche.
t. II, p. 57 (brique)Là où François font au haler Leur nes [nefs] vers Flamens devaler.
Royaux lig. v. 9400 (haler [1])Mais li vilains souvent recense [redit] : Moult remest [reste] de ce que fol pense.
t. II, p. 291, V. 7548 (16527) (recenser)Belle pile [grande quantité].
V. 3213 (pile [1])Tant com chevaus peuent destendre [s'élancer].
Ms. f° 228, dans LACURNE (détendre)Targes, banieres, penonceaux, Selonc ce que les nés [vaisseaux] brandelent, En mil parties i fretelent.
t. II, p. 359 (branler)Roan estoit, d'antiquité, La plus orgueilleuse cité Qui fust comme li trosne [ciel] cuevre.
t. I, p. 197 (trône)Des murs de Douai l'ost [ils] esgardent, Qui les biens d'environ despose [garde].
Ms. f° 294, dans LACURNE (déposer)Leanz sont il assouagiez, Et si enclos et encagiez, Comme un cors saint en une fierce [châsse].
ms. f° 80, dans LACURNE (encager)Vinrent à l'hostel de feu Robert deux larrons ou pillars et un page suivant les routes non communes ; les deux larrons et leur page furent tués en dormant.
ib. (page [2])Maint homme i est à mort charmé [maltraité].
t. II, p. 458, vers 11908 (20891). (charmer)Trois escuyers qui portent les escus, Et en lor poins les trois espiés molus, Devant eux menent les auferans [chevaux] crenus.
dans DU CANGE, armigeri. (écuyer)Mes cil ont leur lances tendues, à pointes luizanz et moisies [rouillées].
t. II, p. 273, V. 7090 (16070) (moisir)De fust ardi mainte escharde [il brûla maint morceau de bois].
Ms. f° 10, dans LACURNE (écharde)En tel maniere qu'en allant Va leur frontiere [le front d'une troupe de guerre] devalant à plus de quatre mil banieres Jusqu'es tentes le roy premieres.
t. II, p. 134, v. 3444 (frontière)Qui lors veïst par les charrieres Gent armez avant et arrieres.
t. II, p. 407 (carrière [1])Mince [petite monnaie valant un demi-denier].
t. II, p. 109, V. 2809 (11787) (mince)La très precieuse couronne Que Jesus-Christ eut en sa teste, Si com Juïs l'en abrierent.
dans DU CANGE, abrica. (abriter)Près du roi, devant la baniere, Metent François trois perdriaus [sorte d'engin de guerre], Getans pieres aus enviaus Entre Flamens grosses et males.
dans DU CANGE, perdiceta. (perdreau)