Guillaume GUIART, auteur cité dans le Littré
GUIART (12??-13??)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme GUIART a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| La branche des royaus lingnages | 1306 | 72 citations |
Quelques citations de Guillaume GUIART
Voici un tirage aléatoire parmi ses 78 citations dans le Littré.
Mes cil ont leur lances tendues, à pointes luizanz et moisies [rouillées].
t. II, p. 273, V. 7090 (16070) (moisir)Li quens de Flandres Baudoin Ne semble mie babouin, Ne bec jaune, ne fous naïs, Au departir de son pays.
dans DU CANGE, baboynus. (babouin)Là où François font au haler Leur nes [nefs] vers Flamens devaler.
Royaux lig. v. 9400 (haler [1])Li rois Phelipes prent Vendosme, Pour ce que li quens c'on desterre [le comte qu'on dépouille de sa terre], Se tient devers ceux d'Angleterre, Et s'aliance leur oblige.
ms. f° 26, dans LACURNE (déterrer)Après muet [s'avance] li dux de Bourgogne Contre qui Brebançons desrengent [se détachent].
Ms. f° 125, dans LACURNE (déranger)Bien sont de mentir à meïsmes Cil qui vont contant tieus [telles] noées [bagatelles].
Roy. lignages, V. 84 (même)Quant cils jeunes roys vint à terre, Moult s'entremist d'onneur aquerre.
Roy. lign. 190 (acquérir)Et se queuvrent [couvrent] au miex qu'il pevent Pour les mouches [flèches, traits] qui entre eus saillent.
t. II, p. 333, V. 8657 (17638) (mouche)Belle pile [grande quantité].
V. 3213 (pile [1])Poi après prist par mort finance Jehane…
t. II, p. 480, v. 12504 (21487) (finance)Des sains corporaus des yglises Faisoient volez et chemises, Communement à leur meschines, En despit des euvres divines.
dans DU CANGE, mischinus. (volet)Nul assaut [ils] ne doutent [craignent] la briche.
t. I, p. 146 (brique)Aus feus embatre [mettre le feu] s'esgaierent Par pluseurs maisons qui là ierent [étaient] ; Tost est la flambe tant creüe…
t. II, p. 213 (égayer [1])Roan estoit, d'antiquité, La plus orgueilleuse cité Qui fust comme li trosne [ciel] cuevre.
t. I, p. 197 (trône)Page de la palefrenerie.
ib. (page [2])En tel maniere qu'en allant Va leur frontiere [le front d'une troupe de guerre] devalant à plus de quatre mil banieres Jusqu'es tentes le roy premieres.
t. II, p. 134, v. 3444 (frontière)Le peril n'en doutent la briche.
t. II, p. 57 (brique)Et grans nefs profondes et larges, Plus de cinq cents dedans le hable.
dans DU CANGE, haula. (havre)Deux trompeeurs [joueurs de trompettes]… qui par touches Metent tantost trompes à bouches.
t. II, p. 313, v. 8119 [17101]. (touche)Leanz sont il assouagiez, Et si enclos et encagiez, Comme un cors saint en une fierce [châsse].
ms. f° 80, dans LACURNE (encager)