Stéphanie Félicité Ducrest de St-Albin, comtesse de GENLIS, auteur cité dans le Littré
GENLIS (1746-1830)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme GENLIS a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Adèle et Théodore ou lettres sur l’éducation contenant tous les principes relatifs à l’éducation des Princes, des jeunes personnes et des hommes | 1782 | 215 citations |
| Les mères rivales; ou, La calomnie | 1797 | 79 citations |
| Les Veillées du château, ou Cours de morale à l'usage des enfants | 1782 | 212 citations |
| Les vœux téméraires ou l'enthousiasme | 1791 | 61 citations |
| Madame de Maintenon, pour servir de suite à l'histoire de Mlle de La Vallière | 1806 | 117 citations |
| Mademoiselle de La Fayette, ou le Siècle de Louis XIII | 1813 | 72 citations |
| Maison rustique, pour servir à l'éducation de la jeunesse, ou, Retour en France d'une famille émigrée : ouvrage où l'on trouve toutes les instructions nécessaires pour bâtir une maison de campagne | 1810 | 208 citations |
| Théâtre d'éducation | 309 citations |
Quelques citations de Stéphanie Félicité Ducrest de St-Albin, comtesse de GENLIS
Voici un tirage aléatoire parmi ses 1370 citations dans le Littré.
La régularité et les agréments de sa figure.
Théât. d'éduc. la Mère rivale, I, 1 (régularité)Ah ! voici nos sacs ; allons, faisons notre établissement.
Théât. d'éduc. Dangers du monde, III, 3 (établissement)Les hommes qui ont eu d'éclatants succès auprès des femmes, lorsqu'ils ont su se préserver de la fatuité…
Mlle de la Fayette, p. 158, dans POUGENS (fatuité)J'en étais quitte pour ne plus aller à la comédie que les petits jours, c'est-à-dire ceux où l'on ne joue que de bonnes pièces.
Ad. et Théod. t. I, p. 279, dans POUGENS (jour)Contrarier ouvertement les grands sentiments est un moyen sûr de les rendre opiniâtres et de les exalter.
Mlle de Lafayette, p. 153, dans POUGENS (exalter)Les jaunes d'œufs durcis et émiettés ne leur sont utiles [aux poussins] qu'autant que ces petits animaux sont relâchés.
Maison rust. t. I, p. 313, dans POUGENS (relâché, ée)Mme de Montespan renvoya au roi toutes les pierreries qu'elle tenait de lui ; le roi ne voulut pas les recevoir.
Mme de Maintenon, t. II, p. 250, dans POUGENS (pierreries)Elle n'est plus jeune ; elle a au moins vingt-sept ans, quoiqu'elle ne s'en donne que vingt-quatre.
Théât. d'éduc. les Dangers du monde, 1, 9 (jeune)Madame est malade ; je ne veux pas lui rompre la tête de ces bagatelles.
Théât. d'éduc. l'Amant anonyme, IV, 2 (rompre)Cette folie te gagne, je t'en avertis, prends-y garde.
Théât. d'éduc. Fausses délicatesses, I, 1 (gagner)Voilà comme elles sont toutes : la petite vanité de fixer un homme qui a quelque succès dans la société, leur tourne la tête.
Théât. d'éduc. les Faux amis, I, 6 (fixer)Il ravissait mon cousin, qui me dit en parlant de lui qu'il serait un bon vivant, un père la joie.
Parvenus, t. II, p. 32, dans POUGENS (père)On introduit bien avant dans la narine d'où coule le sang un tampon imbibé d'eau styptique.
Maison rust. t. II, p. 233, dans POUGENS (tampon)Au grand jamais je n'y vais toute seule.
Théâtre d'éduc. la March. de modes, sc.2 (jamais)Ils étalent une grande magnificence ; mais, du reste, ils n'ont ni dîner, ni souper, point d'état de maison.
Ad. et Th. t. III, lett. 1, p. 12, dans POUGENS (état)Il a un air si fin, si ricaneur.
Théât. d'éduc. le Vrai sage, I, 4 (ricaneur, euse)Une préférence n'est pas de l'amour.
Thât. d'éduc. les Fausses délicatesses, I, 2 (préférence)Mme de Germeuil est séparée de son mari, et absolument bannie de la société.
Ad. et Th. t. III, p. 343, dans POUGENS (séparé, ée)Ah ! vous y voilà, dit le baron, et cette phrase vous satisfait.
Vœux témér. t. II, p. 218 (voilà)M. de Luzanne, d'un air froid et distrait, ouvrait quelques brochures posées sur la cheminée.
Veillées du chât. t. I, p. 429, dans POUGENS (ouvrir)