Antoine François FOURCROY, auteur cité dans le Littré

FOURCROY (1755-1809)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme FOURCROY a été choisie.

176 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.

Titre de l'œuvre Date de parution Citations
Système des connaissances chimiques, et de leurs applications aux phénomènes de la nature et de l'art 1801 160 citations

Quelques citations de Antoine François FOURCROY

Voici un tirage aléatoire parmi ses 176 citations dans le Littré.

  1. Les muscles sont des organes du mouvement et donnent la forme extérieure, la torosité, les rondeurs, les saillies, les enfoncements de la peau.
    Conn. chim. t. IX, p. 7 (torosité)
  2. Valerius Cordus fit la première pharmacopée chimique en 1542.
    Connaiss. chim. t. I, p. 19, dans POUGENS (pharmacopée)
  3. On peut ranger à la suite de la séve et regarder même comme espèce de ce liquide ce qu'on nomme le suc des plantes, et qu'on extrait soit pour l'usage médicinal, soit comme matière utile aux arts.
    Conn. chim. t. VII, p. 134 (suc)
  4. Sa congélation et sa cristallisation opérées par divers moyens refroidissants.
    Conn. chim. t. I, p. CXXI (refroidissant, ante)
  5. Le blanc de baleine, purifié… a une odeur particulière, fade et sauvagine, qu'il ne faut pas confondre avec la rancidité.
    Conn. chim. t. X, p. 299 (sauvagin, ine)
  6. La pétrification des bois, dont on a tant abusé en histoire naturelle, n'est pas, comme on l'a cru, une conversion des fibres ligneuses en pierre, mais un véritable dépôt de la substance terreuse.
    Connaiss. chim. t. I, p. CIII, dans POUGENS (pétrification)
  7. L'expression de demi-métallisation pour désigner les corps qui n'avaient encore éprouvé, pour ainsi dire, qu'une demi-métallisation.
    Connaiss. chim. sect. VI, art. 1 (métallisation)
  8. C'est un alchimiste de Hambourg, nommé Brandt, qui, en cherchant la pierre philosophale qu'il ne trouva pas, fit par hasard, en 1669, la découverte du phosphore qu'il ne cherchait point.
    Connaiss. chim. t. I, p. 185, dans POUGENS (phosphore)
  9. Après avoir traité de la résinification en général.
    Conn. chim. t. I, p. CLIII (résinification)
  10. Le muriate d'étain sert à préparer la belle couleur pourpre nommée précipité de Cassius.
    Connais. chim. t. VI, p. 48, dans POUGENS (muriate)
  11. La cochenille est la plus précieuse et la plus belle des matières colorantes rouges qu'on emploie dans la teinture ; on en fabrique les rouges, les cramoisis, les ponceaux, les nacarats, les violets, les écarlates.
    Connaiss. chim. t. X, p. 354, dans POUGENS (nacarat)
  12. Deux corps très colorés, très sapides ou insipides, solubles ou insolubles, fusibles ou infusibles, fixes ou volatils, prenaient, en s'unissant chimiquement, une coloration, une sapidité, une solubilité, une volatilité moyennes.
    Connaiss. chim. t. I, p. 73 (sapidité)
  13. L'intime pénétration qui a lieu entre ces deux corps.
    Connaiss. chim. t. II, p. 65, dans POUGENS (pénétration)
  14. On a donné le nom de teintures, d'élixirs, de baumes, de quintessences aux composés de sucs huileux ou résineux et d'alcool, quand celui-ci est assez chargé de ces substances pour avoir beaucoup de couleur et pour précipiter abondamment par l'eau.
    Conn. chim. t. VIII, p. 503, dans POUGENS (quintessence)
  15. L'emploi de l'urine pour les nitrières artificielles… elle contient assez de matières animales pour favoriser la production de l'acide nitrique dans la putréfaction.
    Connaiss. chim. t. x, p. 203, dans POUGENS (nitrière)
  16. Le pissasphalte et la poix minérale se tiraient autrefois de Babylone ; ils ont servi à la construction des murailles de cette ville.
    Conn. chim. t. VIII, p. 237, dans POUGENS (pissasphalte)
  17. La tête de la vipère, desséchée, devait combattre tous les venins et particulièrement celui de l'animal même.
    Conn. chim. t. x, p. 319 (vipère)
  18. Un acide particulier, nommé pyromuqueux.
    Conn. chim. t. I, p. 137 (pyromuqueux)
  19. L'odeur, la saveur et la propriété vénéneuse de beaucoup de plantes sont dues à des substances huileuses et résineuses.
    Instit. Mém. scienc. 1807, 2<sup>e</sup> sem. p. 223 (vénéneux, euse)
  20. On laisse tremper, dans la saumure ou la dissolution saturée de sel, des légumes, quelques fruits surtout légumineux, des graines ou semences, des racines, des feuilles et même des fleurs délicates.
    Conn. chim. t. VII, p. 103 (saumure)