Jean FROISSART, auteur cité dans le Littré
FROISSART (1333-1404?)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme FROISSART a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Chroniques | 1369-1384 | 3891 citations |
| Espinette amoureuse | 50 citations | |
| Le dit dou florin | 13 citations | |
| Le joli buisson de jonece | 18 citations |
Quelques citations de Jean FROISSART
Voici un tirage aléatoire parmi ses 4078 citations dans le Littré.
Et ne rompirent point leurs ordonnances ni l'establissement de leurs batailles jusques après prime.
I, I, 44 (établissement)Et se taillerent [cotisèrent], chacun selon son aisement, de gens d'armes à pié et à cheval, d'archers, d'arbalestiers…
I, p. 214, dans LACURNE (tailler)Et tantost les Anglois les envahirent et assaillirent de grand volonté.
I, I, 294 (volonté)Les arbalestriers gennevois sont si justes de leur trait, que point ils ne faillent là où ils visent.
II, III, 23 (juste [1])Certes, dame, voyez ci votre chevalier qui ne vous fauldroit pour mourir, si tout le monde vous failloit, ains ferai tout mon pouvoir de vous et de monseigneur votre fils conduire.
I, I, 14 (ains)Pour embelir et fleurir sa mauvaiseté et retraire la roine en Angleterre, et remettre en son danger [pouvoir] et du roi son mari [Édouard II, Isabelle].
I, I, 11 (fleurir)Cil bastard et intrus de Portugal que les communautés ont couronné à roi.
II, III, 31 (intrure)Routes [bandes] de Bretons qui prenoient et pilloient quant ils trouvoient, et rien ne savoient que c'estoit de payer.
II, III, 18 (savoir [1])Et leur coururent sus pour les occire ; ces Anglois se mirent à defense.
I, I, 275 (mettre)Si ot conseil le duc [de Bretagne] qu'il envoieroit suffisans hommes d'armes en Angleterre.
II, II, 65 (suffisant, ante)Si se refroida grandement de cette croix emprise et preschée…
I, I, 63 (refroidir)On les vouloit presser en soussides et en aides, si comme on fait en France et en Picardie.
II, III, 63 (subside)Et acheta… [plusieurs prisonniers], et en paya vingt mille nobles tous appareillés.
I, I, 272 (noble)Au voir dire et raconter, c'estoit grand merveille de ce qu'ils faisoient [les pillards en campagne] ; ils espioient, telle fois estoit, et bien souvent, une bonne ville ou un bon chastel, une journée ou deux loin ; et puis s'assembloient vingt ou trente brigands…
I, I, 324 (épier [2])Il [le cheval] s'escueillit et se demena tant qu'il fut maistre du seigneur qui le chevauchoit, et l'emporta…
I, I, 91 (démener (se))Si en occirent et mirent par terre grand foison, et puis retournerent dedans Aubenton.
I, I, 103 (terre)[Les envoyés] commencerent à traiter et cheirent sur aucunes voies assez accordables.
I, I, 144 (accordable)Par aucune voie directe ni oblique.
II, II, 241 (oblique)Quand les chevaliers virent qu'ils n'en auroient autre chose, ils se despartirent et prirent congé.
II, II, 207 (chose)Afin que honorables emprises et nobles aventures soient notablement registrées et mises en memoire perpetuelle.
Prologue. (registrer)