François de Salignac de La Mothe, dit FÉNELON, auteur cité dans le Littré
FÉNELON (1651-1715)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme FÉNELON a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Dialogues des morts | 254 citations | |
| Les Aventures de Télémaque | 1699 | 2122 citations |
| Œuvres de Fénelon, 22 vol. in-8. Versailles, 1820 | 485 citations | |
| Traité de l'éducation des filles | 1687 | 75 citations |
| Traité de l'existence de Dieu | 1713 | 147 citations |
Quelques citations de François de Salignac de La Mothe, dit FÉNELON
Voici un tirage aléatoire parmi ses 3711 citations dans le Littré.
Saint Paul a l'autorité d'un père et la tendresse d'une mère ; il veut être anathème pour ses enfants.
XVIII, 363 (anathème)Ce sage vieillard, reconnaissant bientôt la désolation du jeune homme, changea ses graves remontrances en des paroles de tendresse pour adoucir son désespoir.
Tél. XVI (remontrance)Un Rhodien d'environ trente-cinq ans surmonta [à la lutte] tous les autres qui osèrent se présenter à lui.
Tél. v. (surmonter)Ayez horreur des nudités de gorge et de toutes les autres immodesties.
t. XVII, p. 87 (immodestie)Ils [les princes] deviennent si délicats que tout ce qui n'est point flatteur les blesse et les irrite.
ib. XI (flatteur, euse)Il trouve de grandes difficultés pour se ménager parmi tant de rois jaloux.
Tél. XVI (ménager [1])Enfin je l'étouffai entre mes bras [le lion]… le bruit de cette action et celui du beau changement de tous nos bergers se répandit dans toute l'Égypte.
Tél. II (répandre)La simplicité qui fait le plus grand charme de la beauté.
Tél. IV (charme [1])Ils se saisissent et se serrent l'un l'autre… ils se raccourcissent, ils s'allongent, ils se baissent, ils se relèvent.
Tél. XVI (raccourcir)Les taureaux les plus furieux qui auraient mugi dans leurs combats, n'auraient pas fait un bruit aussi affreux.
ib. (affreux, euse)Ses yeux creux et austères se changent en des yeux bleus d'une douceur céleste et pleins d'une flamme divine.
Tél. XXIV (creux, creuse [1])L'esprit humain est fertile en détours, en subtilités, en subterfuges.
t. XXII, p. 449 (subterfuge)Accoutumez-les à faire leurs lignes droites, à rendre leur caractère net et lisible.
Éduc. filles, ch. 12 (net, ette,)Toute l'assemblée avoua que j'avais vaincu [dans une interprétation] le sage Lesbien ; et les vieillards déclarèrent que j'avais rencontré le vrai sens de Minos.
Tél. v. (vaincre)Néron : N'avais-je pas ma maison Dorée qui devait être plus grande que les plus grandes villes ? oui-da, je m'entendais en magnificence.
t. XIX, p. 313 (oui)Je vins réfugier mes dieux pénates sur cette côte déserte, où je ne trouvai que des terres incultes.
Tél. IX (réfugier (se))La terre ne demande ici qu'à enrichir les habitants ; mais les habitants manquent à la terre.
Tél. XI (manquer)On avait bien de la peine à les retenir au dedans du camp, où ils étaient gardés de près.
Tél. XVI (près)Vous voyez que la communion était générale, comme les repas nommés agapes.
t. XVII, p. 505 (agape)Jupiter la regarda avec complaisance.
ib. IX (complaisance)