Jean-François DUCIS, auteur cité dans le Littré
DUCIS (1733-1816)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme DUCIS a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Abufar ou La Famille arabe | 1795 | 90 citations |
| Hamlet | 1769 | 32 citations |
| Le roi Lear | 1783 | 32 citations |
| Macbeth | 17 | 44 citations |
| Oscar | 45 citations | |
| Othello ou le more de Venise | 1792 | 84 citations |
| Roméo et Juliette | 1772 | 23 citations |
Quelques citations de Jean-François DUCIS
Voici un tirage aléatoire parmi ses 367 citations dans le Littré.
Hélas ! les malheureux sont des objets sacrés.
Abufar, I, 1 (malheureux, euse)J'approuve cependant les regrets qu'on lui donne.
Hamlet, I, 1 (donner)C'est en vain que ma vue De la terre et des mers embrasse l'étendue.
Oscar, I, 1 (embrasser)Il reviendra vainqueur de ces lointains rivages.
Othello, II, 1 (lointain, aine)Un inconstant vieillard, lassé du diadème, Abdique imprudemment et s'en repent de même.
Lear, I, 1 (abdiquer)Je veux qu'à chaque instant cette cendre en tous lieux De ses empoisonneurs fatigue au moins les yeux.
Hamlet, II, 5 (empoisonneur, euse)Le peuple élève au ciel ta valeur, ta vertu ; Mais tu n'es pour ces grands qu'un soldat parvenu.
Othello, II, 7 (parvenu, ue)Qu'on lui donne mon arc : nous verrons si sa main Aux monstres des forêts lance un coup plus certain.
Macbeth, II, 3 (lancer)La mort, c'est le sommeil ; c'est un réveil peut-être… Peut-être ! ah ! c'est ce mot qui glace épouvanté L'homme au bord du cercueil par le doute arrêté.
Hamlet, IV, 2 (peut-être)Ce prince, seul, farouche, à ses langueurs livré, Aime à nourrir le fiel dont il est dévoré.
Hamlet, I, 1 (langueur)L'amour innocemment est entré dans son âme.
Abuf. III, 6 (entrer)Et qu'est-ce qu'un héros ? - Mon enfant, c'est le brave.
Oscar, IV, 1 (héros)Soumis à mes travaux, aimant ma dépendance, J'ai senti les bienfaits de mon adversité.
Abufar, I, 5 (dépendance)Chantez le saule et sa douce verdure.
Othello, V, 2 (doux, douce)… Quel aspect ! non l'œil humain jamais Ne vit de plus affreux, de plus difformes traits.
Macbeth, II, 6 (difforme)Dans sa maturité sévère, Dans sa femme que chercha-t-il [Racine] ? Une très simple ménagère…
le Ménage des deux Corneille. (ménager, ère [2])Son cœur cacherait-il quelque orage terrible ?
Othello, IV, 7 (orage)Mêmes goûts, mêmes soins, la commune habitude, Tout semble m'enchaîner dans cette solitude.
Abufar, I, 5 (enchaîner)Pour murmurer jamais ma tendresse est trop forte.
Abufar, III, 6 (fort, orte)Au bruit du feu magique, aux accents du tonnerre.
Macbeth, I, 1 (magique)