Eustache DESCHAMPS, auteur cité dans le Littré

DESCHAMPS (1346?-1407?)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme DESCHAMPS a été choisie.

1101 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.

Titre de l'œuvre Date de parution Citations
Poésies manuscrites, mss. fr. anc. fonds, n° 7219. Bibl. nat. 667 citations
Poésies morales et historiques publiées pour la première fois par E. A. Crapelet, Paris, 1832, in-8 381 citations

Quelques citations de Eustache DESCHAMPS

Voici un tirage aléatoire parmi ses 1101 citations dans le Littré.

  1. Et le roy lui eust donné à sa vie certaine pension ; Qu'il vous plaise, seigneur très redoubté, Retenue ait et confirmacion.
    Supplicat. au roi. (confirmation)
  2. Dame, je suy vostre serf ligement ; D'amour me plaing, mais de vous bien me loue ; Ne m'escripvez plus si estrangement.
    Poésies mss. f° 171, dans LACURNE (étrangement)
  3. Mais tel dit un, qui autre chose a faicte.
    Poésies mss. f° 186 (un, une)
  4. Chiens de mer, marsouins, saumons, Congres, tourboz et leurs semblables.
    Poésies mss. f° 485 (marsouin)
  5. Les parens et amis sont mors, L'un par glaive, l'autre en vieillesce ; L'un par malage [maladie], l'autre en presse [bataille], L'un en bois et l'autre en riviere.
    Poésies mss. f° 525 (presse [1])
  6. [Un roi] Qui a subgiez, commandement et loy, Et qui moult puet de biens et de maux faire Par son pouvoir absolu, voluntaire.
    Ce qui est nécess. aux rois. (absolu, ue)
  7. Veuillent au roy monstrer que je suis cuis ; Il m'aidera par leur bonne raison De trois cens frans ; d'autre chose ne ruis [je ne demande].
    Poésies mss. f° 223, dans LACURNE (cuire)
  8. Une jument n'aroit d'un toreaux cure, Ne la chievre n'a cure du sengler.
    Fou est vieux homme, etc. (taureau)
  9. Ma lettre escrivi et scellay, Et à mon amy l'enveai, Qui la lut et trois jours après, Petit loing ou petit plus près, Me rescrivi en tel maniere.
    Poésies mss. f° 491 (près)
  10. Et des deliz de chacier ensement, Et de voler [chasser au vol] et de tournoiement, Vanitez sunt, croy donc certainement ; Car tout desplait fors estude et science.
    Plais. de l'étude. (vanité)
  11. Mais on attent dissimulation Qui leur fera droit comme une faucille.
    Poésies mss. f° 17 (faucille)
  12. Prince qui veult que le bon temps reviengne, Les trois estas en bonnes meurs repringne, Et que nul seul des trois ne se desguise.
    Souffrance du peuple. (déguiser)
  13. Apprenez-moi comment j'aray estat, Et en quel lieu je trouveray bon plat Pour gourmander et mener glote vie.
    Poésies mss. f° 282 (plat [2])
  14. Je voy seigneurie descendre Es sers par science affranchis ; Je voy les povres enrichis, Et les riches nobles tout perdre, Pour ce qu'ilz ne veulent aerdre Leurs cuers à apprendre science.
    Miroir de mariage, p. 114 (serf, erve)
  15. Par la promocion [exhortation] des quatre dessus nommez.
    Poés. mss. f° 492 (promotion)
  16. … Cy est uns homs, Voire deux meurdriers et larrons… Donnez-leur l'ordre du cordier [pendez-les].
    Poésies mss. f° 235, dans LACURNE (cordier)
  17. Quant me souvient des bons jours… De dueil li corps me fretille.
    Poésies mss. f° 70 (frétiller)
  18. Certes vous amez autre part, Et voy que vous ne m'amez rien.
    Poésies mss. f° 493 (rien)
  19. Je ne veul plus, dame, sur vous muser ; Vous povez bien querir autre musart ; Car m'aperçoy qu'on m'a fait amuser.
    Poésies mss. f° 182 (muser [1])
  20. Princes, ceulx des citez sont grans, Bien aisiez, riches, combles, frans, Et de jour en jour s'enrichissent.
    Poésies mss. f° 448, dans LACURNE (comble [2])