Olivier DE LA MARCHE, auteur cité dans le Littré

DE LA MARCHE (1425-1502)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme DE LA MARCHE a été choisie.

77 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.

Quelques citations de Olivier DE LA MARCHE

Voici un tirage aléatoire parmi ses 77 citations dans le Littré.

  1. Quant il entendi la renommée de l'estranger, luy qui de longue main avoit desiré et quis de trouver parti et sorte pour faire armes, se delibera d'executer à celle fois ce que tant avoit desiré.
    Mém. I, p. 243, dans LACURNE (sorte)
  2. Furent apportées les haches au seigneur d'Espiri, pour choisir le premier, comme c'estoit la coustume ; et furent icelles haches ferrées, longues et poisantes, à grandes dagues acerées dessus et dessous, et furent les premieres haches à dagues dessous que l'entrepreneur fit livrer en iceluy pas.
    Mém. liv. I, p. 266, dans LACURNE (hache [1])
  3. Fut iceluy pavillon palissé et barré moult honorablement.
    Mém. liv. I, p. 295, dans LACURNE (palisser)
  4. Messire Jaque de Lalain estoit armé de plusieurs rondelles, l'une sur la main, l'autre sur le coude du bras de la bride…
    Mém. liv. I, p. 269, dans LACURNE (rondelle)
  5. Est la coustume des Alemans que, s'ils estoyent payez jusques à aujourd'hui, et demain il y avoit assaut ou bataille, ilz entendent qu'il leur est deu nouvel argent, et ceux qui crioyent le plus haut, c'estoyent les lansquenets et les gens de pié, et conclusion ils ne voulurent point marcher avant.
    Mém. livre II, p. 648, dans LACURNE (lansquenet)
  6. Le vingt cinquieme jour de juin s'assemblerent ceux de la verde tente [sorte de bandits] en grand nombre, et bouterent feu, tuant et pillans.
    Mém. liv. I, p. 390, dans LACURNE (vert, erte)
  7. Joustes furent faictes et criées par Jehan monsieur de Cleves, Jacques de Lalain et moult d'autres ; et furent joustes sans toile, sans fiens [fumier] ou sablon, en un lieu devant l'hostel du prince que l'on appelle les bailles.
    ib. p. 237 (toile)
  8. Si le deffendant a un bras affolé, on doit occuper un bras à l'appellant, tellement qu'il ne s'en puisse aider.
    Gage de bat. f° 26, dans LACURNE (occuper)
  9. Il estoit armé d'une petite salade ronde et avoit la visiere couverte et armée d'un petit hausse-col de maille d'acier.
    Mém. liv. I, p. 299, dans LACURNE (hausse-col)
  10. Pour riens n'a pas esté nommé Charles le travaillant ; car, du temps qu'il regna, autre homme ne travailla tant en sa personne qu'il feist, et si travailla amis et ennemis.
    Mém. p. 86, dans LACURNE (travaillant, ante)
  11. Lances leur furent baillées, et là de premiere course ne firent point d'atteinte ; à la seconde firent une rude croisée.
    Mém. liv. I, p. 322, dans LACURNE (croisée)
  12. D'après le sablon couru et demie heure passée [dans les joutes il y avait un sablier pour mesurer le temps].
    Mém. liv. II, p. 560, dans LACURNE (sablon)
  13. En icelle salle avoit trois tables drecées, dont l'une fut au bout dessus, traversant à potence, et estoit la table pour l'honneur.
    Mém. II, p. 528, dans LACURNE (potence)
  14. En intention qu'il n'eust la note et le reproche, qu'à luy eust tenu le rapaisement du royaume.
    Mém. liv. I, p. 122, dans LACURNE (note)
  15. Il avoit après luy six chevaux de pareure : le premier estoit couvert de velours noir…
    II, p. 567, dans LACURNE (parure)
  16. Ne restoit plus de son emprise que la fourniture des armes à pié [le combat à pié].
    Mém. liv. VI, p. 194. dans LACURNE (fourniture)
  17. Portoit, au lieu de cotte d'armes, une parure à manches d'un drap de damas.
    I, p. 249 (parure)
  18. Il detourna rivieres de leurs cours, il digua un bras du Rhin.
    Mém. p. 79, dans LACURNE (diguer [1])
  19. Portoit chascun d'eux une espée rabatue en sa main ; lesquelles espées furent presentées aux juges, pour sçavoir si elles estoyent rabatues et coupées en pointe comme il appartenoit.
    Mém. liv. II, p. 587 (rabattre)
  20. On doit craindre son ennemi foible, manchot ou tors.
    dans le Dict. de DOCHEZ. (manchot, ote)