Olivier DE LA MARCHE, auteur cité dans le Littré
DE LA MARCHE (1425-1502)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme DE LA MARCHE a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.
Quelques citations de Olivier DE LA MARCHE
Voici un tirage aléatoire parmi ses 77 citations dans le Littré.
Le vingt cinquieme jour de juin s'assemblerent ceux de la verde tente [sorte de bandits] en grand nombre, et bouterent feu, tuant et pillans.
Mém. liv. I, p. 390, dans LACURNE (vert, erte)J'ai toujours ouï dire que contre forts et contre faux ne valent ne lettres ne sceaux.
Mém. liv. II, p. 621, dans LACURNE (fort, orte)Ainsy se detendit [sépara] cette armée.
Mém. liv. I, p. 481, dans LACURNE (détendre)Messire Jehan seigneur de Lannoy, chevalier de l'ordre de la toison, homme sçachant et nouvel [ingénieux, inventif].
Mém. liv. I, p. 411, dans LACURNE (nouveau ou, devant une voyelle ou une h muette, nouvel, nouvelle)Le duc mit sus douze cens lances, chacune fournie de huict combattans à cheval et à pié.
Mém. p. 75, dans LACURNE (lance)Vint le noir de la nuit.
Mém. liv. II, p. 634, dans LACURNE (noir, oire)[Un pavillon] estoit adossé par dedans d'un riche drap d'or noir, qui s'estendoit sur une chaire et faisoit le marchepied par tout le pavillon et jusque dehors plus de deux ausnes.
Mém. livre I, p. 317, dans LACURNE (marchepied)Entra Jaques de Lalain, armé de toutes armes, le bacinet en teste, la visiere levée, et estoit paré de sa cotte d'armes (qui furent les armes de Lalain), et portoit les lambeaux comme fils aisné de la maison.
Mém. I, p. 265, dans LACURNE (lambel)L'enfant au maillolet et es mains des nourrices.
Mém. p. 618, dans LACURNE (maillot [2])Si tourna pour tous remedes [dans une lutte] sa teste par dessous le bras de messire Jaques, et ainsi [son adversaire] le teint à la cornemuse [sous le bras comme une cornemuse].
Mém. liv. I, p. 315, dans LACURNE (cornemuse)On doit craindre son ennemi foible, manchot ou tors.
dans le Dict. de DOCHEZ. (manchot, ote)Et ne mangeoient les poures gens que prunes et fruitz, dont la courance se preit dans l'ost, et y moururent beaucoup de nos gens.
Mém. liv. II, p. 505, dans LACURNE (courante [2])Et fut en deux batailles et en plusieurs rencontres et sieges, accompaignant son pere ; et desja se monstra fier et courageux et principalement à tenir ordre, où il se delectoit aigrement, monstrant qu'il estoit prince et seigneur apparent, et se faisoit craindre.
Mém. p. 70, dans LACURNE (ordre)En celuy temps regnoit [vivait, florissait] une moulte saincte et devote femme, sœur Collette.
Mém. liv. I, p. 116, dans LACURNE (régner)[Des brigands] courrurent le pays de Flandres par cens et par quarterons.
liv. III, p. 341, dans LACURNE (quarteron [1])Fut la chutte des deux chevaliers telle, que le dit Pietois cheut le dos au sablon, et le dit messire Jaques cheut à pattes.
Mém. I, p. 315, dans LACURNE (patte)Pour luy, ses hoirs et posteritez quelconques.
Mém. p. 40, dans LACURNE (postérité)Le roy Charles VII assembla son conseil pour regarder et avoir avis sur les gens d'armes qui destruysoient son royaume de toutes parts, et pour mettre les dits gens d'armes en reigle et en ordre et les entretenir sans les perdre et eslongner de luy ; et fut avisé qu'il metteroit sus quinze cens lances choisiz et esluz, et les diviseroit en certains capitaines pour les conduire et gouverner, et que chascune lance auroit deux archers et un coustiller armé.
Mém. liv. I, p. 240, dans LACURNE (gendarme)Madame Jehanne veint au lieu de Digeon, à secours et à remede, devers le duc de Bourgongne, son parent, luy remontrant comme les Luxembourgeois l'avoyent dechassée de son heritage.
Mém. liv. I, p. 176, dans LACURNE (remède)Le duc, trois gueux pour sa cuisine, chascun compté par quatre mois, et doit le gueux en la cuisine commander, ordonner et estre obei.
État de la maison de Charles le Hardy, t. II, p. 520, édit. PETITOT. (gueux, euse)