Olivier DE LA MARCHE, auteur cité dans le Littré
DE LA MARCHE (1425-1502)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme DE LA MARCHE a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.
Quelques citations de Olivier DE LA MARCHE
Voici un tirage aléatoire parmi ses 77 citations dans le Littré.
Certes les pompes et parures de lors n'estoyent pas telles que celles de present ; car les princes jouxtoyent en parures de drap de laine, de bougran et de toile, garnis et ajolivez d'or clinquant ou de peinture seulement.
Mém. liv. I, p. 164, dans LACURNE (clinquant)Presentations [des armes pour jouter] et devoirs accoustumez furent faits, et leurs lances baillées.
Mém. I, p. 200, dans LACURNE (présentation)Un grand monceau de rabotures, tirées au rabot d'ais de sapin ou d'autre bois.
Mém. liv. I, p. 234, dans LACURNE (raboture)Ce mesme jour, vint au palais un heraut nommé Toulongeon, qui appela le heraut garde du pavillon et luy dist : Noble heraut, je demande ouverture pour aller toucher l'une des trois targes qui sont en vostre garde, pour et au nom d'un noble escuyer nommé Pierre de Chandos.
Mém. liv. I, p. 296, dans LACURNE (ouverture)Je quiers que, par mon recit, les jeunes et ceux qui ont experimenté telles infortunes, pensent plus d'une fois et calculent ce que leur peut advenir.
ib. f° 28 (calculer)Il estoit armé d'une petite salade ronde et avoit la visiere couverte et armée d'un petit hausse-col de maille d'acier.
Mém. liv. I, p. 299, dans LACURNE (hausse-col)Le sauf conduit fut accordé, parmy payant les tributs accoustumés.
Mém. p. 43, dans LACURNE (parmi [1])Il detourna rivieres de leurs cours, il digua un bras du Rhin.
Mém. p. 79, dans LACURNE (diguer [1])Le duc, trois gueux pour sa cuisine, chascun compté par quatre mois, et doit le gueux en la cuisine commander, ordonner et estre obei.
État de la maison de Charles le Hardy, t. II, p. 520, édit. PETITOT. (gueux, euse)Joustes furent faictes et criées par Jehan monsieur de Cleves, Jacques de Lalain et moult d'autres ; et furent joustes sans toile, sans fiens [fumier] ou sablon, en un lieu devant l'hostel du prince que l'on appelle les bailles.
ib. p. 237 (toile)Madame Jehanne veint au lieu de Digeon, à secours et à remede, devers le duc de Bourgongne, son parent, luy remontrant comme les Luxembourgeois l'avoyent dechassée de son heritage.
Mém. liv. I, p. 176, dans LACURNE (remède)Ne restoit plus de son emprise que la fourniture des armes à pié [le combat à pié].
Mém. liv. VI, p. 194. dans LACURNE (fourniture)Et avoit levé sa visiere le plus avant qu'il le peut faire, et estoit celle visiere couverte d'un volet bien delié.
Mém. I, p. 181, dans LACURNE (volet)Temps chevauchable [temps pendant lequel on peut chevaucher].
Mém. liv. I, p. 385, dans LACURNE (chevauchable)Et pour conclure et mectre fin en ceste matiere que j'ay calculée et esclaircie au mieux qu'il m'a esté possible.
Gage de bat. f° 29, dans LACURNE (calculer)Le comte fit rompre plusieurs boulovars faicts par les Gantois.
I, 26, dans LACURNE (boulevard ou, orthographe qu'admet aussi l'académie, boulevart)Quant au fait du butin, il fut crié que chacun se tirast devers le signeur de Fernant et le signeur de Humieres, qui furent ordonnez butiniers, et que tous fissent serment de rapporter es mains d'iceux tout le butin.
Mém. liv. I, p. 231, dans LACURNE (butinier)Plusieurs assemblées, festois, banquetz, danses, mommeries et esbatemens, furent faits pour festoyer le roy des Romains.
Mém. liv. I, p. 171, dans LACURNE (momerie)Le vingt cinquieme jour de juin s'assemblerent ceux de la verde tente [sorte de bandits] en grand nombre, et bouterent feu, tuant et pillans.
Mém. liv. I, p. 390, dans LACURNE (vert, erte)Le duc mit sus douze cens lances, chacune fournie de huict combattans à cheval et à pié.
Mém. p. 75, dans LACURNE (lance)