Olivier DE LA MARCHE, auteur cité dans le Littré
DE LA MARCHE (1425-1502)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme DE LA MARCHE a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.
Quelques citations de Olivier DE LA MARCHE
Voici un tirage aléatoire parmi ses 77 citations dans le Littré.
Fut le seigneur de Sey rearmé de son grand garde-bras.
Mém. liv. I, p. 195, dans LACURNE (réarmer)Ainsy se detendit [sépara] cette armée.
Mém. liv. I, p. 481, dans LACURNE (détendre)En intention qu'il n'eust la note et le reproche, qu'à luy eust tenu le rapaisement du royaume.
Mém. liv. I, p. 122, dans LACURNE (note)Il avoit après luy six chevaux de pareure : le premier estoit couvert de velours noir…
II, p. 567, dans LACURNE (parure)[Un pavillon] estoit adossé par dedans d'un riche drap d'or noir, qui s'estendoit sur une chaire et faisoit le marchepied par tout le pavillon et jusque dehors plus de deux ausnes.
Mém. livre I, p. 317, dans LACURNE (marchepied)Alors le suivit sa pareure, qui fut telle qu'il avoit dix pages après luy et dix chevaux.
p. 582 (parure)On doit craindre son ennemi foible, manchot ou tors.
dans le Dict. de DOCHEZ. (manchot, ote)Et pour conclure et mectre fin en ceste matiere que j'ay calculée et esclaircie au mieux qu'il m'a esté possible.
Gage de bat. f° 29, dans LACURNE (calculer)Et avoit levé sa visiere le plus avant qu'il le peut faire, et estoit celle visiere couverte d'un volet bien delié.
Mém. I, p. 181, dans LACURNE (volet)Sur iceux chevaux avoit deux pages houssez de petits brodequins jaunes et sans esperons.
Mém. liv. II, p. 534, dans LACURNE SAINTE-PALAYE (brodequin)Sous feinte de vouloir estre protecteur et garde des biens de la dicte Marie, sa parente et filleule, sous umbre d'amitié et à main forte il prit en sa main tous les païs de Bourgogne.
Mém. Introd. ch. VI (main-forte)Le sauf conduit fut accordé, parmy payant les tributs accoustumés.
Mém. p. 43, dans LACURNE (parmi [1])Le duc mit sus douze cens lances, chacune fournie de huict combattans à cheval et à pié.
Mém. p. 75, dans LACURNE (lance)Et doutoit on qu'ils [les Gantois] ne veinssent à puissance de costé ou par derriere ; et à ceste cause fut mise à la bataille du duc par deux ou trois fois à rechange de place.
liv. I, p. 369, dans LACURNE (rechange)Ne restoit plus de son emprise que la fourniture des armes à pié [le combat à pié].
Mém. liv. VI, p. 194. dans LACURNE (fourniture)Le comte fit rompre plusieurs boulovars faicts par les Gantois.
I, 26, dans LACURNE (boulevard ou, orthographe qu'admet aussi l'académie, boulevart)Le roy Charles VII assembla son conseil pour regarder et avoir avis sur les gens d'armes qui destruysoient son royaume de toutes parts, et pour mettre les dits gens d'armes en reigle et en ordre et les entretenir sans les perdre et eslongner de luy ; et fut avisé qu'il metteroit sus quinze cens lances choisiz et esluz, et les diviseroit en certains capitaines pour les conduire et gouverner, et que chascune lance auroit deux archers et un coustiller armé.
Mém. liv. I, p. 240, dans LACURNE (gendarme)À la neufiesme et derniere course d'icelles armes, le chevalier atteindit sur le bord de la croisée de l'armet de l'escuyer, et fut l'atteinte si grande que la coiffe fut enfoncée jusques à la teste.
ib. (croisée)Et comment Saquambasac, un mameluz, avoit recommencé l'assaut, et par ce fut la cité prise.
Mém. liv. I, p. 409, dans LACURNE (mameluk ou mamelouk)Si le deffendant a un bras affolé, on doit occuper un bras à l'appellant, tellement qu'il ne s'en puisse aider.
Gage de bat. f° 26, dans LACURNE (occuper)