Olivier DE LA MARCHE, auteur cité dans le Littré

DE LA MARCHE (1425-1502)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme DE LA MARCHE a été choisie.

77 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.

Quelques citations de Olivier DE LA MARCHE

Voici un tirage aléatoire parmi ses 77 citations dans le Littré.

  1. Alors le suivit sa pareure, qui fut telle qu'il avoit dix pages après luy et dix chevaux.
    p. 582 (parure)
  2. Sous feinte de vouloir estre protecteur et garde des biens de la dicte Marie, sa parente et filleule, sous umbre d'amitié et à main forte il prit en sa main tous les païs de Bourgogne.
    Mém. Introd. ch. VI (main-forte)
  3. Prestement recommencerent leurs armes, et de celle rencontre le seigneur de Ternant donna si grand coup qu'il fauça le bacinet à jour.
    Mém. liv. I, p. 248, dans LACURNE, au mot coup. (fausser)
  4. Plusieurs assemblées, festois, banquetz, danses, mommeries et esbatemens, furent faits pour festoyer le roy des Romains.
    Mém. liv. I, p. 171, dans LACURNE (momerie)
  5. J'ai toujours ouï dire que contre forts et contre faux ne valent ne lettres ne sceaux.
    Mém. liv. II, p. 621, dans LACURNE (fort, orte)
  6. Et avoit levé sa visiere le plus avant qu'il le peut faire, et estoit celle visiere couverte d'un volet bien delié.
    Mém. I, p. 181, dans LACURNE (volet)
  7. Et fut en deux batailles et en plusieurs rencontres et sieges, accompaignant son pere ; et desja se monstra fier et courageux et principalement à tenir ordre, où il se delectoit aigrement, monstrant qu'il estoit prince et seigneur apparent, et se faisoit craindre.
    Mém. p. 70, dans LACURNE (ordre)
  8. Madame Jehanne veint au lieu de Digeon, à secours et à remede, devers le duc de Bourgongne, son parent, luy remontrant comme les Luxembourgeois l'avoyent dechassée de son heritage.
    Mém. liv. I, p. 176, dans LACURNE (remède)
  9. Entra Jaques de Lalain, armé de toutes armes, le bacinet en teste, la visiere levée, et estoit paré de sa cotte d'armes (qui furent les armes de Lalain), et portoit les lambeaux comme fils aisné de la maison.
    Mém. I, p. 265, dans LACURNE (lambel)
  10. Et pour conclure et mectre fin en ceste matiere que j'ay calculée et esclaircie au mieux qu'il m'a esté possible.
    Gage de bat. f° 29, dans LACURNE (calculer)
  11. Messire Jehan seigneur de Lannoy, chevalier de l'ordre de la toison, homme sçachant et nouvel [ingénieux, inventif].
  12. Ainsi traversa le chevalier la riviere, et vint aborder à l'isle où il devoit combattre, et là sailli hors de son batteau, vestu d'une longue robe de drap d'or gris fourrée de martres ; il avoit sa bannerolle en sa main figurée de ses devotions [images auxquelles il avait dévotion], dont il se signoit.
    Mém. liv. I, p. 297, dans LACURNE (dévotion)
  13. Vint le noir de la nuit.
    Mém. liv. II, p. 634, dans LACURNE (noir, oire)
  14. Sur iceux chevaux avoit deux pages houssez de petits brodequins jaunes et sans esperons.
    Mém. liv. II, p. 534, dans LACURNE SAINTE-PALAYE (brodequin)
  15. Il estoit armé d'une petite salade ronde et avoit la visiere couverte et armée d'un petit hausse-col de maille d'acier.
    Mém. liv. I, p. 299, dans LACURNE (hausse-col)
  16. [Des brigands] courrurent le pays de Flandres par cens et par quarterons.
    liv. III, p. 341, dans LACURNE (quarteron [1])
  17. Le duc de Bourgogne alla en la duché de Luxembourg pour renouveler les hommages et les fidelités de ceux de Luxembourg, dont le duc estoit nouvellement seigneur.
    liv. I, p. 332, dans LACURNE (fidélité)
  18. Le duc, trois gueux pour sa cuisine, chascun compté par quatre mois, et doit le gueux en la cuisine commander, ordonner et estre obei.
    État de la maison de Charles le Hardy, t. II, p. 520, édit. PETITOT. (gueux, euse)
  19. Le disner fait, se retrairent les chevaliers en la chambre de leur conclave ; et là n'entra nul, s'il n'estoit chevalier portant l'ordre et les quatre officiers dessus nommés.
    Mém. liv. I, p. 263, dans LACURNE (conclave)
  20. Le roy Charles VII assembla son conseil pour regarder et avoir avis sur les gens d'armes qui destruysoient son royaume de toutes parts, et pour mettre les dits gens d'armes en reigle et en ordre et les entretenir sans les perdre et eslongner de luy ; et fut avisé qu'il metteroit sus quinze cens lances choisiz et esluz, et les diviseroit en certains capitaines pour les conduire et gouverner, et que chascune lance auroit deux archers et un coustiller armé.
    Mém. liv. I, p. 240, dans LACURNE (gendarme)