Alphonse DAUDET, auteur cité dans le Littré

DAUDET (1840-1897)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme DAUDET a été choisie.

68 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.

Quelques citations de Alphonse DAUDET

Voici un tirage aléatoire parmi ses 68 citations dans le Littré.

  1. L'inattendu de ce ruement de brute.
    Journ. des Débats, 2 août 1877, 1re page, feuilleton, 3<sup>e</sup> col. (ruement)
  2. Mlle Sarah Bernhardt use son charme et sa puissance poétique sur ce raide personnage de Missis [missis est la prononciation vulgaire de mistress] Clarkson… qu'elle assombrit, qu'elle fatalise, qu'elle mélodramatise encore.
    Journ. offic. 21 fév. 1876, p. 1330, 1re col. (fataliser)
  3. … époque terrible et grandiose que tant de livres, de tableaux, de lithographies, de romances, de mélodrames ne sont pas encore parvenus à banaliser.
    Journ. offic. 1er mai 1876, p. 3034, 2<sup>e</sup> col. (banaliser)
  4. Il était allé s'appuyer rêveusement à la rampe de la terrasse.
    Jack, I, 9 (rêveusement)
  5. Il gagnait à tous ces frottements de se parisianiser un peu plus chaque jour.
    le Temps, 5 août 1877, feuilleton, 1re page, 2<sup>e</sup> col. (parisianiser)
  6. À force de voyager en wagon avec des filles bizarrement accoutrées, les cheveux sur les yeux à la chien, ou flottants dans le dos à la Geneviève de Brabant, elle finit par leur ressembler.
    Fromont jeune et Risler aîné, III, 2 (chien, chienne)
  7. Malgré les roucoulements, les éplorements d'Adoua et de sa sœur.
    Journ. offic. 16 novemb. 1874, p. 7658, 2<sup>e</sup> col. (éplorement)
  8. Du fond du couloir, les éclats de sa voix tragique continuaient à arriver au public comme les derniers coups d'un orage qui s'éloigne insatisfait, encore gonflé d'éclairs et de tempêtes.
    Journ. offic. 19 juill. 1875, p. 5566, 1re col. (insatisfait, aite)
  9. En somme, il n'y a pas de profession où l'on se déchire d'aussi bon cœur [qu'au théâtre] ; aucun art ne sensibilise à ce point l'amour-propre.
    Journ. offic. 24 janv. 1876, p. 720, 1re col. (sensibiliser)
  10. Ce n'est pas à dire que M. Dumas ne possède aussi un style bien à lui, mais sec, disséqueur, en dedans, impropre à exprimer la couleur de la surface des choses.
    Journ. offic. 27 sept. 1875, p. 8385, 2<sup>e</sup> col. (disséqueur)
  11. Conversations susurrées.
    le Temps, 3 oct. 1877, 1re page, Feuilleton, 5<sup>e</sup> col. (susurrer)
  12. Il faut laisser aux théâtres de province ces galvaudages de distribution [de rôles] ; mais le Vaudeville se doit à lui-même de conserver intactes quelques physionomies d'artistes.
    Journ. offic. 24 avril 1876, p. 2905, 2<sup>e</sup> col. (galvaudage)
  13. Une prose où des vers entiers prennent leur envolée tout à coup.
    Journ. offic. 14 juin 1875, p. 4282, 3<sup>e</sup> col. (envolée)
  14. Une de ces aventures qui se déroulent comme ces albums d'images fort à la mode dans notre enfance et qu'on appelait des dépliants.
    Journ. offic. 10 janv. 1876, p. 272, 2<sup>e</sup> col. (dépliant)
  15. Convaincus qu'il suffit d'apprendre un rôle par cœur pour le savoir, ils [les comédiens] ne s'inquiètent plus que d'une chose, la façon dont ils seront perruqués et costumés.
    Journ. offic. 5 mars 1875, p. 2474, 1re col. (perruqué, ée)
  16. Nos méridionaux se contentent de leurs ferrades… en somme les ferrades sont de véritables courses de taureaux, moins la pompe, le clinquant, le brio des fêtes espagnoles.
    Journ. offic. 3 août 1874, p. 5513, 1re col. (ferrade)
  17. Même avec cette conviction paralysante qu'il est enguignonné…
    Journ. offic. 6 sept. 1875, p. 7609, 1re col. (paralysant, ante)
  18. On y reconnaît [dans Mlle Duparc] ce ton philosophique et tutoyeur, doctoral et familier, que M. Dumas a adopté dès longtemps.
    Journ. offic. 25 janv. 1875, p. 658, 1re col. (tutoyeur, euse)
  19. On faisait le thé dans des récipients bizarres.
    Femmes d'artistes, p. 109 (récipient)
  20. Le ciel blémit, les étoiles pâlissent ; les deux amis continuent à noctambuler, Crispin toujours bavard, Gille à moitié endormi.
    Journ. offic. 11 juin 1876, p. 4105, 1re col. (noctambuler)