Alphonse DAUDET, auteur cité dans le Littré

DAUDET (1840-1897)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme DAUDET a été choisie.

68 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.

Quelques citations de Alphonse DAUDET

Voici un tirage aléatoire parmi ses 68 citations dans le Littré.

  1. L'amoureux Stéphane est bien encore un peu cotonneux, mais ce défaut de l'amant est destiné à mieux faire valoir le mari.
    Journ. offic. 3 mai 1875, p. 3184, 2<sup>e</sup> col. (cotonneux, euse)
  2. Les gens mariés [de Guérande] le portent [le tricorne] en bataille, comme les gendarmes ; les veufs, les garçons en tournent les pointes d'une autre manière.
    Journ. offic. 16-17 août 1875, p. 5923, 3<sup>e</sup> col. (bataille)
  3. M. Parade, qui joue le rôle épisodique de Laviolette, beau-frère de Ribeaudet, est superbe dans sa gâteuse.
    Journ. offic. 27 nov. 1876, p. 8739, 2<sup>e</sup> col. (gâteuse)
  4. Une table couverte d'un tapis vert où écrivait le chien du commissaire, un grand diable à tête de pion, à redingote râpée.
    Fromont jeune et Risler aîné, III, 5 (chien, chienne)
  5. Une prose où des vers entiers prennent leur envolée tout à coup.
    Journ. offic. 14 juin 1875, p. 4282, 3<sup>e</sup> col. (envolée)
  6. On faisait le thé dans des récipients bizarres.
    Femmes d'artistes, p. 109 (récipient)
  7. Conversations susurrées.
    le Temps, 3 oct. 1877, 1re page, Feuilleton, 5<sup>e</sup> col. (susurrer)
  8. Les moindres passades ont fait l'objet de longues discussions [avant la représentation].
    Journ. offic. 27 juill. 1874, p. 5290, 3<sup>e</sup> col. (passade)
  9. Un homme entre deux âges, grisonnant et déplumé, sanglé, cosmétiqué, le regard trouble, les cils brûlés par les veilles…
    Journ. offic. 7 fév. 1876, p. 1095, 1re col. (cosmétiqué, ée)
  10. Nous en sommes arrivés à nous méfier prodigieusement de ces impressions du premier soir, capricieuses, nerveuses, souvent déjugées par le vrai public et par ce juge souverain en matière de succès qu'on appelle la feuille de location.
    Journ. offic. 30 août 1875, p. 7383, 4<sup>e</sup> col. (déjuger (se))
  11. Un grand garçon, alerte et solide, les reins étroitement serrés dans sa taillole en laine rouge.
    Journ. offic. 3 août 1874, p. 5514, 1re col. (taillole)
  12. Il faut laisser aux théâtres de province ces galvaudages de distribution [de rôles] ; mais le Vaudeville se doit à lui-même de conserver intactes quelques physionomies d'artistes.
    Journ. offic. 24 avril 1876, p. 2905, 2<sup>e</sup> col. (galvaudage)
  13. Ils [Manon et Desgrieux] ont la même veulerie de sentiment, les mêmes bassesses.
    Journ. offic. 8 févr. 1875, p. 1050, 3<sup>e</sup> col. (veulerie)
  14. Le comique, si franc, si vrai de Geoffroy-Cardinet, la fantaisie excessive, les pitreries insensées de B… [un acteur].
    Journ. offic. 4 déc. 1876, p. 8994, 1re col. (pitrerie)
  15. Colombe, elle [une dame nommée Colombe] ne l'est guère ni par la douceur de la voix, ni par l'affectuosité…
    Journ. offic. 25 sept. 1876, p. 7171, 1re col. (affectuosité)
  16. Le joli refrain de la diva : Tu me bassines avec ton amour…
    Journ. offic. 30 nov. 1874, p. 7879, 3<sup>e</sup> col. (bassiner)
  17. Même avec cette conviction paralysante qu'il est enguignonné, tout ce qu'il entreprend lui réussit à merveille.
    Journ. offic. 6 sept. 1875, p. 7609, 1re col. (enguignonné, ée)
  18. Mlle Sarah Bernhardt use son charme et sa puissance sur ce raide personnage de missis Clarkson… qu'elle assombrit, qu'elle fatalise, qu'elle mélodramatise encore.
    Journ. offic. 21 fév. 1876, p. 1330, 1re col. (mélodramatiser)
  19. Le moment de la ferrade est enfin venu… il ne s'agit plus d'écarter le taureau à la landaise, ou de le raser à la provençale ; il faut le renverser… l'animal terrassé beugle en sentant la brûlure du fer chaud qui le marque.
    ib. 1re col. (ferrade)
  20. C'était un grand contentement pour ces deux dépatriés de trouver en ces pauvres ménages… un coin de tendresse et de vie familiale.
    Fromont jeune et Risler aîné, I, 2 (dépatrié, ée)