Alphonse DAUDET, auteur cité dans le Littré

DAUDET (1840-1897)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme DAUDET a été choisie.

68 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.

Quelques citations de Alphonse DAUDET

Voici un tirage aléatoire parmi ses 68 citations dans le Littré.

  1. Une pièce montée avec un grand luxe de décoration et de figuration.
    Journ. offic. 4 janv. 1875, p. 51, 2<sup>e</sup> col. (figuration)
  2. Conversations susurrées.
    le Temps, 3 oct. 1877, 1re page, Feuilleton, 5<sup>e</sup> col. (susurrer)
  3. En somme, il n'y a pas de profession où l'on se déchire d'aussi bon cœur [qu'au théâtre] ; aucun art ne sensibilise à ce point l'amour-propre.
    Journ. offic. 24 janv. 1876, p. 720, 1re col. (sensibiliser)
  4. Il faut laisser aux théâtres de province ces galvaudages de distribution [de rôles] ; mais le Vaudeville se doit à lui-même de conserver intactes quelques physionomies d'artistes.
    Journ. offic. 24 avril 1876, p. 2905, 2<sup>e</sup> col. (galvaudage)
  5. À force de voyager en wagon avec des filles bizarrement accoutrées, les cheveux sur les yeux à la chien, ou flottants dans le dos à la Geneviève de Brabant, elle finit par leur ressembler.
    Fromont jeune et Risler aîné, III, 2 (chien, chienne)
  6. Nos méridionaux se contentent de leurs ferrades… en somme les ferrades sont de véritables courses de taureaux, moins la pompe, le clinquant, le brio des fêtes espagnoles.
    Journ. offic. 3 août 1874, p. 5513, 1re col. (ferrade)
  7. Ils [Manon et Desgrieux] ont la même veulerie de sentiment, les mêmes bassesses.
    Journ. offic. 8 févr. 1875, p. 1050, 3<sup>e</sup> col. (veulerie)
  8. L'amoureux Stéphane est bien encore un peu cotonneux, mais ce défaut de l'amant est destiné à mieux faire valoir le mari.
    Journ. offic. 3 mai 1875, p. 3184, 2<sup>e</sup> col. (cotonneux, euse)
  9. C'est [le rôle de Phèdre] un rôle de passion forcenée, mais de cette belle passion antique qui garde toujours la ligne dans ses plus violents transports.
    Journ. offic. 28 déc. 1874, p. 8626, 2<sup>e</sup> col. (ligne)
  10. Mlle Sarah Bernhardt use son charme et sa puissance poétique sur ce raide personnage de Missis [missis est la prononciation vulgaire de mistress] Clarkson… qu'elle assombrit, qu'elle fatalise, qu'elle mélodramatise encore.
    Journ. offic. 21 fév. 1876, p. 1330, 1re col. (fataliser)
  11. Une prose où des vers entiers prennent leur envolée tout à coup.
    Journ. offic. 14 juin 1875, p. 4282, 3<sup>e</sup> col. (envolée)
  12. La pièce de M. Thiesse est pleine d'inexpériences, de redites, de ressassages…
    Journ. offic. 28 mai 1877, p. 4074, 3<sup>e</sup> col. (ressassage)
  13. Convaincus qu'il suffit d'apprendre un rôle par cœur pour le savoir, ils [les comédiens] ne s'inquiètent plus que d'une chose, la façon dont ils seront perruqués et costumés.
    Journ. offic. 5 mars 1875, p. 2474, 1re col. (perruqué, ée)
  14. Le joli refrain de la diva : Tu me bassines avec ton amour…
    Journ. offic. 30 nov. 1874, p. 7879, 3<sup>e</sup> col. (bassiner)
  15. Un de ces inextricables romans de Frédéric Soulié, ténébreux, embroussaillé.
    Journ. offic. 26 fév. 1877, p. 1474, 2<sup>e</sup> col. (embroussaillé, ée)
  16. Ce n'est pas à dire que M. Dumas ne possède aussi un style bien à lui, mais sec, disséqueur, en dedans, impropre à exprimer la couleur de la surface des choses.
    Journ. offic. 27 sept. 1875, p. 8385, 2<sup>e</sup> col. (disséqueur)
  17. La Guigne, comédie en trois actes par MM. Labiche, Leterrier et Vanloo… « J'ai la guigne… » ne cesse de répéter le pauvre Gédéon découragé d'avance par le mauvais sort qu'il attribue à son jour de naissance.
    Journ. offic. 6 sept. 1875, p. 7609, 1re col. (guigne)
  18. Mlle Sarah Bernhardt use son charme et sa puissance sur ce raide personnage de missis Clarkson… qu'elle assombrit, qu'elle fatalise, qu'elle mélodramatise encore.
    Journ. offic. 21 fév. 1876, p. 1330, 1re col. (mélodramatiser)
  19. Les gens mariés [de Guérande] le portent [le tricorne] en bataille, comme les gendarmes ; les veufs, les garçons en tournent les pointes d'une autre manière.
    Journ. offic. 16-17 août 1875, p. 5923, 3<sup>e</sup> col. (bataille)
  20. Les moindres passades ont fait l'objet de longues discussions [avant la représentation].
    Journ. offic. 27 juill. 1874, p. 5290, 3<sup>e</sup> col. (passade)