Alphonse DAUDET, auteur cité dans le Littré

DAUDET (1840-1897)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme DAUDET a été choisie.

68 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.

Quelques citations de Alphonse DAUDET

Voici un tirage aléatoire parmi ses 68 citations dans le Littré.

  1. C'est la justification de Froufrou, ce père sans dignité, affamé de gandinerie, de cocoterie, protecteur de petites débutantes…
    Journ. offic. 30 août 1875, p. 1384, 1re col. (gandinerie)
  2. Pour nous dédommager un peu de toute cette musiquette [des opérettes], on annonce comme très prochaine une nouvelle pièce de M. Barrière au Vaudeville.
    Journ. offic. 15 nov. 1875, p. 9346, 2<sup>e</sup> col. (musiquette)
  3. Il était allé s'appuyer rêveusement à la rampe de la terrasse.
    Jack, I, 9 (rêveusement)
  4. Une prose où des vers entiers prennent leur envolée tout à coup.
    Journ. offic. 14 juin 1875, p. 4282, 3<sup>e</sup> col. (envolée)
  5. Le joli refrain de la diva : Tu me bassines avec ton amour…
    Journ. offic. 30 nov. 1874, p. 7879, 3<sup>e</sup> col. (bassiner)
  6. Les auteurs ont fort bien senti qu'il y avait là un loup, comme on dit en style de coulisse, et ils ont essayé de le faire disparaître dans une histoire de cabinet noir de lettres escamotées à la poste.
    Journ. offic. 3 nov. 1874, p. 7342, 2<sup>e</sup> col. (loup)
  7. Du fond du couloir, les éclats de sa voix tragique continuaient à arriver au public comme les derniers coups d'un orage qui s'éloigne insatisfait, encore gonflé d'éclairs et de tempêtes.
    Journ. offic. 19 juill. 1875, p. 5566, 1re col. (insatisfait, aite)
  8. La Guigne, comédie en trois actes par MM. Labiche, Leterrier et Vanloo… « J'ai la guigne… » ne cesse de répéter le pauvre Gédéon découragé d'avance par le mauvais sort qu'il attribue à son jour de naissance.
    Journ. offic. 6 sept. 1875, p. 7609, 1re col. (guigne)
  9. Même avec cette conviction paralysante qu'il est enguignonné…
    Journ. offic. 6 sept. 1875, p. 7609, 1re col. (paralysant, ante)
  10. Même avec cette conviction paralysante qu'il est enguignonné, tout ce qu'il entreprend lui réussit à merveille.
    Journ. offic. 6 sept. 1875, p. 7609, 1re col. (enguignonné, ée)
  11. L'amour de tête de ce brave garçon ne le mélancolise pas du tout.
    Journ. offic. 22 mai 1876, p. 3520, 3<sup>e</sup> col. (mélancoliser)
  12. Le joli refrain de la diva.
    Journ. offic. 30 nov. 1874, p. 7879, 3<sup>e</sup> col. (diva)
  13. C'est [Mlle Guérin, par Daverny] une mélodramatique histoire qui tient de la Miss Multon d'Adolphe Belot et de l'Institutrice de Paul Foucher, mais scéniquement cela n'est pas mal fait.
    Journ. offic. 26 mars 1877, p. 2459, 1re col. (scéniquement)
  14. Peut-être, dans quelques jours, quand la pièce sera tassée, comme on dit au théâtre, il deviendra possible de lui adjoindre un acte étranger.
    Journ. offic. 24 janv. 1876, p. 720, 3<sup>e</sup> col. (tassé, ée)
  15. Tirant de sa poche un mignon porte-cartes en ivoire.
    Jack, I, 1 (porte-cartes)
  16. L'inattendu de ce ruement de brute.
    Journ. des Débats, 2 août 1877, 1re page, feuilleton, 3<sup>e</sup> col. (ruement)
  17. Le carnet dans lequel la lettre est enfermée pourrait être réclamé par Mme Duchaussier, la notaresse.
    Journ. offic. 18 avril 1876, p. 2790, 3<sup>e</sup> col. (notaresse)
  18. La pièce de M. Thiesse est pleine d'inexpériences, de redites, de ressassages…
    Journ. offic. 28 mai 1877, p. 4074, 3<sup>e</sup> col. (ressassage)
  19. Mlle Sarah Bernhardt use son charme et sa puissance poétique sur ce raide personnage de Missis [missis est la prononciation vulgaire de mistress] Clarkson… qu'elle assombrit, qu'elle fatalise, qu'elle mélodramatise encore.
    Journ. offic. 21 fév. 1876, p. 1330, 1re col. (fataliser)
  20. À force de voyager en wagon avec des filles bizarrement accoutrées, les cheveux sur les yeux à la chien, ou flottants dans le dos à la Geneviève de Brabant, elle finit par leur ressembler.
    Fromont jeune et Risler aîné, III, 2 (chien, chienne)