Pierre CORNEILLE, auteur cité dans le Littré

CORNEILLE (1606-1684)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme CORNEILLE a été choisie.

11517 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.

Titre de l'œuvre Date de parution Citations
Agésilas 1666 120 citations
Andromède 47 citations
Attila 1667 139 citations
Cinna, ou La clémence d'Auguste 1640 937 citations
Clitandre 1632 48 citations
Don Sanche 142 citations
Héraclius, empereur d'Orient 1646 547 citations
Horace 1640 851 citations
La mort de Pompée 1643 688 citations
La toison d'or 201 citations
La veuve 95 citations
Le Cid 1636 982 citations
Le menteur 1644 476 citations
L'imitation de Jésus-Christ 1653 426 citations
Médée 1635 330 citations
Mélite 1629 100 citations
Nicomède 1651 956 citations
Oedipe 1659 179 citations
Othon 1664 246 citations
Pertharite, roi des Lombards 1652 188 citations
Polyeucte 1643 771 citations
Pulchérie 135 citations
Rodogune, princesse des Parthes 1644 595 citations
Sertorius 1662 710 citations
Sophonisbe 1663 93 citations
Suréna 1674 118 citations
Théodore et Héraclius 1646 200 citations
Tite et Bérénice 1670 93 citations

Quelques citations de Pierre CORNEILLE

Voici un tirage aléatoire parmi ses 11517 citations dans le Littré.

  1. Rompre les sacrés nœuds d'une amour fraternelle.
    Pomp. I, 2 (fraternel, elle)
  2. Quel est ici ton charme, odieuse princesse ?
    Rod. IV, 7 (charme [1])
  3. Quel espoir mal conçu te rapproche de moi ? Aurais-je de l'amour pour qui n'a point de foi ?
    la Place royale, V, 8 (mal, ale)
  4. Je veux bien un Romain, mais je veux qu'il commande.
    Sertor. II, 2 (commander)
  5. Oui, seigneur, dans son mal Rome est trop obstinée, Son peuple, qui s'y plaît, en fuit la guérison.
    Cinna, II, 1 (guérison)
  6. Au bout d'une carrière et si longue et si rude, On a trop peu d'haleine et trop de lassitude.
    Au roi, sur son retour de Flandre (haleine)
  7. Il y va de la perte ou du salut du reste.
    Hor. V, 2 (aller [1])
  8. Mais cette indifférence est une aversion, Lorsque je la compare avec ma passion.
    Rod. I, 7 (comparer)
  9. Et ce pays si beau… Avec un œil d'envie est toujours regardé.
    Cid, II, 7 (envie)
  10. Est-ce vous offenser que m'offrir vos refus, Et vous doit-il un cœur dont vous ne voulez plus ?
    Tite et Bérén. III, 2 (refus)
  11. Mais la pudeur peut tout sur l'esprit d'une fille Dont la vertu répond à l'illustre famille.
    Théod. II, 7 (esprit)
  12. Et [Brutus] n'eût jamais souffert qu'un intérêt léger… l'eût remise en question [la liberté de Rome].
    Cinna, III, 2 (léger, ère)
  13. Jamais contre un tyran entreprise conçue Ne permit d'espérer une si belle issue.
    Cinna, I, 3 (jamais)
  14. Tel Sophocle à cent ans charmait encore Athènes, Tel bouillonnait encor son vieux sang dans ses veines.
    Au Roi, 1676 (sang)
  15. Et voyez cependant de quel air on m'écrit.
    Sertor. I, 2 (air [2])
  16. Mais je sais que sur lui vous êtes absolue.
    Attila, IV, 5 (absolu, ue)
  17. Il est quelques esprits dont l'orgueil curieux Jusques à mes secrets les plus mystérieux Tâche à guinder l'essor de leur intelligence.
    Imit. III, 4 (guinder)
  18. Heureux père et mari, ma fuite et leur tombeau Laissent la place vide à ton hymen nouveau.
    Méd. v, 7 (vide)
  19. Vastes cieux, prisons éclatantes, Qui renfermez les airs, et la terre et les eaux.
    Trad du ps. 148 (prison)
  20. Ce monarque étonné à ses frayeurs déjà s'était abandonné.
    Nicom. V. 8 (frayeur)