Philippe de COMMINES, auteur cité dans le Littré
COMMINES (1447-1511)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme COMMINES a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
---|---|---|
Mémoires | 1498 | 1721 citations |
Quelques citations de Philippe de COMMINES
Voici un tirage aléatoire parmi ses 1737 citations dans le Littré.
Et les vins les meilleurs dont se peult adviser.
IV, 9 (aviser)Le povre homme estoit couché tout plat contre terre et faisoit le mort.
IV, 3 (plat, ate [1])Ils venoient, trois journées au devant de nos gens, des citez, pour se rendre.
VII, 13 (journée)Et par cas d'aventure, se fit à l'heure une seigneurie en Florence (car ladite seigneurie se change et se mue de deux mois en deux mois).
VIII, 19 (seigneurie)Qu'il ne falloit plus attendre et qu'il ne delaisseroit point l'assault du matin, comme il avoit esté conclud.
II, 13 (délaisser)Luy firent ung procès… et en fin de compte luy trencherent la teste.
IV, 2 (fin [1])Fist serment au roy, luy promettant tenir son party.
I, 2 (tenir)Jamais homme ne tint plus grande desloyauté.
III, 4 (tenir)Le feu roi que Dieu absolve.
VII, Prol. (absoudre)Et sembloit bien qu'ils escoutassent qui seroit le plus fort ou le roy ou les seigneurs.
I, 2 (écouter)Et si le roy avoit loué ses œuvres en derriere, encores le loua il mieulx en sa personne.
II, 13 (derrière)Sa personne pouvoit assez porter le travail qui luy estoit necessaire.
III, 3 (porter [1])Ceste nuyt sourdit une grande tourmente.
III, 5 (tourmente). Le roy d'Angleterre, après avoir receu son argent, se mist à chemin droit à Callais.
IV, 11 (droit, droite [1])Aucuns ont voulu dire que le dit conte du Mayne avoit intelligence avec eulx, mais je ne le crois pas.
I, 3 (intelligence)Nostre roy qui avoit bien la parolle à commandement.
IV, 10 (commandement)Commanderent qu'on amenast le charroy là où nous estions et que on nous cloyst, et ainsi fut fait.
I, 4 (clore)Et du matin, devant le jour, partismes.
VIII, 7 (de)Et se adventura monseigneur du Lude jusques à luy demander se il ne sçavoit point où estoit l'argent contant de son maistre.
IV, 11 (aventurer)Le duc d'Yorck… se entitula roy.
I, 7 (intituler)